AVERTISSEMENT, PRÉCISIONS, REMERCIEMENTS
Comme dans le premier tome de cette série, j’ai travesti dans Instinct 2 les noms des lieux, les durées et itinéraires des trajets en voiture, afin qu’on ne puisse pas situer l’emplacement de l’Institut avec précision.
En revanche, la toponymie de la partie lémanique et suisse de ce récit est rigoureusement exacte, même si j’ai volontairement situé le siège de WarDogs dans une commune différente (quoique voisine) de celle où s’est en fait joué le dénouement.
Les noms des entreprises, holdings, laboratoires, compagnies de sécurité incriminés ont été maquillés, pour éviter toute démarche contre l’auteur. Pour le reste, à ceux qui contesteraient l’idée que les événements du deuxième sous-sol puissent s’être produits, j’objecterai que de la fiction ou de la réalité, on ne sait plus laquelle est la pire, en certains domaines.
Shariff McIntyre endosse la pleine responsabilité des citations qu’on lui attribue au fil du récit. S’agissant de Hagakure (anonyme) comme de L’Art de la Guerre (Sun Tzu), il s’est parfois éloigné de la traduction publiée en français, piochant ses références dans les traductions anglaises notamment. Je n’ai pas d’indication me permettant d’estimer sa capacité à lire ces œuvres dans leur texte original, japonais ou mandarin.
Je remercie bien entendu les auteurs vivants ou morts de tous les ouvrages cités dans ces pages ; ainsi que Jim Jarmusch, Wu-Tang Clan et Forest Whitaker pour leur Ghost Dog. Garbage, Prodigies et Noir Désir ont constitué la bande-son de l’écriture de ce récit, ils devraient tout à fait convenir à sa lecture.
J’adresse ma gratitude aux équipes de mon éditeur, Nathan. Les uns et les unes m’ont accompagné avec chaleur et enthousiasme depuis la sortie du tome 1. La liste de mes remerciements à leur endroit est longue et sera forcément incomplète. Mais je voudrais distinguer bien sûr Céline Charvet et Eva Grynszpan, qui portent cette trilogie sur leurs épaules et ont emmené des versions de ce texte jusque dans l’hémisphère Sud, ou dans les profondeurs abyssales, pour les amender. Sans Florence Budon, qui nous a rejoints vers la fin du tome 1 et n’a rien lâché depuis, l’écriture de ces pages aurait perdu en précision, en rigueur, en clarté. Si ces qualités y président (je l’espère bien !), on les lui doit. Elle va maintenant pouvoir se reposer un peu.
Merci également à Sarah Malherbe, qui me surveille en amie dans toutes mes équipées romanesques. La bienveillance et la sûreté de ses jugements sont des atouts.
Spéciale dédicace à Julien « Bahlam » Villeminot, qui a lancé dans mon dos la page Facebook d’Instinct 1, et à ceux, amis ou inconnus, qui y ont contribué. Salut aux blogueurs qui ont lu et (parfois) aimé le premier tome de cette série, notamment toute la bande joyeusement communautaire de Livraddict. Merci également aux libraires. L’enthousiasme, les avis, la curiosité, les critiques de chacun ont mis la barre très haut pour ce deuxième tome. Bonne pression… J’espère avoir franchi l’obstacle.
Bien sûr, ma reconnaissance va enfin (et d’abord) aux miens. Juliette, ma compagne, Théophile et Madeleine continuent de veiller sur mes personnages, mon humeur et l’état de mon humour. Leur constance, leur pertinence, leur foi aussi, me sont précieuses. Sarah rejoindra bientôt le clan des lecteurs. Louanne continue d’« ambiancer » mes après-midi d’écriture. Sans le « Villeminot’s Circus » la vie serait sans joie.
Quant à Flora, Shariff et Tim, on continue la route.