Épigraphes
« Il suffit d’un mot pour influencer l’expression des gènes... », Dr Andrew Newberg et Mark Robert Waldman, Words Can Change Your Brain: 12 Conversation Strategies to Build Trust, Resolve Conflicts, and Increase Intimacy (New York, Hudson Street Press, 2012), p. 3. En français : La Clé de la communication : découvrez la puissance de l’empathie, Montréal, Éditions de l’Homme, 2013.
« Je ne connais rien au monde qui ait autant de pouvoir qu’un mot », Emily Dickinson, Letters. En français : Lettres aux amies intimes.
Introduction
Benjamin Lee Whorf, « Science and Linguistics, d’abord publié dans MIT Technology Review 42, no 6 (avril 1940) : p. 229-231; repris dans Language, Thought, and Reality: Selected Writings of Benjamin Lee Whorf, ed. John B. Carroll (Cambridge, MA: MIT Press, Massachusetts Institute of Technology, 1956), p. 212-214. Benjamin Lee Whorf est mort d’un cancer en 1941, avant d’avoir eu l’occasion de publier une version intégrale de ses théories. Même s’il a réussi à publier une série d’articles avant son décès, dont l’article susmentionné, les versions définitives de son œuvre furent publiées à titre posthume par des collègues comme G. L. Trager, qui publia l’article définitif « The Systematization of the Whorf Hypothesis ». Il figure parmi les articles généralement utilisés de nos jours pour faire référence aux idées de Whorf.
Roberto Cazzolla Gatti, « A Conceptual Model of New Hypothesis on the Evolution of Biodiversity », Biologia 71, no 3 (mars 2016) : p. 343, https://doi.org/10.1515/biolog-2016-0032. Les meilleurs travaux scientifiques du 21e siècle ont renversé 150 ans de pensée fondée sur le modèle de Charles Darwin du principe fondamental des systèmes naturels. En fait, la nature est fondée sur la coopération, non sur la compétition.
« Il suffit d’un mot pour influencer l’expression des gènes... » Dr Andrew Newberg et Mark Robert Waldman. Words Can Change Your Brain: 12 Conversation Strategies to Build Trust, Resolve Conflicts, and Increase Intimacy (New York: Hudson Street Press, 2012), p. 3. Cet ouvrage majeur soutient les idées proposées par Benjamin Lee Whorf plus tôt au 20e siècle et fait passer la relation entre les humains et les mots du niveau des neurones jusqu’à celui de l’expression génétique. En français : La Clé de la communication : découvrez la puissance de l’empathie, Montréal, Éditions de l’Homme, 2013.
« Avec le temps, la structure de votre thalamus changera aussi... » Dr Andrew Newberg et Mark Robert Waldman, dans « Words Can Change Your Brain », Therese J. Borchard, PsychCentral.com, 27 mai 2019, https://psychcentral.com/blog/words-can-change-your-brain-2.
Comment utiliser les codes de sagesse
La Technique de cohérence rapide a été développée par l’Institut HeartMath, fondé en 1991. Elle est basée sur trois décennies d’importantes recherches innovantes en neurobiologie qui ont mené à des découvertes sur la présence de neurones dans le cœur, la cohérence entre le cœur et le cerveau, et la relation entre le cœur humain et les champs magnétiques de la Terre.
Pour plus de détails scientifiques sur la cohérence entre le cœur et le cerveau, lire les deux premiers chapitres de mon livre Resilience from the Heart: The Power to Thrive in Life’s Extremes (Carlsbad, CA, Hay House, 2015). Ce livre a d’abord été publié sous le titre The Turning Point: Creating Resilience in a Time of Extremes (2014). Le titre a été reformulé pour mettre l’accent sur les techniques et les applications focalisées sur le cœur et la cohérence cardiaque en vue de la résilience personnelle. En français : Le grand tournant : développer la résilience communautaire en cette ère d’extrêmes, Ariane, 2014.
Les mots sont les codes
« Les paroles peuvent allumer des feux dans l’esprit des hommes... », Patrick Rothfuss, The Name of the Wind (New York: DAW Books, 2007).
