Dans sa soif de bleu
Une femme s’agenouille
En elle la courbe de la Terre
Son âme sans yeux voit
Son sang son mystère
Secousse et tant de vie
Sa force oscille
Elle se penche en elle
Le miroir se brise
Grise de vraie semblance
Elle entre dans l’émotion des temps
Taire ce qui est figé.
Ma tête accueille nuit de veille.
Je peins la faille dans nos sillages.