Le grand bûcher des alliances
Sous le spiral ciel d’échec
C’est l’hiver en barque pourrie
Des compagnons solides aux compagnes liquides
Des lits de mort sous les écorces
Dans les profondeurs vacantes de la terre
Les arcs forgent un nouveau nombre d’ailes
Les labours rayonnants adorent les guérisseurs détrempés
Sur la paille des fatalistes
L’écume d’astre coule tout allumée
Il n’y a pas d’absence irremplaçable.