Mes jours s’en sont alez errant,
Comme, dit Job, d’une touaille
Font les filletz, quant tixerant
En son poing tient ardente paille:
Lors s’il y a nul bout qui saille,
Soudainement il le ravit.
Sy ne crains plus que riens m’assaille,
Car a la mort tout s’assouvit1.
1 Lett.: «tutto si sottomette alla morte». Il traduttore ha introdotto una reminiscenza di Baudelaire («La mort des pauvres»).