« Toutes les fois que vous vous adresserez au Père en mon nom... » Jean 16:23 (version du roi Jacques). En 1604, le roi Jacques Ier d’Angleterre commanda une nouvelle traduction de la Bible. Depuis sa publication en 1611, cette version a été le standard de nombreux groupes de protestants anglophones.
« Demandez sans intention cachée et entourez-vous de votre réponse... », Neil Douglas-Klotz, traducteur, Prayers of the Cosmos: Meditations on the Aramaic Words of Jesus (San Francisco, CA: HarperSanFrancisco, 1994), p. 86-87.
« Montagne, déplace-toi... », Évangile de Thomas (II, 2), Helmut Koester et Thomas O. Lambdin, dans The Nag Hammadi Library, dir. James M. Robinson (New York: HarperCollins, 1990), p. 137. La collection de manuscrits appelée Bibliothèque de Nag Hammadi – jusqu’à maintenant les documents les plus anciens et les plus complets des textes du Nouveau Testament – fut découverte en 1945 en Égypte, un an seulement avant la découverte des manuscrits de la mer Morte dans les grottes de Qumrân. Cette découverte fut particulièrement importante, car elle révéla que de nombreux textes avaient été retirés du canon biblique utilisé par l’Église catholique au 4e siècle, y compris cet évangile.
Première partie : La protection
Épigraphe : Craig D. Lounsbrough Quotes, Goodreads.com, consulté le 12 août 2019.
Premier code de sagesse : Le Psaume 91
Des diverses traductions du Psaume 91, j’ai choisi la traduction anglaise la plus largement reconnue et accessible aux lecteurs non spécialistes : la version du roi Jacques.
« Béni soit Abram par le Dieu Très-Haut... », Holy Bible: From the Ancient Eastern Text, traduction de la Peshitta en araméen par George M. Lamsa (Philadelphie, A. J. Holman Company, 1933). Le mot peshitta veut dire « commun » en syriaque, et c’est le nom attribué à une traduction de la Bible chrétienne du 3e siècle environ.
Deuxième code de sagesse : La Prière de refuge
Lobsang Wangdu, How to Say the Refuge Prayer in Tibetan, YoWangdu.com, consulté le 19 août 2019, https://www.yowangdu.com/tibetan-buddhism/refuge-prayer.html. La Prière tibétaine de refuge (kyamdro) est une prière bouddhiste traditionnelle. Même si le thème semble le même dans chaque traduction que j’ai lue, des nuances d’interprétation se reflètent dans les diverses traductions. Pour des raisons de clarté et d’exactitude, pour le Deuxième code de sagesse, j’ai choisi une traduction de Lobsang Wangdu. Tibétain vivant aux États-Unis, il a déjà été moine bouddhiste et il détient une maîtrise en Madyamika de l’Institute of Buddhist Dialectics de Dharamsala, en Inde. Le message sur le blogue de Wangdu à propos de kyamdro comprend une vidéo qui le montre en train de prononcer la Prière de refuge en tibétain.
Troisième code de sagesse : Le Notre Père
« Notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié... », Holy Bible: From the Ancient Eastern Text, traduction de la Peshitta en araméen par George M. Lamsa (Philadelphie, A. J. Holman Company, 1933). Comme c’est le cas de tant de codes de sagesse, les paroles du Notre Père existent actuellement dans de nombreuses traductions qui reflètent les diverses interprétations de ce texte. La version Peshitta de la Bible est le nom donné à une traduction de la Bible chrétienne en dialecte syriaque original de l’araméen, utilisé vers le 3e siècle. J’ai choisi la traduction de George M. Lamsa de la version de la Peshitta du Notre Père parce que l’araméen était sa langue maternelle. Cette traduction semble plus proche de la langue originale que Jésus aurait utilisée pour révéler la prière à son époque.
Burton L. Mack, The Lost Gospel: The Book of Q and Christian Origins (San Francisco: HarperOne, 2013).
« Cette forme d’araméen est très semblable... » Stephen Andrew Missick, « The Lord’s Prayer in the Original Aramaic », Aramaic Herald, 18 mars 2011, http://aramaicherald. blogspot.com/2011/03/lords-prayer-in-original-aramaic-by.html
Cette citation provient d’une section de son blogue qui résume ses points de vue et sa recherche contenus dans son livre The Language of Jesus: Introducing Aramaic (Amazon Digital Services, LLC, 2010).
