« Vous, dont le calme enviable ne peut pas faire plus que d’embellir le faciès, ne croyez pas qu’il s’agisse encore de pousser, dans des strophes de quatorze ou quinze lignes, ainsi qu’un élève de quatrième, des exclamations qui passeront pour inopportunes, et des gloussements sonores de poule cochinchinoise, aussi grotesques qu’on serait capable de l’imaginer, pour peu qu’on s’en donnât la peine ; mais il est préférable de prouver par des faits les propositions que l’on avance. »
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Dans les manifestes, « Lettre jointe » est d’abord adressée au peintre allemand Holger Schnapp. Et « Suite de la correspondance » à l’écrivain Claude Royet-Journoud.
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Plusieurs des manifestes ont été donnés en 1993 à la revue Tartine que dirigeait Catherine Lorin. Quelques-uns des segments du chapitre « Tout doit disparaître » ont été publiés en 1993 aux éditions Collodion avec quatre gravures d’Agathe Larpent Ruffe.
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« Sigonce, le 2 avril 1994. »