Remerciements

Lorsque j’ai débuté ce livre, je voulais qu’il soit au plus près de la pensée, du ressenti et de la construction intime des enfants endeuillés.

C’est donc tout naturellement que je me suis entourée de personnes compétentes en la matière à qui vont tous mes remerciements.

Tout d’abord, Justine Mc Hugh, travailleuse sociale à l’organisme Deuil-Jeunesse au Canada, dont le mémoire universitaire, sur l’influence d’un deuil pendant l’enfance et ses conséquences sur les choix de vie des adultes l’ayant vécu, a largement contribué à l’élaboration des personnages de Rose et Anna.

Les relectures de Justine, toujours bienveillantes et enthousiastes, son empathie pour Rose et sa grande générosité de conseils m’ont souvent encouragée à poursuivre mon récit avec plus de confiance en moi.

Puis, Jean-Yves Hayez, psychiatre infanto-juvénile, docteur en psychologie et professeur émérite à la faculté de médecine de l’université de Louvain en Belgique, dont la finesse des commentaires en matière de comportement a sans cesse fait évoluer mes personnages vers plus de sincérité.

Enfin, Laurent Bettoni, qui a su m’épauler dans la conception et l’écriture de mon récit.

Lorsque j’ai débuté ce livre, je ne savais pas que le destin m’imposerait un deuil en chemin… Pourtant, il a fallu le faire, comme Rose, Anna, Georges et nous tous.

Je veux remercier ma famille, mes amis proches, premiers lecteurs, de leur affection quotidienne, de leurs conseils, leurs attentions, du courage qu’ils ont insufflé à cette aventure littéraire.

Je leur dédie, du fond du cœur, ce proverbe africain si juste :

Là où l’on s’aime, il ne fait jamais nuit…


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