La Revised Standard Version (RSV) de la Bible a été publiée en 1952 et ne comprend pas la doxologie byzantine, pour les raisons décrites dans le Troisième code de sagesse. La RSV utilise à la fois la version du roi Jacques et l’American Standard Version en tant que premiers textes de départ. Le but de la RSV était de rendre la Bible plus lisible pour les contemporains en enlevant des mots qui ne sont plus couramment employés, tels que thou, thee et speaketh, tout en respectant l’intention première et le thème du texte.
« La doxologie... apparaît plus tard pour la première fois dans la Didachè... » La doxologie est absente du livre de Luc, et de la Revised Standard Version du Notre Père, Matthieu 6:9-13. Elle apparaît en premier dans le texte de la Didachè (vers l’an 1 de notre ère), dans le cadre de ce qui est considéré comme étant les écritures chrétiennes de la seconde génération.
« Abwoon d’bwashmaya... », Neil Douglas-Klotz, trad., Prayers of the Cosmos: Meditations on the Aramaic Words of Jesus (San Francisco, HarperSanFrancisco, 1994). Bien des traductions et couches de signification possibles sont associées à l’araméen, mais j’ai privilégié et souvent fait confiance à cette traduction-ci depuis sa première publication en 1990. Je l’inclus ici comme référence au Notre Père, ainsi que d’autres travaux importants, tels que la traduction en araméen des Béatitudes.
Quatrième code de sagesse : Le Gayatri mantra
« Brahma, manifeste l’énergie spirituelle... », Swami Vivekananda, The Complete Works of the Swami Vivekananda, volume 1 (Advaita Ashram, 2016). Ce premier volume d’une série de neuf célèbre le 150e anniversaire de naissance de Swami Vivekananda en 1863, et présente une exploration plus profonde des mantras hindous traditionnels, y compris le Gayatri mantra.
« O toi, existence absolue, Créateur des trois dimensions... », Shri Gyan Rajhans, « The Gayatri Mantra ». Learn Religions, 12 juin 2019, https://www.learnreligions.com/the-gayatri-mantra-1770541
Les Veda sont d’un âge incertain. Les spécialistes en attribuent communément l’origine au Rigveda, le plus ancien des Veda, à environ 1100 à 1700 avant notre ère. Certains spécialistes, toutefois, affirment que les textes ont peut-être jusqu’à 7 000 ans. Comme pour de nombreux textes aussi anciens, il en existe de nombreuses traductions, fondées sur plusieurs interprétations de l’original. Bien que j’aie choisi la belle et précise traduction de Kumud Ajmani, Ph. D., pour le Quatrième code de sagesse, d’autres traductions sont disponibles et peuvent varier dans les détails.
« Aum Bhur Bhuvah Swah... », Kumud Ajmani, « Gayatri Mantra Word by Word Meaning », Glimpses of Divinity: The EagleSpace Blog, 25 janvier 2018, https://blog.ea- glespace.com/gayatri-mantra-words. Cet exposé sur le Gayatri mantra est l’un des meilleurs, les plus concis et les plus précis que j’ai trouvé au cours de mes recherches.
Deuxième partie : La peur
Épigraphe. Pema Chödrön, When Things Fall Apart: Heart Advice for Difficult Times (Boston: Shambhala Publications, 1997), p. 22. En français : Conseils d’une amie pour des temps difficiles, Paris, format poche, 2003.
Candace Pert, Molecules of Emotion: The Science Behind Mind-Body Medicine (New York: Simon and Schuster, 1999). En français : Tout ce que vous devez savoir pour vous sentir « divinement » bien, AdA, 2007. J’ai eu le privilège de rencontrer Pert et de faire connaissance avec elle avant son décès en 2014. Nos livres étaient publiés et distribués par Hay House, et les conférences I Can Do It de l’époque ont fourni d’incroyables occasions pour les orateurs de se rencontrer et de soutenir mutuellement leurs œuvres. J’ai un immense respect pour son travail, qui a suscité un changement de paradigme en documentant la production de substances chimiques (les neuropeptides) par le corps à partir d’expériences émotionnelles et le rôle des émotions et des traumatismes irrésolus dans le blocage de la capacité du corps de métaboliser ces substances chimiques.
