{1} S. FREUD, Naissance de la psychanalyse, PUF Paris 1979, p. 345.

{2} Ibid. p. 159.

{3} J. LACAN, Écrits, Le seuil, Paris 1966, p. 817.

{4} J. LACAN, Séminaire IX. L’identification, inédit séance du 16 mai 1962.

{5} J. LACAN, Le Séminaire. Tome V, Le seuil, Paris 1998, p. 476.

{6} J. LACAN, Télévision, Le seuil, Paris 1973, p. 9.

{7} J. LACAN, Ornicar ? 17/18, p. 13. Néologisme utilisé par Lacan qui condense variété et vérité.

{8} J.-A. MILLER, « Les six paradigmes de la jouissance », in La cause freudienne n° 43, p. 7 à 30.

{9} J. LACAN, Séminaire XXIII. Le sinthome, Le seuil Paris 2005, p. 85.

{10} J. LACAN, Écrits, loc. cit. p. 682.

{11} René CHAR, La parole en archipel, Gallimard, 1962, p. 84.

{12} Sermon 68. Scitote, quia prope est regnum Dei. Trad. J. Ancelet Hustache, dans Sermons, Seuil, 3 t. comme toutes les citations suivantes sauf mention contraire.

{13} Sermon 5b, In hoc apparuit caritas Dei.

{14} Sermon 42 Adolescens tibi dico : Surge.

{15} Sermon 12 Qui audit me.

{16} Sermon 12 Qui audit me.

{17} Sermon 44 Postquam completi erant dies.

{18} Sermon 60 In omnibus requiem quæsivi.

{19} Sermon 63 Man Liset Hott da Haime in der Epistel.

{20} Sermon 69 Modicum et iam non videbitis me.

{21} Confessions, I, 1.

{22} Sermon 63 Man Liset Hott da Haime in der Epistel.

{23} Sermon 41 Qui sequitur iustitutiam, diligetur, diligetur a Domino.

{24} Sermon 100. Et il cherchait à voir qui était Jésus. Traduction E. Mangin, ECKHART, Le silence et le verbe, Paris, Seuil, 2012.

{25} Sermon 102. Où est celui qui est né roi des Juifs ? Traduction E. Mangin, id.

{26} Sermon 42 Adolescens, tibi dico : Surge.

{27} Jacques Lacan, Conférence Psychanalyse et médecine, le 16 février 1966.

{28} Jacques Lacan, « L’Étourdit », Autres Écrits, éditions du Seuil, Paris, 2001, page 456.

{29} Schopenhauer, Le Monde comme volonté et comme représentation, Gallimard, § 20, p. 255.

{30} Spinoza, Éthique III, Proposition IX, scolie.

{31} Schopenhauer, op. cit., § 24, pp.289-290.

{32} Ibid., suppl. chap. 25, p. 1662.

{33} « Wunsch », terme ambivalent : simple souhait ou passion brûlante.

{34} Schopenhauer, op. cit., suppl. chap. 46, p. 2045.

{35} Ibid., § 38, p. 403.

{36} D’où les images de la « roue » à laquelle Zeus attacha Ixion pour le punir de ses crimes et de son ardeur amoureuse à l’égard d’Héra ; du « tonneau » percé que les Danaïdes doivent remplir sans fin aux Enfers ; de « Tantale » puni par les dieux à demeurer au milieu d’un fleuve et sous des arbres fruitiers, eau et fruits se dérobant sans cesse (Ibid., § 38, p. 403) ; ou encore celle, célèbre, du « pendule » oscillant entre souffrance de l’insatisfaction et ennui d’une réplétion illusoire (ibid., p. 591).

{37} Ibid., suppl. chap. 44. Le mot « Begierde » évoque la convoitise, la voracité, voire la concupiscence.

{38} « Sehnsucht » a pour halo de sens le vague à l’âme nostalgique, l’aspiration impatiente ; l’adjectif « suchtig » renvoie à la dépendance maladive.

