1173. |
Si je traduis mot à mot, cela rend un son absurde ; si, par nécessité, je modifie si peu que ce soit la construction ou le style, j’aurai l’air de déserter le devoir du traducteur. (Saint Jérôme, « Lettre LVII – À Pammachius » [c395], 1953, III : 61. Traduction : Jérôme Labourt) |
1174. |
Oui, quant à moi, non seulement je le confesse, mais je le professe sans gêne tout haut : quand je traduis les Grecs – sauf dans les Saintes Écritures, où l’ordre des mots est aussi un mystère – ce n’est pas un mot par un mot, mais une idée par une idée que j’exprime. (Saint Jérôme, « Lettre LVII – À Pammachius » [c395], 1953, III : 59. Traduction : Jérôme Labourt) |
1175. |
Toutes les fois que le mot à mot n’offrait qu’une sottise ou une image dégoûtante, j’ai pris le parti de dissimuler ; mais c’était pour me coller plus étroitement à Dante, même quand je m’écartais de son texte : la lettre tue et l’esprit vivifie. (Antoine de Rivarol, 1785 : XXXIV) |
1176. |
Trop souvent, les traducteurs n’exploitent pas assez les ressources idiomatiques de leur langue, ce qui a pour effet d’affaiblir la force figurative de leur traduction puisqu’ils ne compensent pas la perte d’idiotismes par l’introduction d’autres idiotismes. (Eugene A. Nida, 1969 : 106. Traduction) |
1177. |
Traduire ce que les mots ne disent pas, mais ce qu’ils font. Oui, mais cela ne saurait s’accomplir par la disparition du traducteur dans sa traduction […]. (Henri Meschonnic, 1999 : 55) |
1178. |
Si le traducteur s’éloigne trop de l’original, il ne traduit plus, il imite ; s’il le copie trop servilement, il fait une version, & n’est que translateur. N’y aurait-il pas un milieu à prendre ? (Jean-François Marmontel, 1751, IV : 952) |
1179. |
Le traducteur timoré travaille au niveau du mot et de la phrase, tandis que le traducteur « inspiré » tient compte de la culture dans son ensemble et de la manière dont fonctionne le texte dans cette culture. (André Lefevere, 1992b : 51. Traduction) |
1180. |
Une traduction ne peut jamais être considérée comme tout à fait terminée, même aux yeux du traducteur. Le traducteur, comme le peintre, doit prendre de la distance devant sa première esquisse. (Frank R. Scott, « Dialogue », dans Hébert et Scott, 1970 : 100. Traduction : Jean Simard) |
1181. |
Pour toute littérature de définition – essais, livres d’histoire, etc. – le mot à mot me paraît requis. (Maurice Zermatten, dans « Enquête de la FIT… », 1959 : 65) |
1182. |
Un attachement trop scrupuleux à la lettre, détruit l’esprit, & c’est l’esprit qui donne la vie : trop de liberté détruit les traits caractéristiques de l’original, ou en fait une copie infidele. (Nicolas Beauzée, 1765 : 512) |
1183. |
Le traducteur doit parler comme son auteur, il doit mettre ses pas dans ses pas, enfiler sa vieille robe de chambre, chausser ses pantoufles, épier ses tics, guetter ses gestes, et restituer, à la façon d’une doublure de théâtre, sa silhouette et les inflexions de sa voix. (Albert Bensoussan, 1995 : 111) |
1184. |
Le traducteur doit rendre son texte accessible, mais en se gardant bien de mettre de la lumière quand l’original n’en a pas. Si l’original est d’une rare obscurité, il faudra bien ne pas trop éclairer le texte traduit. (Albert Bensoussan, 1995 : 39) |
1185. |
Le traducteur ne doit pas succomber à l’appel des sirènes, il ne doit pas faire beau, il doit faire juste. (Albert Bensoussan, 1995 : 29) |
1186. |
Le traducteur ne donne pas à lire sa lecture, bien évidemment ; il tente de passer le texte étranger dans sa langue, sans l’appauvrir, et sans l’enrichir non plus, dans toute son épaisseur, avec toutes ses résonances ou ses ambiguïtés, acclimatant davantage ici à la culture d’arrivée, préservant là une plus grande étrangeté. (Fabrice Antoine, « Avant-propos », dans Desmond, 2005 : VI-VII) |