Karl Albrecht, « The (Only) 5 Fears We All Share », blogue de Psychology Today, 22 mars 2012. La peur de l’anéantissement est la première sur la liste des cinq peurs que nous partageons universellement en tant qu’humains. En tant que psychologue, Albrecht identifie et décrit avec concision ces peurs et leur rôle dans notre vie.
La loi de la conservation de l’énergie est un principe fondamental de la thermodynamique. À la différence d’une découverte subite, cette loi physique a connu une reconnaissance graduelle au fil des siècles, à partir des observations de l’astronome et physicien Galilée dans les années 1600. En 1842, Julius Robert von Mayer a formalisé le principe dans l’expression « l’énergie n’est ni créée ni perdue ». C’est un concept essentiel qui concerne l’immortalité humaine et le sort ultime de l’énergie de l’âme.
Cinquième code de sagesse : Les Upanishads
« L’âme ne naît pas, ne meurt pas... », Swami Mukundananda, « Bhagavad Gita: Chapter 2, Verse 20 », Bhagavad Gita: The Song of God, consulté le 9 août 2019, https:// www.holy-bhagavad-gita.org/chapter/2/verse/20
Tandis que les paroles du Cinquième code de sagesse proviennent de l’Upanishad décrite dans le texte, une version quasi identique se trouve aussi dans la Bhagavad-Gita, chapitre 2, verset 20 : « L’âme ne naît pas, ni ne meurt jamais ; n’ayant jamais existé, elle ne cesse jamais d’être. L’âme est dépourvue de naissance, éternelle, immortelle et sans âge. Elle n’est pas détruite lorsque le corps est détruit. »
Sixième code de sagesse : Les Textes de la pyramide
R. O. Faulkner, The Ancient Egyptian Pyramid Texts (Stilwell, KS.: Digireads.com, 2007), p. 42. Cette traduction de 1969 est ma source première pour ce chapitre. Entre les nombreuses et diverses traductions maintenant disponibles des Textes de la pyramide, j’ai trouvé que celle de Faulkner, un égyptologue britannique, est la plus précise, concise et en accord avec les traductions que j’ai reçues des premiers guides égyptiens qui m’ont amené dans les chambres situées sous la pyramide d’Ounas en 1986. Faulkner a contribué à la traduction des Textes de la pyramide disponible en ligne avec des images des hiéroglyphes, une chambre à la fois : https://www.pyramidtextsonline.com/translation.html
Septième code de sagesse : la Bhagavad-Gita
Swami Mukundananda, trad. et commentaire, Bhagavad Gita: The Song of God (Dallas, Jagadguru Kripaluji Yog, 2017). C’est ma source principale pour ce chapitre.
« L’âme n’est jamais créée, et ne meurt... » Mukundananda, « Bhagavad Gita: Chapter 2, Verse 20 », consulté le 9 août 2019, https://www.holy-bhagavad-gita.org/chapter/2/verse/20.
« Ce qui imprègne le corps entier... », Mukundananda, « Bhagavad Gita: Chapter 2, Verse 17 », consulté le 9 août 2019, https://www.holy-bhagavad-gita.org/chapter/2/ verse/17
« Les armes ne peuvent détruire l’âme... », Mukundananda, «Bhagavad Gita: Chapter 2, Verse 23 », https://www.holy-bhagavad-gita.org/chapter/2/verse/23
« L’âme est indestructible et insoluble... », Mukundananda, « Bhagavad Gita: Chapter 2, Verse 24 », https://www.holy-bhagavad-gita.org/chapter/2/verse/24
Huitième code de sagesse : L’Évangile de la paix
« Un jour, ton corps retournera à la Terre Mère... » Edmond Bordeaux Szekely, The Essene Gospel of Peace: Book One (Baja California, International Biogenic Society, 1981). Jeune, Szekely fut envoyé étudier au Vatican, à Rome. Vers 1923, on lui donna accès à l’évangile des enseignements de Jésus en araméen. Même si on ne lui permit pas de retirer les documents de la bibliothèque, on l’autorisa à les transcrire. Le volume 1 est le premier des quatre livres qui résultèrent des traductions de Bordeaux.