{39} « Mais pourquoi donc l’amoureux est-il suspendu aux yeux de son élue avec tant d’abandon, prêt à lui offrir n’importe quel sacrifice ? Parce que c’est sa partie IMMORTELLE qui la réclame et la désire (verlangt), tous les autres objets de désir relevant toujours de sa partie mortelle. » (Ibid., suppl. chap. 44). Le verbe « verlangen » évoque une demande exigeante, voire une réclamation ou une revendication.

{40} Ibid., suppl. chap. 28, p. 1720.

{41} « Un jour pendant la dernière guerre, Mme Anita Weishaupt a eu un fils. Elle l’a mis au monde en cachette et peu après sa naissance elle l’a placé dans cet orphelinat pour qu’il soit adopté. L’enfant a été baptisé Erwin. »

{42} « Et les soeurs l’aimaient bien, c’était un enfant doux, elles aimaient ça et disaient qu’il était gentil. »

{43} « Il a été invité chez eux, ils se sont occupés de lui, c’était le paradis pour lui. Après mûre réflexion, ils ont voulu adopter Erwin. Il y avait entre eux quelque chose, peut-être de la confiance et de la patience, un peu comme de l’amour. »

{44} « L’enfant était calme dans son bonheur, mais son coeur était envahi d’une joie surhumaine, si grande qu’il n’existe pas de mots pour décrire cette émotion, ce tremblement de l’âme au seuil d’un désir accompli. »

{45} « Alors cet enfant ne sera pas adopté. Mon mari ne doit jamais apprendre son existence. » Anita Weishaupt avait vraiment dit « cet enfant » et « mon mari », on ne pouvait plus rien pour elle. »

{46} « Le désir de l’enfant était si grand que l’espoir resta dans sa tête plus longtemps que la raison ne le permettait. Si longtemps que sa tête s’enflamma. »

{47} « Sous son crâne, le feu ne s’était pas éteint. Erwin devint un autre. Rien ne l’intéressait plus. Il se transforma, se mit à voler, mais seulement des choses qu’il aurait pu se procurer facilement. »

{48} « Il devint imprévisible, insondable aux yeux des soeurs. De manière aussi irréfléchie qu’elles avaient prétendu l’aimer, elles se mirent à le craindre et enfin à le haïr. Erwin vécut ainsi des années d’enfer, objet de leur mépris, car il avait appris à ne pas sombrer dans cet enfer, mais plutôt à prendre plaisir sans retenue à ses terreurs. »

{49} « Streben » désigne une tendance, un effort aveugle. La « Strebe » est l’étai, le cordage qui consolide ou la pièce de charpente qui soutient et résiste aux forces qui s’exercent sur elle.

{50} Schopenhauer, op. cit., § 57, p. 593. La farce sociale éclate dans La troisième génération (1979), où Fassbinder fait de Schopenhauer l’inspirateur d’un (non-)message social et politique. « Monde comme volonté et comme représentation » est le mot de passe d’un gang de petits bourgeois englués dans leurs problèmes personnels, qui fomentent des attentats absurdes. Le fameux « pendule » est présent chez chaque larron, en signe de reconnaissance. Les personnages agissent sans idéal politique il y a bien un personnage bakouninien, mais il est naïf et chahuté. Le terrorisme de Baader, mais aussi sa récupération Fassbinder est obsédé par le risque de fascisme en RFA , sont dangereux dans leur vanité même. Le désir aveugle, idiot, des terroristes est ici farcesque, manipulé par le Capital : le chef d’entreprise contre lequel l’attentat est monté pousse en réalité, associé à la police, le gang à commettre ces attentats.

{51} Ibid., § 36, p. 385.

{52} Ibid., § 40, p. 421.

{53} Ibid., § 52, p. 504.

{54} Ibid., § 58, p. 605.

{55} Ibid., § 52, p. 500.

{56} Ibid., § 52, pp. 504-505.

{57} Ibid., suppl. chap. 39, pp. 1868-1869.