1187. |
À propos de la manière de traduire d’Hilaire le Confesseur : « Loin de s’attacher à la lettre somnolente et de se torturer par une traduction affectée à la manière des ignorants, il a pour ainsi dire capturé les idées, et les a transposées dans sa propre langue, par le droit du vainqueur. » (Saint Jérôme, « Lettre LVII – A Pammachius » [c395], 1953, III : 62. Traduction : Jérôme Labourt) |
1188. |
La traduction doit exhiber les blessures que l’original inflige à la langue cible. (Stefan Zweifel, « Le sadomasochisme comme principe de traduction », dans Graf, 1998 : 135. Traduction : Gilbert Musy) |
1189. |
C’est grandement trahir l’auteur que de lui attribuer des anomalies de langage alors qu’il n’en a aucune dans sa langue et n’avait aucune intention d’en avoir. A contrario, c’est tout autant trahir l’auteur que de lui transcrire un texte lisse et polissé en vertu d’on ne sait quel principe de « bonne mœurs littéraires » quand le sien est plein d’épines et d’aspérités. (Céline Zins, dans Actes des deuxièmes Assises…, 1986 : 51) |
1190. |
Il n’est pas toujours essentiel de traduire les mots ni même parfois le sens, mais il faut toujours reproduire l’impression. (Alekseï Konstantinovitch Tolstoï, dans Tchoukovski, 1984 : 80. Traduction) |
1191. |
Si on traduisoit en termes vulgaires, ce que l’on a écrit en belle latinité, on feroit un ouvrage aussi mauvais que ridicule. (Saint Thomas d’Aquin, « Contre les erreurs des Grecs » [c1261], 1856 : I : 3. Traduction : M. Bandel) |
1192. |
Une contrainte trop basse ruine toute la grace & toute la beauté des paroles ; & qu’une liberté trop hardie en altere tout le sens. (Gaspard de Tende, 1660 : V-VI) |
1193. |
Un traducteur ne doit point s’effrayer, moins encore s’arrêter par la sévérité de sa langue. Qu’on lui présente dans une autre, des images familieres, il doit les rendre dans la sienne, par des images semblables. (Maximilien-Henri de Saint-Simon, 1771 : XIII) |
1194. |
Faisons du mieux possible notre métier, dans l’irrespect de la lettre, dans le respect de l’esprit. (William Desmond, 2005 : 48) |
1195. |
Nous devrions rendre l’original de telle sorte que la version traduite produise chez les gens auxquels elle s’adresse une impression exactement semblable à celle qui est produite chez les gens auxquels l’original s’adresse. (Edgar Allan Poe, 1983 [c1844-1849] : 110. Traduction : Jean-Marie Maguin et Claude Richard) |
1196. |
Le traducteur n’est pas là pour figer la lave du volcan ; la « précision » ne peut être qu’un défaut parce qu’elle implique un choix mutilant. Elle réduirait une symphonie à sa mélodie, et ferait d’un Raphaël une copie en noir et blanc. (Étienne Barilier, 1990 : 45) |
1197. |
Il n’y a pas deux manières de bien rendre les pensées d’un auteur qu’on traduit. (Charles-Joseph Panckoucke, « Sur l’art de traduire » [c1787], dans D’hulst, 1990 : 136) |
1198. |
Une traduction littéraire d’un ouvrage sérieux prend souvent ou devrait prendre autant de temps qu’il en a fallu pour écrire l’original. Le premier jet, l’élan créateur, doivent en effet être remplacés par une méditation des valeurs de style à reproduire par des calculs savants d’effets compensatoires dans la nouvelle langue, par la longue attente parfois d’une trouvaille adéquate. (Jean-Jacques Mayoux, dans « Enquête de la FIT… », 1959 : 80) |
1199. |
Qui traduit selon la lettre est un faussaire, qui ajoute un blasphémateur. (François Vaucluse, 2001 : n. p.) |
1200. |
Pour ce qui est de l’histoire, je l’ai suivie exactement et ponctuellement ; mais je n’ai pas voulu faire les grotesques, qu’il est impossible d’éviter quand on se restreint dans la servitude de traduire de mot à mot. Je sais bien le goût du collège, mais je m’arrête à celui du Louvres. (François de Malherbe, « Avertissement du XXXIIIe livre de Tite-Live » [c1616], 1862, I : 464-465) |