« Notre “Terre Mère” et notre “Père céleste”... », Szekely, p. 56-57. « Et vous ne ferez plus qu’un avec le Courant sacré de lumière... », Szekely, p. 58.
Troisième partie : La perte
Épigraphe. « Norman Cousins Quotes », BrainyQuote.com, BrainyMedia Inc., consulté le 12 août 2019, https://www.brainyquote.com/quotes/norman_cousins_121747
« La Nature a horreur du vide. » Aristotle, Physics, Book IV, chapitres 6 à 9 (vers 350 av. notre ère). Gregg Braden, Secrets of the Lost Mode of Prayer: The Hidden Power of Beauty, Blessing, Wisdom and Hurt (Carlsbad, CA: Hay House, 2006), p. 173 à 177. En français : Les secrets de l’art perdu de la prière.
Neuvième code de sagesse : Ōtagaki Rengetsu
Ōtagaki Rengetsu, trad. par John Stevens, Rengetsu: Life and Poetry of Lotus Moon (Brattleboro, VT: Echo Point Books and Media, 2014), p. 32. Le principe bouddhiste de l’impermanence qui est le fondement du Neuvième code de sagesse est décrit de façon poétique dans l’oeuvre d’Ōtagaki Rengetsu, nonne bouddhiste du 19e siècle. Ce livre est ma source pour son œuvre.
Pour un exposé détaillé des trois marques de l’existence, je recommande le travail de Thich Nhat Hanh, moine bouddhiste vietnamien, particulièrement son livre The Heart of the Buddha’s Teaching: Transforming Suffering into Peace, Joy, and Liberation (New York: Harmony, 1999), p. 141. En français : Le cœur des enseignements du Bouddha, format poche, 2003. Les enseignements bouddhistes sont des couches d’une signification de plus en plus profonde et subtile.
Dixième code de sagesse : Le Bouddha
Comme pour le Neuvième code de sagesse, je vous dirige vers l’œuvre de Thich Nhat Hanh, moine bouddhiste vietnamien. The Heart of the Buddha’s Teaching: Transforming Suffering into Peace, Joy, and Liberation (New York, Harmony Books, 1999). En français : Le cœur des enseignements du Bouddha, format poche, 2003.
« Ce que nous percevons comme un “équilibre” est en fait un état d’harmonie temporaire... » Gregg Braden, The Divine Matrix: Bridging Time, Space, Miracles, and Belief (Carlsbad, CA.: Hay House, 2007), p. 187 à 189. En français : La divine matrice unissant le temps et l’espace, les miracles et les croyances, Ariane, 2007, et collection J’ai Lu, 2017. Pour un exposé sur la façon dont ce principe joue souvent dans notre vie, voir la Troisième partie.
Onzième code de sagesse : Le Pavamana mantra
Swami Prabhavananda et Fredrick Manchester, The Upanishads: Breath of the Eternal, 2e éd. (Hollywood, CA: Vedanta Press, 1975), p. 80. Le Pavamana mantra a été écrit il y a environ 2 700 ans dans le cadre de la Brihadaranyaka Upanishad. L’une des premières Upanishads de l’hindouisme, la Brihadaranyaka est spécifiquement consacrée à l’exploration et la métaphysique de l’âme humaine (atman). Tandis que le texte en sanskrit est resté un texte stable, de nombreuses et diverses versions anglaises sont disponibles. Aux fins de ce livre, j’ai choisi cette traduction du Pavamana mantra.
