[I]
Fairy1
Pour Hélène se conjurèrent les sèves ornamentales2 dans les ombres vierges et les clartés impassibles dans le silence astral3. L'ardeur de l'été fut confiée à des oiseaux muets4 et l'indolence requise à une barque de deuils sans prix par des anses d'amours morts et de parfums affaissés.
– Après le moment de l'air des bûcheronnes à la rumeur du torrent sous la ruine des bois, de la sonnerie des bestiaux à l'écho des vals, et des cris des steppes5. –
Pour l'enfance d'Hélène frissonnèrent les fourrures et les ombres, – et le sein des pauvres, et les légendes du ciel.
Et ses yeux et sa danse supérieurs encore aux éclats précieux, aux influences froides, au plaisir du décor et de l'heure uniques.