1. Mathilde Lopez, Le lion d’Afrique (panthera leo) et sa conservation, thèse pour obtenir le grade de docteur vétérinaire, université Claude Bernard – Lyon I, 2014, p. 32.

2. Séverine Morin-Garraud, op. cit., p. 94.

3. Mathilde Lopez, op. cit., p. 34.

4. Du fait du faible taux de survie des petits en milieu naturel, et du fait qu’un seul accouplement sur cinq donne lieu à une portée, il faut une moyenne de trois mille accouplements pour un lionceau qui atteindra l’âge adulte (voir Brian Bertram, Les sociétés animales, Belin, coll. Bibliothèque pour la science, 1980). La mortalité des lionceaux est en effet importante : 80 % (dont 25 % due à d’autres lions et prédateurs – hyènes, léopards, aigles – et 25 % liée à la sous-alimentation en période de famine). Peu de lionceaux survivent à leur première année de vie. Voir Séverine Morin-Garraud, op. cit., p. 25.