Pour un commentaire additionnel sur le sens des paroles, cherchez Om Asato Maa Sad-Gamaya ; consultez https://en.wikipedia.org/wiki/Pavamana_Mantra
« Transformation de l’individu et de son environnement... » John Campbell, cité dans Shira Atkins, « A Beginner’s Guide to Essential Sanskrit Mantras », Sonima, 21 août 2015, https://www.sonima.com/yoga/sanskrit-mantras
Quatrième partie : La force
Épigraphe. « Katherine Dunham Quotes », Goodreads.com, consulté le 11 août 2019, https://www.goodreads.com/quotes/592751-go-within-every-day-and-find-the-inner-strength-so
Georges Gurdjieff a écrit plusieurs ouvrages documentant son mystérieux périple en quête des enseignements sacrés qui furent l’objectif de sa vie. En 1960 a été publiée l’édition française de son livre Meetings with Remarkable Men: All and Everything, soit Rencontre avec des hommes remarquables. S’inspirant de la traduction anglaise de 1963, Peter Brook a écrit et réalisé un film éponyme en 1979. Gurdjieff appelait ce livre le premier écrit de sa « deuxième série ».
Alfredo Metere, « Does Free Will Exist in the Universe? (That Would Be a No.) », Cosmos, 18 juillet 2018, https://cosmosmagazine.com/physics/does-free-will-exist-in-the-universe-that-would-be-a-no
Même si les questions de choix et de libre arbitre sont souvent reléguées aux textes philosophiques, elles témoignent directement de l’importance de la Quatrième partie. D’une écriture magnifique et assumée, cette exploration menée sous une forme abordable est l’œuvre d’un chercheur de l’International Computer Science Institute.
Douzième code de sagesse : La Prière de beauté
Shonto Begay, « Shonto Begay », Indian Artist 3, no 1 (hiver 1997), p. 52. La version informelle de la Prière de beauté que j’ai choisie pour le début du chapitre a été publiée par l’artiste autochtone Shonto Begay, dans un magazine du Nouveau-Mexique, Indian Artist. Le magazine ne paraît plus, mais je mentionne cet article comme référence.
« Ce code puissant forme la prière de conclusion de la cérémonie du Blessing Way... » Pour un exposé détaillé sur le déroulement des cérémonies navajos, voyez le Navajo Song Ceremonial Complex: https://en.wikipedia.org/wiki/Navajo_song_ceremoni- al_complex
« La beauté avec laquelle vous vivez... », Mark Sublette, « Shonto Begay, Native American Painter », Canyon Road Arts: The Complete Visitors Guide to Arts, Dining and the Santa Fe Lifestyle, 10 mars 2013.
La traduction anglaise intégrale de la Prière de beauté a été élaborée par Robert S. Drake pour Tom Holm, Ph. D., du Programme d’études avancées sur les religions et la spiritualité autochtones, Université de l’Arizona.
Dans cet enregistrement en ligne, Wayne Wilson lit la prière dans le texte original en navajo : « Walk in Beauty: Prayer from the Navajo People », Talking Feather: Lesson Plans about Native American Indians, consulté le 19 août 2019, https://talkingfeather.com/home/walk-in-beauty-prayer-from-navajo-blessing
Treizième code de sagesse : Le mantra védique
Pour l’écriture de ce chapitre, je me suis surtout appuyé sur trois articles.
Michael Ireland, « Meditation and Psychological Health and Functioning: A Descriptive and Critical Review », Scientific Review of Mental Health Practice 9, no 1 (mai 2012), p. 4 à 19. Cet article décrit une évaluation scientifique et les bienfaits de diverses pratiques de méditation.
Jai Paul Dudeja, « Scientific Analysis of Mantra-Based Meditation and Its Beneficial Effects: An Overview », International Journal of Advanced Scientific Technologies in Engineering and Management Sciences 3, no 6 (juin 2017), p. 21 à 26. La science moderne se penche sérieusement sur la science des mantras, car les bienfaits physiques et physiologiques de ces derniers sont bien documentés. Cette référence d’une revue scientifique décrit l’une de ces études.
Ramesh, « Om Namah Shivaya–Meaning and Its Significance », Vedicfeed, 24 juin 2018, https://vedicfeed.com/om-namah-shivaya-meaning. Le mantra védique Om Namah Shivaya est un ancien mantra et chant traditionnel. L’auteur analyse les syllabes du mantra et montre comment elles s’associent aux éléments de la nature et aux sept chakras.
