Remerciements

Je souhaite remercier les femmes de ma vie professionnelle, celles qui m’ont guidée tout au long des années au cours desquelles nous avons publié trois romans. Je suis particulièrement reconnaissante à mon agente de longue date, Denise Bukowski, que je remercie de son œil critique, de la franchise dont elle fait preuve dans nos discussions, de ses sages conseils et de son amitié en dehors du travail. Je dois aussi beaucoup aux talentueuses réviseuses qui m’ont aidée à donner forme à La Ballade des adieux et aux Filles et dont la perspicacité a eu un effet capital sur la version finale de Un si joli visage : Judy Clain de Little, Brown and Company, Diane Martin de Knopf Canada de même que Lennie Goodings et Ursula Doyle de Virago U.K.

Merci aussi à Michael Pietsch de Little, Brown and Company et à Louise Dennys de Knopf Canada. Sharon Klein, Marion Garner, Deirdre Molina, Carolyn O’Keefe, Heather Fain, David Whiteside, Nathan Rostron, Jericho Buenida et Gena Gorrell, mes remerciements vont à vous également.

Sur un plan plus personnel, je tiens à exprimer toute ma gratitude à mes enfants, dont l’amour est divin, ainsi qu’à l’homme auquel je suis mariée depuis vingt-cinq ans et qui continue de m’inspirer. Comme les recherches que j’ai effectuées pour ce livre ont pour la plupart pris la forme de conversations et d’observations, je remercie mes parents, Judy et Phil, mes frères, Todd et Curt, Kelley (ma sœur-amie), Sherry et Joyce, mes amies les plus vieilles et les plus chères, sans oublier Allegra. Merci aussi à la famille de mon mari et aux nombreuses personnes, dont certaines ne sont pas des épouses ni même des femmes, avec qui j’ai échangé des confidences au fil des ans et qui, sans le savoir, ont apporté une contribution à mon récit.

Une fois de plus, je dois beaucoup au sud-ouest de l’Ontario. C’est dans les souvenirs de cette région que je trouve le comté de Baldoon. Enfin, je tiens à remercier les membres de ma tribu du sud de la Californie, les habitants de mon coin d’adoption, au-delà des monts Santa Monica, et avant tout le groupe de mères d’une école de Topanga qui ont accueilli parmi elles la Canadienne transplantée que je suis, au moment même où j’écrivais l’histoire d’une étrangère à la recherche de sa place au soleil.