{58} Ibid., § 52, p. 509.

{59} Ibid., § 52, p. 518.

{60} Dans le passage décrit plus haut du film de Fassbinder, L’Année des treize lunes, la voix au ras du micro, la musique accompagnant le récit,  les déplacements théâtraux et décalés produisent un effet de distanciation, de récit légendaire. Fassbinder est adepte de Douglas Sirk :  l’ambiance de mélodrame suscite une attente sentimentaliste forcément déçue. L’art est « spectacle dans le spectacle » (Ibid. § 52) pour Schopenhauer ; L’Année des treize lunes n’est pas un film « sur » le désir, il met le désir en abîme.

{61} Le quatrième livre du Monde comme volonté et comme représentation décrit cette auto-négation, quand la connaissance de l’essence du monde agit comme « quietiv » sur la volonté. Nous laissons ici cet aspect important et épineux de côté et n’abordons que les modes, heureux ou malheureux, de l’affirmation de la volonté.

{62} Ibid., § 58, p. 608.

{63} Ibid., § 57, p. 594.

{64} Ibid., suppl. chap. 46, p. 2044.

{65} Schopenhauer, Aphorismes sur la sagesse dans la vie, PUF, p. 25. Ainsi Schopenhauer écrit-il à un disciple : « Dans les rares moments où je me croyais malheureux, c’était, pour ainsi dire, par suite d’une méprise, d’une erreur de personne. Je me prenais pour un autre, un professeur libre qui ne peut obtenir une chaire et qui n’a pas d’auditeurs ou pour un original livré en pâture à la médisance des philistins et au caquetage des commères, ou pour un amoureux éconduit par sa belle […]. Tout cela, ce n’était pas moi, c’était tout au plus l’étoffe dont était fait le vêtement que je portais alors et que je changeais l’instant d’après pour un autre. Mais qui suis-je donc ? Je suis celui qui a écrit Le Monde comme volonté et comme représentation. »

{66} Ibid., p. 89.

{67} Ce texte est issu de mes travaux sur « l’exil et la langue » dont le numéro 90 de la revue Cliniques Méditerranéennes que j’ai coordonné avec Roland Gori.

{68} Psychanalyste, MCF HDR en psychopathologie clinique, Université de Montpellier 3 ; membre du Laboratoire LPCLS, EA 3278, Aix Marseille Université – rstitou@wanadoo.fr.

{69} J. Lacan (1972-73), Séminaire XX. Encore, Paris, Seuil, 1975.

{70} Selon l’expression de J. Lacan (1972-1973), Séminaire livre XX. Encore, Paris, Seuil, 1975.

{71} Ce texte a été publié parallèlement dans un cahier qui réunit les conférences du séminaire ASREEPNLS « Que veut dire avoir un corps parlant ? », organisé par Beatriz Premazzi et Sofía Guaraguara à Genève.

{72} Film d’Andrew Niccol, 1997.

{73} Comme le dit Lacan : « Vous êtes surgi de cette chose fabuleuse, totalement impossible, qu’est la lignée génératrice, vous êtes nés de deux germes qui n’avaient aucune raison de se conjuguer si ce n’est cette sorte de loufoquerie qu’on est convenu d’appeler amour. » Lacan J., « Le phénomène lacanien » [30 novembre 1974], Les cahiers cliniques de Nice, 1998, 1, p. 925.

 

{74} Ce chapitre reprend des éléments développés dans François Ansermet, La fabrication des enfants. Un vertige technologique. Odile Jacob, 2015, où cette question est développée dans la partie intitulée Vertige de l’origine.

{75} Gattaca vient d’ailleurs des initiales des bases de l’ADN : adénine, guanine, cytosine, thymine.

{76} Murray T. H., « Stirring the Simmering “Designer Baby” Pot », Science, 2014, 343, p. 12081210.

{77} Les enfants d’Œdipe, qui étaient aussi ses frères et sœurs selon la lignée maternelle, à travers Jocaste, sont tous disparus sans laisser de descendance, en tout cas Antigone, Polynice et Etéocle ; sauf Ismène dont le destin reste mystérieux.

