É. Benveniste, « La forme et le sens dans le langage », Le Langage, Acte du XIIIe Congrès des sociétés philosophiques de langue française, Neuchâtel, éd. La Baconnière, 1967, p. 35.
G. Frege, « Ueber Sinn und Bedeutung », Zeitschrift für Philosophie und philosophische Kritik, 100, 1892 ; trad. fr. : « Sens et dénotation » in Écrits logiques et philosophiques, éd. du Seuil, 1971 ; trad. angl. : « On sense and reference », in Philosophical Writings of Gottlob Frege, Oxford, Blackwell, 1952.
É. Benveniste. op. cit., p. 37.
L. Wittgenstein, Logisch-philosophische Abhandlung, 1922.
P. F. Strawson, Individuals. An Essay in Descriptive Metaphysics, Londres, Methuen, 1959 ; trad. fr. : Les Individus, éd. du Seuil, 1973 (Ire partie, chap. I, § 1).
J. Searle, Speech Acts, Cambridge University Press, 1969 ; trad. fr. : Les Actes de langage, Hermann, 1972 (Ire partie, chap. IV, § 2 : Axiomes de référence).
G. G. Granger, Essai d’une philosophie du style, éd. A. Colin, 1968.
L’auteur place en épigraphe de son ouvrage ce texte tiré de la Métaphysique d’Aristote (A 981 a 15) : « Toute pratique et toute production portent sur l’individuel : ce n’est pas l’homme, en effet, que guérit le médecin, sinon par accident, mais Callias ou Socrate, ou quelque autre individu ainsi désigné, qui se trouve être, en même temps, homme. »
M. C. Beardsley, Aesthetics, New York, Harcourt, Brace and World, 1958, p. 134.
R. Jakobson, op. cit., p. 213 et s.
VIe Étude, § 1.
S. Langer, Philosophy in a New Key, Harvard University Press, 1942, 1951, 1957.
W. K. Wimsatt, The Verbal Icon, University of Kentucky Press, 1954, p. 321.
M. B. Hester, The Meaning of Poetic Metaphor, Mouton, La Haye, Paris, 1967 ; cf. ci-dessus VIe Étude, § 7.
N. Frye, Anatomy of Criticism, Princeton University Press, 1957 ; trad. fr. : Anatomie de la critique, Gallimard, 1970.
S. Langer, Feeling and Form, A Theory of Art, Charles Scribner’s Sons, 1953, p. 212 ; cité par Marcus B. Hester, op. cit., p. 70.
T. Todorov, Littérature et Signification, Larousse, 1967, p. 102.
J. Cohen, Structure du langage poétique, Flammarion, 1966, p. 199-225.
M. Dufrenne, Phénoménologie de l’expérience esthétique, PUF, 1953, t. II, p. 544.
R. Ruyer, « L’expressivité », Revue de métaphysique et de morale, 1954.
Rhétorique générale, p. 24.
M. Le Guern, Sémantique de la métaphore et de la métonymie, Larousse, 1973, p. 20-21 ; voir VIe Étude, § 1.
N. Frye, op. cit., p. 27.
M. Heidegger, L’Être et le Temps, § 29.
N. Goodman, Languages of Art, an Approach to a Theory of Symbols, Indianapolis, The Bobbs-Merrill Co, 1968.
N. Goodman, Op. cit., VI, 3, p. 241-246.
Le tableau que je propose ci-après n’est pas de l’auteur. Je l’ai établi pour moi-même afin de m’orienter dans les distinctions et dans la terminologie de ce difficile ouvrage.
Op. cit., p. 10-19.
N. Goodman, op. cit., p. 241-244.
Op. cit., p. 32.
Op. cit., p. 32.
N. Goodman, op. cit., p. 52-57.
Op. cit., p. 74-81.
N. Goodman, op. cit., p. 81-85.
N. Goodman, op. cit., p. 70.
Op. cit., p. 71-74.
N. Goodman, op. cit., p. 77.
Max Black, Models and Metaphors, p. 37.
N. Goodman, op. cit., p. 73.
N. Goodman, op. cit., p. 85.
Max Black, op. cit., chap. XIII, p. 219-243.
