Socialisme National Contre Marxisme
- Authors
- Binet, René
- Tags
- transmet fidèlement ce que tu as reçu fidèlement , juin 2009 , des (cu)rieux de (l)ire les (us)uels , sans altération ni rajout. , sont ceux qui ont longtemps cherché sans trouver. , _______________________________ , ceux qui trouvent sans chercher , une reprise lenculus , un serviteur inutile parmi les autres. , pour la (l)ibrairie (e)xcommuniée (n)umériques
- Date
- 2009-06-15T22:32:15+00:00
- Size
- 0.38 MB
- Lang
- fr
Préface. Au mois d’août 1975, L’Institut supérieur des Sciences psychosomatiques, biologiques et raciales, fondé à Barcelone en 1969 par Le Nouvel Ordre Européen, publiait une oeuvre inédite et posthume de René Binet : ‘‘Contribution à une éthique raciste’’. En éditant aujourd’hui ‘‘Socialisme national contre marxisme’’, presque nouveau puisque multicopié et diffusé modestement en 1950, nous ne nous acquittons pas seulement d’une dette de reconnaissance envers l’un des fondateurs du Nouvel Ordre Européen, mais nous croyons servir la cause de notre race en mettant à la disposition de ses défenseurs d’importantes armes spirituelles. Cet ouvrage diffère des nombreuses critiques du marxisme par le fait capital qu’il juge en fonction de la défense de la communauté raciale. Nous trouvons ici, comme dans ‘‘Contribution’’, le principe qui permet de poser et de résoudre les problèmes. Mais, tandis que ‘‘Contribution’’ s’attache à la partie éternellement valable de notre conception du monde : Le service d’une race qui non seulement ne veut pas mourir, mais poursuivre l’ascension vers la souveraineté, la grandeur, la beauté et parvenir aux plus hauts sommets de la vie sur notre planète, le présent ouvrage combat le principal adversaire idéologique, le marxisme, qui, postulant l’égalité entre les hommes, contredit la réalité biologique en général et ethnique en particulier. Le message de René Binet restera donc actuel, tant que subsistera le marxisme, c’est-à-dire aujourd’hui plus que jamais. Certes, il visait plus précisément la forme stalinienne de l’idéologie adverse. Comme ce monolithisme, aujourd’hui, s’est perdu et qu’on rencontre une multitude de marxismes, ce livre-ci ne sera-t-il pas périmé ? Tout d’abord, la diversité chez les communistes réside davantage dans les buts géopolitiques auxquels les doctrines servent d’alibi. Ainsi, entre Russes et Chinois, le vrai problème s’appelle Sibérie, alors que la curieuse querelle sur le révisionnisme sert de prétexte. Le gros des édifices théoriques rouges subsiste. Par conséquent, la critique générale du communisme dans ‘‘Socialisme national’’ vaudra toujours pour nous. Ensuite, le stalinisme, sous d’autres noms, restera l’un des pôles du marxisme. En effet, la dictature fortuite d’un ‘‘numéro un’’ quelconque peut logiquement succéder aux oligarchies cafouilleuses qui, par exemple, dirigent l’Union soviétique depuis la chute de Khrouchtchev. Aucun régime communiste n’a su, jusqu’ici, résoudre le problème du renouvellement des élites ; L’erreur doctrinale de l’ ‘‘égalité des hommes’’ rend la solution pratiquement impossible. L’aiguille des boussoles rouges oscillera donc sans cesse entre l’incohérence et — le stalinisme. La critique du stalinisme s’appliquera donc, aujourd’hui encore, si la boussole le veut, à d’importants aspects des marxismes. Seulement, son utilisation exigera du jugement. Le militant averti, capable de réflexion et de critique, y trouvera un arsenal extraordinaire, vu l’expérience de René Binet dans ce domaine. S’il parvient à discerner la proportion de stalinisme d’un régime donné, les armes ne lui manqueront pas. Mais l’essentiel de l’oeuvre se situe encore plus loin. Dans l’opposition constante de notre conception du monde à la doctrine critiquée. En démolissant Marx, René Binet construit le social-racisme. Et avec une précision que seule permet une critique acérée. L’âme de la race réagira au contact de la décadence. Mieux qu’un ensemble d’abstractions exsangues, l’expérience de l’abject, du bestial guidera quiconque possède la conscience de son sang. Et René Binet restera un guide sûr pour les générations à venir. Il a toujours marché droit au but. Son indomptable volonté vibre encore dans les textes qu’il nous laisse. À une époque où la décadence ronge la volonté de nos peuples, cet exemple, le contact de cette volonté, l’évocation de ce grand rêve, réalité de demain, mèneront au réveil de la race. Aussi demandons-nous au lecteur de faire circuler ce livre. Et si possible qu’un second exemplaire, relié, dans une bibliothèque choisie, serve de message aux siècles futurs.