REMERCIEMENTS

Je dois beaucoup dans mon travail de recherche à Madame Monika Bankowski, historienne et slaviste, qui travaillait alors à la Bibliothèque centrale de l’Université, Ville et Canton de Zürich. Ses connaissances du russe lui ont permis de découvrir de nombreux articles et informations sur Ostermann-Tolstoï et son entourage. Sa vaste culture, ses remarques judicieuses, m’ont été d’une grande assistance. Je ne saurais assez la remercier pour le temps qu’elle m’a donné et pour son indulgence face à mes questions.

J’exprime ici ma profonde gratitude à Madame Marina Guillet-Gasperini, professeur de langue et de littérature italienne, professeur d’histoire et de philosophie. Elle a eu le courage de s’attaquer à la transcription puis à la traduction d’une partie du fonds Capei, en particulier aux lettres et brouillons de lettres qui concernent l’éducation des jeunes Osterfeld, les relations entre Ostermann-Tolstoï et le tuteur des enfants, entre ce dernier et Maria. Jamais elle n’a compté sa peine lorsqu’il s’est agi de déchiffrer des graphies quasi hermétiques.

J’ai une dette particulière envers Madame Claudie Soulier, graphologue et conseillère en entreprise, qui s’est penchée sur les écritures des personnages de ce livre. Son analyse de leurs caractères, de leurs dilemmes et conflits, ainsi que la finesse de ses observations me les ont rendus proches et vivants. Elle a eu d’étonnantes intuitions concernant leurs faiblesses, leurs forces et les principes qui dirigeaient leur vie.

Ma très grande reconnaissance va également à Monsieur et Madame Vilma et Vasco Piccioli à Florence. Historiens, généalogistes expérimentés, chercheurs passionnés et tenaces, ils ont été de trouvaille en trouvaille. Leur inlassable curiosité les a fait mettre au jour maints documents concernant les séjours du général Ostermann-Tolstoï et de Maria en Italie. Grâce à eux, il m’a été possible de connaître, peu avant sa mort en 2012, Angela De Ghisi, descendante issue de l’union de Maria et d’Antonio Cresci.

Je remercie encore la doctoresse Ellen Hastaba, responsable des archives du « Tiroler Landesmuseum Ferdinandeum », à Innsbruck. Elle a mis généreusement à ma disposition les journaux intimes (« Tagebücher ») de Jakob Philipp Fallmerayer, dont le musée possède une copie. Grâce à son inlassable bonne humeur, sa vive intelligence et son amabilité, mes contacts avec elle m’ont été d’un grand prix.

Ce livre n’aurait pas pu voir le jour sans la trouvaille aux Archives d’Etat de Florence du fonds Capei. Je dois remercier Monsieur Arnout Mertens, alors étudiant dans le Département d’Histoire de l’Institut Européen à Florence, pour cette découverte et pour ses recherches dans plusieurs archives en Italie.

Dans la relecture de cet ouvrage, j’ai bénéficié de l’aide et des compétences de Madame Corinne Chaponnière, lectrice et correctrice chevronnée, qui a relu mon texte et m’a communiqué son enthousiasme. Je lui suis particulièrement reconnaissante pour son intérêt, pour ses remarques pertinentes, pour sa patience et son humour.

A Florence, le soutien et les encouragements de Madame Caterina Del Vivo, responsable dans le Palais Strozzi des Archives Historiques du Cabinet Vieusseux, m’ont été précieux.

J’aimerais encore exprimer ma gratitude à Monsieur Salomon Rizzo, archiviste et historien, qui, à Genève, a travaillé pour moi aux Archives d’Etat, aux Archives de la Ville de Genève et à la Bibliothèque de l’Université de Genève.

Monsieur Ivan Grézine, historien et généalogiste d’origine russe, a par ses contacts en Russie trouvé de précieuses informations sur le général Ostermann-Tolstoï, notamment sur sa carrière militaire.

Merci à Madame Liudmila Khmelnitskaia, de Vitebsk, qui s’est rendue aux Archives historiques d’Etat à Saint- Pétersbourg où elle a trouvé d’importants documents utilisables dans ce récit.

J’ai eu recours dans ce travail à Monsieur Benoît Kremer, traducteur et enseignant à la Faculté de traduction et d’interprétation de l’Université de Genève, pour transposer plusieurs documents d’allemand en français. Madame Svetlana Androuchko a traduit de nombreux textes du russe au français. Je leur sais gré à tous les deux.

Pour terminer, je dois beaucoup aux encouragements d’Andrienne d’Arenberg, de Vanessa von Bismarck et de mon mari Pierre Keller. Qu’ils en soient remerciés.