Faisant mes adieux à Khanjo et pensant que la sagesse de la Chine est inscrite par les espaces de ses inconnus

j’ai dit :

inévitable

le chemin qui n’aboutit à aucun repos

 

Pourquoi s’inquiéter

Le lit où nous nous naissons et que nous quittons est sans date et sans retour

 

la laine de la nature et du crépuscule l’a tissé en nous