19 novembre 1952

Cher vieux frère,

 

Jamais assez de colère, jamais assez d’amour, d’amitié, pour te dire combien je t’aime, combien je sais que tu es seul avec Paul39 et le resteras pour de très grands voyages dont je pressens à peine les ciels de fond.

Et ce n’est pas fini. Tu écriras comme personne.

 

Bien, bien près de toi ce soir.

Nicolas