Aux renards de la Finn Valley pour m’avoir appelée et m’avoir donné le courage de répondre à cet appel. Ainsi qu’à Maggie et Phoebe. En leur compagnie j’ai traversé champs et chemins forestiers plusieurs heures par jour, qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il vente, et j’ai sondé le tempérament et le caractère du Suffolk. Sans ces promenades ce livre n’aurait pu être écrit, et ses phrases n’auraient pas trouvé leur souffle.