29. “Les esquisses ont communément un feu que le tableau n’a pas. C’est le moment de chaleur de l’artiste, la verve pure, sans aucun mélange de l’apprêt que la réflexion met à tout; c’est l’ame du peintre qui se répand librement sur la toile. La plume du poète, le crayon du dessinateur habile, ont l’air de courir et de se jouer. La pensée rapide caractérise d’un trait.” Denis Diderot, Salons, II: Salon de 1765 (London: Oxford University Press, 2nd ed., 1979), 153, 154. I borrow from two translations: Denis Diderot, Selected Writings on Art and Literature, tr. Geoffrey Bremner (London: Penguin Books, 1994), 244; and Diderot on Art, tr. John Goodman, with an Introduction by Thomas Crow, I (New Haven and London: Yale University Press, 1995), 104.