Histoires étranges qui sont arrivées

Histoires étranges qui sont arrivées
Authors
Lenotre, G.
Publisher
Bibliothèque numérique romande
Tags
nouvelles , mystères
Date
2016-09-22T00:00:00+00:00
Size
0.31 MB
Lang
fr
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Une jeune noble disparue, emmurée vive dans son château et retrouvée des années plus tard par un vicomte lui aussi disparu dans ce château mais retrouvé grâce à un chat; la terrifiante Bête du Gévaudan, ce monstre-loup qui, au temps de Louis XV, dévora des centaines d’enfants et d’adultes de manière sauvage; Les trois Persans dans le besoin, qui, entendant parler de la générosité de la France et d’un Français en particulier, entreprennent le voyage à pied depuis leur Iran natal pour retrouver leur généreux Français... et ils tombent sur lui miraculeusement, rapidement après être enfin arrivés à bon port après moult aventures; Le chevalier de la Tocnaye, inventeur breton du voyage à pied, «très moderne concept de la marche sans moyens mais avec débrouillardise» qui traverse l’Ecosse, l’Irlande et la Scandinavie; et aussi ce jeune Gaspard trouvé mort, «un inconnu tué par un inconnu», pourrait-il être le fils disparu de la grande duchesse de Beauharnais, fille adoptive de Napoléon? Aurait-il été volé dès sa naissance pour le faire disparaître au profit d’une branche cadette de la famille? Toutes ces «histoires qui sont arrivées», et d’autres encore, vous paraîtront peut-être invraisemblables, mais elles sont racontées avec un entrain, une passion et un zeste d’humour, qui vous tiendront en haleine et vous distrairont agréablement. Tous ces récits sont véridiques... ou à peu près. G. Lenotre, de son vrai nom Louis Léon Théodore Gosselin, est un excellent connaisseur de la Grande Histoire admirateur de l’ancien régime, un fouilleur d’archives invétéré, un amoureux du parfait détail, qui préfère s’attarder sur les personnages secondaires de l’Histoire. Né en 1855, arrière-petit-neveu du jardinier de Louis XIV, il a été décoré de la Légion d’Honneur et élu Académicien et mais il mourra peu après en 1935, sans même avoir pu prononcer son discours d’intronisation.