{78} « Le fantasme donne à la réalité son cadre » Lacan J., « Allocution sur les psychoses de l’enfant », 1967, in Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 366.

{79} Lacan pose très bien la complexité du rapport du réel au fantasme dans le Séminaire XI : « C’est par apport au réel que fonctionne le plan 111 du fantasme. Le réel supporte le fantasme, le fantasme protège le réel », J. Lacan, Le séminaire, Livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, 1964, Paris, Seuil, 1973, p. 41.

{80} Il y a donc là un lien paradoxal entre le réel et le fantasme. D’une part le fantasme protège de l’effraction du réel, de l’autre il le rend toujours présent, agissant. Le fantasme voile le traumatisme, en même temps qu’il le maintient. Ce qui n’empêche que pour aider ceux qui se confrontent à une situation aussi impossible à supporter que l’interruption médicale de grossesse, il s’agit de passer par le fantasme pour remettre en fonction le sujet au-delà de la sidération : s’appuyer sur le fantasme, comme soutien d’un désir qui pourrait renaître. Le fantasme est ainsi en même temps une solution et un piège.

{81} Delcourt M., L’oracle de Delphes, Paris, Payot, 1955.

{82} Une maladie neurologique gravissime aboutissant à des mouvements anormaux et des troubles cognitifs majeurs.

{83} Voir à ce propos, le film La Pieuvre de Laetitia Carton, sur une jeune femme dans son parcours et son dilemme de faire ou pas le test génétique pour savoir si elle est porteuse ou pas du gène en cause, alors que de nombreux cas sont présents chez ses ascendants. L. Carton (Réal.), La pieuvre., Paris, Idéale Audience, 2009.

{84} Une certitude dans le cas de la chorée de Huntington ou dans les maladies monogéniques, mais le plus souvent, comme on l’a dit, on ne peut prédire qu’une probabilité : ce qui n’empêche que celleci fonctionne subjectivement comme une certitude de la probabilité.

{85} «… La butée logique de ce qui, du symbolique, s’énonce comme impossible. C’est là que le réel surgit », J. Lacan, Le Séminaire, Livre XVII, L’envers de la psychanalyse, 19691970, Paris, Seuil, 1991, p. 143.

{86} Pour reprendre l’expression de JacquesAlain Miller : « […] on remarque l’émergence d’un désir de toucher au réel en agissant sur la nature : la faire obéir, mobiliser et utiliser sa puissance », J.A. Miller, « Un réel au XXIe siècle. Présentation du thème du IXe congrès de l’AMP », La cause du désir, 2012, p. 82.

{87} Lacan J., Le Séminaire, Livre VI, Le désir et son interprétation, 19581959, Paris, La Martinière/Champ Freudien, 2013, p. 449.

{88} Ibid, p. 450.

{89} Id., p. 108.

{90} Voir à ce propos Lacan J., Le Séminaire, Livre XVII, L’envers de la psychanalyse, 19691970, Paris, Seuil, 1991, p. 174. 21.

{91} Ibid, p. 174.

{92} Lacan J., Le Séminaire, Livre VI, Le désir et son interprétation, 19581959, Paris, La Martinière/Champ Freudien, 2013, p. 108.

{93} La confrontation au point panique (voir note précédente, et Séminaire VI p. 108) implique que le sujet se raccroche à quelque chose : « Il se raccroche justement à l’objet en tant qu’objet du désir », mais comme il le montre ensuite, cet objet est relié au sujet à travers un fantasme, qui sous-tend le désir.

{94} J. Lacan, « Allocution sur les psychoses de l’enfant », 1967, in Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 366.

{95} H. Arendt, Le système totalitaire, Paris, Seuil, 1972, p. 200.