« Les mantras ont un effet très spécifique sur nos états mentaux, émotionnels, physiques et spirituels. » MartinSchmidtInAsia, « Enchanted Chanting: Experiencing Peace and Purity in the High School Classroom », blogue Social Conscience and Inner Awakening, 12 septembre 2018, https://martinschmidtinasia.wordpress.com/2018/09/12/enchanted-chanting-experiencing-peace-and-purity-in-the-high-school-classroom/
« À présent, je suis devenu la mort, le destructeur des mondes... » Swami Mukundananda, Bhagavad-Gita: The Song of God, chapitre 11, versets 31 à 33, https://www.holy-bhagavad-gita.org/chapter/11/verse/32
Quatorzième code de sagesse : le Psaume 23
« Le Seigneur est mon berger... » En ce qui concerne ma référence biblique au Psaume 23, dans ce chapitre j’ai choisi la New International Version (NIV) pour les raisons décrites dans le texte. Pour une comparaison de la NIV du Psaume 23 à l’English Shandard Version (ESV), je recommande l’adresse suivante : https://www.biblegateway.com/passage/?-search=Psalm+23&version=ESV;Niv
« Je suis le berger du peuple, qui fait apparaître la vérité... » Stan Rummel, « The Hammurabi Stele: Partially Retold in English », K. C. Hanson’s Home Page, consulté le 27 août 2019, http://www.kchanson.com/ANCDOCS/meso/hammurabi.
html.
Cette traduction anglaise est une version très lisible du texte de l’ancienne stèle d’Hammourabi, un monument de pierre sur lequel sont gravées 282 lois imposées par le roi de Babylone en 1754 av. notre ère.
Cinquième partie : l’amour
Épigraphe. Kate McGahan, Only Gone from Your Sight: Jack McAfghan’s Little Guide to Pet Loss and Grief (Kate McGahan, 2018).
« Votre tâche n’est pas de rechercher l’amour... » Goodreads.com, consulté le 13 août 2019,
https:// www.goodreads.com/quotes/1268078-your-task-is-not-to-seek-for-love-but-mere-ly
« Le pardon n’excuse pas ce qu’a fait une autre personne... », Andrea Brandt, Ph. D., M.F.T., « How Do You Forgive Even When It Feels Impossible? (Part 1) », Psychology Today, 2 septembre 2014.
« Béni soit l’homme qui a souffert, et trouvé la vie... », Helmut Koester et Thomas O. Lambdin, « The Gospel of Thomas (II, 2) », dans The Nag Hammadi Library, éd. rév., James M. Robinson, dir. (New York: HarperCollins, 1990), p. 132.
« Lorsque vous produirez cela en vous-même, ce que vous avez vous sauvera... » Koester et Lambdin, « The Gospel of Thomas (II, 2) », p. 134.
« Par le pouvoir de l’amour, nous pouvons abandonner le passé », « Ernest Holmes Quotes, AZ Quotes (consulté le 13 août 2019) », https://www.azquotes.com/author/6840-Ernest_Holmes
« En pardonnant, vous acceptez la réalité de ce qui s’est passé... » Brandt, « How Do You Forgive Even When It Feels Impossible? (Part 1) ».
Quinzième code de sagesse : L’Évangile de Thomas
« Je leur pardonne d’avoir tué mes parents... » Ofer Aderet, « Holocaust Survivor Known for Forgiving Nazis Dies at 85 on Trip to Auschwitz », Haaretz, 4 juillet 2019.
« Lorsque vous produirez cela en vous-même, ce que vous avez vous sauvera... » Koester et Lambdin, « The Gospel of Thomas (II, 2) », 134.
Sixième partie: les codes de pouvoir
Épigraphe. Yehuda Berg, « The Power of Words », HuffPost, 27 novembre 2011, https:// www.huffpost.com/entry/the-power-of-words_b_716183
Premier code de pouvoir : Je veux
« Ce qui se passe sur Terre n’est qu’un pâle reflet... » Michael Wise ; Martin Abegg, Jr. ; et Edward Cook, trad. et commentaire, « The Songs of the Sabbath Sacrifice », dans The Dead Sea Scrolls: A New Translation (New York, HarperSanFrancisco, 1996), p. 365.