Mary B. Hesse, « The explanatory function of metaphor », in Logic, Methodology and Philosophy of Science, éd. par Bar-Hillel, Amsterdam, North-Holland. 1965 ; repris en « Appendice » à Models and Analogies in Science, University of Notre Dame Press, 1966, 1970.
Stephen Toulmin, The Philosophy of Science, Londres, 1953, p. 38-39.
C. G. Hempel et P. Oppenheim, « The logic of explanation » in Readings in the Philosophy of Science, éd. par H. Feigl et M. Brodbeck, New York, 1953.
Stephen C. Pepper, World Hypotheses, University of California Press, 1942, p. 91-92 ; cité par Max Black, op. cit., p. 239-240.
On trouvera chez Philip Wheelwright, Metaphor and Reality, Indiana University Press, 1962, une tentative pour hiérarchiser les métaphores selon leurs degrés de stabilité, leur pouvoir englobant ou leur amplitude d’appel ; l’auteur appelle symboles les métaphores dotées de pouvoir intégrateur : au plus bas degré, il trouve les images dominantes d’un poème particulier ; puis les symboles qui, en vertu de leur signification « personnelle », président à une œuvre entière ; puis les symboles partagés par une tradition culturelle entière ; puis ceux qui lient les membres d’une vaste communauté séculière ou religieuse ; enfin, au cinquième rang, les archétypes qui présentent une signification pour l’humanité entière ou, du moins, pour une fraction importante de celle-ci : par exemple, le symbolisme de la lumière et des ténèbres, ou celui de la seigneurie. Cette idée d’une organisation en niveaux est reprise par Berggren, op. cit., I, 248-249. D’un point de vue tout différent, celui de la stylistique, Albert Henry (Métonymie et Métaphore, éd. Klincksieck, 1971, p. 116 et s.), montre que ce sont les combinaisons de métaphores, selon des figures de second degré qu’il détaille avec une extraordinaire subtilité, qui intègrent le procédé rhétorique à une œuvre entière chargée de véhiculer la vision singulière du poète. Évoquant plus haut l’analyse de Albert Henry (cf. ci-dessus p. 259), j’ai souligné que la référence à un monde et la rétro-référence à un auteur sont contemporaines de cet entrelacs qui élève le discours au rang d’œuvre.
1re Étude, § 5.
P. Ricœur, L’Homme faillible, IVe partie : « La fragilité affective ».
Douglas Berggren, « The use and abuse of Metaphor », Review of Metaphysics, 16, I (décembre 1962), p. 227-258, II (mars 1963), p. 450-472.
Berggren, op. cit., I, 249.
Berggren, op. cit., I, 253.
Ernst Cassirer, La Philosophie des formes symboliques ; t. I : Le Langage ; chap. 5 : « Le langage et l’expression des formes de la relation pure. La sphère du jugement et les concepts de relation. »
Rhétorique générale, p. 114-115.
Coleridge, appendice C à The Statesman’s Manual, cité par I. A. Richards, The Philosophy of Rhetoric, p. 109.
Owen Barfield, Poetic Diction : A Study in meaning, New York, McGraw Hill, 1928, 19642.
Philip Wheelwright, The Burning Fountain, éd. révisée, Indiana University Press, 1968. Metaphor and Reality, Indiana University Press, 1962, 1968.
Wheelwright, Metaphor and Reality, p. 17.
The Burning Fountain, p. 25-29, 55-59.
Metaphor and Reality, p. 38-39.
Ibid., p. 19, 30, 130 et passim.
Colin Murray Turbayne, The Myth of Metaphor, Yale University Press, 1962. Éd. révisée, the University of South Carolina Press, 1970. (En appendice, Rolf Eberle : « Models ; Metaphors, and Formai Interpretations »).
Francis Bacon, Novum Organum, Londres, 1626, I. 44. Cité par Turbayne, op. cit., p. 29.
Cf. ci-dessus p. 309, n. 2.
L’expression est de Bedell Stanford dans Greek Metaphor, Studies in Theory and Practice, Oxford, Blackwell, 1936, p. 105 ; elle est reprise par de nombreux auteurs de langue anglaise.
Op. cit., p. 238-239.