{96} Ce projet fantasmatique répond peut-être à la souffrance de Mary Shelley suite à la mort de son enfant de sept mois, survenue juste avant la création de cette œuvre qui se veut être aussi un rêve de rendre la vie à ce petit cadavre ; voir à ce propos la façon dont Mary Shelley discute la genèse de son roman – dont elle débute l’écriture en 1816 à Genève, dont on fête cette année le centenaire, la fameuse année sans été, qui a amené au jeu d’écrire pour se distraire du temps maussade. Un livre qui sera publié en 1818 dans sa préface de 1831 (cf. aussi Duperray M. Lecture de « Frankenstein», Mary Shelley, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 1997).

{97} Comme l’indique Lacan dans « La Troisième », discours prononcé à Rome le 1er novembre 1974. de la vie nous n’en savons rien, à part ce terme vague « qui consiste à énoncer le jouir de la vie ». Mais de la vie en tant que telle, nous n’en savons rien, encore moins quant à savoir d’où vient la vie, qu’estce qui s’est passé pour ça se mettre tout à coup à édifier une molécule d’ADN, « comment elle a pu prendre son départ ». Comme Lacan poursuit, « tout ce à quoi nous induit la science, c’est de voir qu’il n’y a rien de plus réel, ce qui veut dire rien de plus impossible à imaginer ». J. Lacan, « La Troisième », La Cause freudienne, 2011, 79, p. 30.

{98} Shelley M., Frankenstein ou le moderne Prométhée, 1817, Paris, Pocket, 1994, p. 64.

{99} Ibid., p. 65-66.

{100} Ibid., p. 174.

{101} Ibid., p. 175.

{102} Finalement Frankenstein détruit la femme que lui avait demandé sa créature, pour éviter que vienne de leur union « une race de démons » qui se propage ensuite sur la terre ; en effet : « une des premières conséquences de cet amour dont le démon éprouvait tant le besoin serait la naissance d’enfants », Ibid, p. 199.

{103} C’est peut-être aussi ce qui fait passer Lacan de la biologie à ce qu’il désigne comme « la viologie, la logie de la violence », Lacan J., « RSI, 8 avril 1975 », Ornicar, 1975-1976, 5, p. 45.

{104} Héritier F., « Réflexions pour nourrir la réflexion », De la violence, I, Paris, O. Jacob, « Opus », 1996, p. 11-53.

{105} Jacques-Alain Miller, Biologie lacanienne et événements de corps. La Cause Freudienne, 44, 2000, p. 5.

{106} Ramuz C.-F., « Besoin de Grandeur », Oeuvres complètes, vol. 4, Lausanne, Ed. Rencontre, 1938.

{107} On pourrait voir la contingence comme un hasard dont on se saisit.

{108} Lacan J., « RSI, 8 avril 1975 », Ornicar, 19751976, 5, p. 45.

{109} Voir Godard J.L., Miéville A.M, « Toi, moi », France, tour, détour,

deux enfants, Paris, Antenne 2, 1980.

{110} Pour rejoindre parfois une procréation divine, même si ce registre se retrouve plutôt au centre des délires psychotiques.

{111} Voir à ce propos les développements donnés sur ces dimensions subjectives dans Vertige de l’origine, au chapitre 2.

{112} « Tiens ma chérie, voici mon utérus», diffusé le 5 novembre 2012, RSR, La 1ère, Corpus de Virginie Matter, avec François Ansermet. Accès : http://www.rts.ch/la1ere/programmes/corpus/4307798tiensmacherievoicimonuterus.html «Naissance du premier bébé suite à une greffe d’uterus. Définition de la PMA», diffusé le 10 octobre 2014, RSR, La 1re, Corpus de Virginie Matter, avec François Ansermet. Accès : http://www.rts.ch/audio/la1ere/programmes/corpus/6193014corpus10102014.html?f=player/popup#/la1ere/programmes/corpus/61930 14corpus10102014.html

{113} comme « 23AndMe ».

{114} J.-A. Miller, « Les six paradigmes de la jouissance », La Cause Freudienne, 1999, p. 43, p. 729.

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