« Nous vivons dans un monde... qui existe indépendamment de nous, les humains... » Alice Calaprice, dir., The Expanded Quotable Einstein (Princeton, N.J.: Princeton University Press, 2000), p. 220.
« Nous avions cette vieille idée d’un univers extérieur... » F. David Peat, Synchronicity: The Bridge Between Matter and Mind (New York: Bantam Books, 1987), p. 4. En français : Synchronicité : le pont entre l’esprit et la matière, Éditions du Rocher, 2001.
« Comme le vaste espace où rien ne manque et rien n’est de trop... » Richard B. Clarke. Hsin-Hsin Ming: Seng-ts’an, Third Zen Patriarch (Buffalo, NY: White Pine Press, 2011), p. 11. Le Sin-Sin Ming est attribué à Seng-ts’an, troisième patriarche zen, au 6e siècle.
« Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur... », King James Version (la Bible du roi Jacques), Matthieu 8:2-3.
Deuxième code de pouvoir : Je suis
« Je suis celui qui suis ». King James Version, Exode 3:14. La réponse de Dieu à Moïse qui l’interrogeait sur son identité.
« Tu diras donc aux enfants d’Israël... », Exode 3:15.
« Le Champ universel ne juge pas la pertinence de ce que nous lui faisons refléter... », Gregg Braden, The Divine Matrix, p. 161 à 164. En français : La divine matrice unissant le temps et l’espace, les miracles et les croyances, Ariane, 2007, et collection J’ai Lu, 2017. Pour un exposé étendu de notre relation avec le champ d’énergie scientifiquement reconnu et qui relie toutes choses, je vous dirige vers mon livre.
« Montagne, déplace-toi, et elle se déplacera... » Koester et Lambdin, « The Gospel of Thomas (II, 2), p. 137.
Septième partie : les paraboles
Épigraphe. Roger C. Schank. Tell Me a Story: Narrative and Intelligence (Evanston, IL: Northwestern University Press, 1995).
« Exemples additionnels de peintures rupestres ayant été découvertes dans des cavernes du sud de la France... » En 1994, des explorateurs découvrirent dans le sud de la France une caverne auparavant scellée renfermant sur ses parois 425 images décrivant 14 différentes espèces d’animaux. La datation au radiocarbone indique que les images ont au moins 32 000 ans, ce qui en fait les peintures rupestres les plus anciennes jusqu’à ce jour. Le réalisateur Werner Herzog a exploré la grotte de Chauvet dans son documentaire Cave of Forgotten Dreams (La grotte des rêves perdus).
Première parabole : La femme et la cruche
« Qui sommes-nous... sinon les histoires que nous nous racontons à propos de nous-mêmes... » Scott Turow, Ordinary Heroes (New York: Grand Central Publishing, 2011), p. 6.
Le réalisateur Werner Herzog a capté des images des peintures rupestres les plus anciennes qui soient connues dans son remarquable documentaire de 2010 Cave of Forgotten Dreams, https://en.wikipedia.org/wiki/Cave_of_Forgotten_Dreams
« Les humains ne sont pas idéalement configurés pour comprendre la logique... », Schank, Tell Me a Story.
« Raffine les voies neuronales qui permettent de bien se frayer un chemin entre les problèmes de la vie... » Jonathan Gottschall, The Storytelling Animal: How Stories Make Us Human (New York: Mariner Books, 2012), p. 67.
« Telles sont les paroles cachées que prononça Jésus de son vivant... » Koester et Lambdin, « The Gospel of Thomas (II, 2), p. 126.
« Le Royaume du Père est semblable à une femme qui portait une cruche pleine de farine... » Koester et Lambdin, « The Gospel of Thomas (II, 2), p. 126.
« Lorsque vous direz “Montagne, déplace-toi”, elle se déplacera... » Koester et Lambdin, “The Gospel of Thomas (II, 2)”, p. 137.
Deuxième parabole : La flèche empoisonnée
« Supposons qu’un homme soit atteint par une flèche empoisonnée... » Thich Nhat Hanh, Zen Keys: A Guide to Zen Practice (New York: Harmony, 1994), p. 42. En français : Clés pour le zen, format poche, 1999.