LE CAPITALISME LIBÉRAL

Théorie en 30 secondes

Milton Friedman est connu pour avoir affirmé qu’afin de laisser s’épanouir le capitalisme, l’État devrait se retirer de toute activité économique excepté « l’armée, la justice et les principales voies de transport ». Ce capitalisme libéral est fondé sur l’idée de base que les particuliers prennent de meilleures décisions économiques que les agents de l’État. Par exemple, le patron d’une entreprise choisira soigneusement ses investissements de manière à satisfaire au mieux ses clients. Pendant ce temps, le travailleur fera son choix parmi les emplois disponibles selon les horaires, le salaire et les savoir-faire que cela lui permettra de développer. Puisque tous les partenaires cherchent les meilleures opportunités, ils entraînent l’économie vers un maximum de prospérité. Le rôle de l’État se réduit par conséquent à celui de « veilleur de nuit », qui joue les figurants en facilitant l’activité – par la protection des droits de propriété, par le maintien de la loi et de l’ordre et par la défense du système contre les agressions extérieures. En corollaire, le libre-échange est encouragé dans l’économie internationale pour assurer un maximum de prospérité dans le monde. Laisser les particuliers commercer librement par-dessus les frontières sans restrictions étatiques permet à chaque pays de faire le meilleur usage de ses avantages concurrentiels, qu’ils soient dans la culture du café ou la fabrication d’ordinateurs.

CONDENSÉ EN 3 SECONDES

Le libéralisme et la propriété individuelle auront pour résultats une prospérité maximale et la liberté pour tous.