1201. |
Ce n’est pas aux mots du texte latin, comme le font ces ânes6, qu’il faut demander comment on parle allemand. C’est à la mère dans son foyer, aux enfants dans les rues, à l’homme du commun sur la place du marché qu’il faut le demander ; écoutez comment parle leur bouche et tenez-en compte dans votre traduction : c’est ainsi qu’ils vous comprendront et auront le sentiment que vous leur parlez allemand. (Martin Luther, Ein Sendbrief vom Dolmetschen [c1530], dans Bocquet, 2000 : 171. Traduction : Catherine Bocquet) |
1202. |
Quand notre Langue résistoit à l’expression Angloise, j’ai traduit l’idée ; & quand l’idée conservoit encore un air trop étranger aux nôtres, j’ai traduit le sentiment. (Pierre Le Tourneur, 1770, I : LXXV) |
1203. |
Le traducteur recherche le vouloir dire de l’auteur, sa méthode est l’explication de texte et non l’analyse linguistique. (Mariane Lederer, 1984a : 23) |
1204. |
À propos de sa traduction de l’Iliade : « Je n’ai pas cru qu’une traduction fidèle de l’Iliade pût être agréable en français. J’ai trouvé partout, du moins par rapport à notre temps, de grands défauts joints à de grandes beautés ; ainsi je m’en suis tenu à une imitation très-libre, et j’ai osé même quelquefois être tout à fait original. Je ne crois pas cependant avoir altéré le sens du poëme ; et quoique je l’aie fort abrégé, j’ai prétendu rendre tout l’action, tous les sentiments, tous les caractères. » (Antoine Houdar de La Motte, « Lettre à Fénelon, 14 décembre 1713 », dans Fénelon 1874 : 124-125) |
1205. |
Il me semble, veu la contrainte de la ryme, & la difference de la proprieté, & structure d’une langue à l’autre, que le son devoir, qui sans corrompre le sens de son aucteur, ce qu’il n’a peu rendre d’assez bonne grace en un endroit s’efforce de le recompenser en l’autre. (Joachim du Bellay, Deux Livres de l’Eneide […] [c1560], dans Norton 1984 : 256) |
1206. |
Voilà, si je ne me trompe, la difference qui se trouve entre les bonnes & les mauvaises traductions : l’une par une imitation basse & servile rend la lettre sans l’esprit, & l’autre par une imitation libre & noble, conserve l’esprit sans s’éloigner de la lettre, & fait une chose toute nouvelle d’un sujet desjà connu. (Anne Dacier, « Préface », L’Illiade [c1699], 1719, I : XLV) |
1207. |
J’ai longtemps cru qu’il fallait toujours traduire littéralement et intégralement. Je me demande aujourd’hui si certaines œuvres ne réclament pas une adaptation ou plutôt une « abréviation ». L’essentiel me paraît d’extraire l’intéressant et non pas de le laisser perdu comme une île au milieu d’un océan de choses inaccessibles ou inintéressantes. (Benjamin Crémieux, dans « L’enquête des Cahiers du Sud », 1927 : 264) |
1208. |
On doit traduire largement les orateurs et les moralistes verbeux, et strictement les poètes et les écrivains sentencieux. (Joseph Joubert, 1842, II : 123. En ligne) |
1209. |
Chaque traducteur doit immanquablement rencontrer l’un des deux écueils suivants : il s’en tiendra avec trop d’exactitude ou bien à l’original, aux dépens du goût et de la langue de son peuple, ou bien à l’originalité de son peuple, aux dépens de l’œuvre à traduire… (Wilhelm von Humboldt, « Lettre à Schlegel, 23 juillet 1796 », dans Berman 1984 : 9. Traduction : Antoine Berman) |
1210. |
Quand on traduit, il ne s’agit pas de maximiser les ressemblances d’un texte-cible avec un texte-source. Il s’agit d’en minimiser les différences. (Ian Higgins, dans Septièmes Assises…, 1991 : 126) |
1211. |
Le traducteur méticuleux devrait se donner pour règle de traduire lui-même les citations littéraires, même lorsqu’il en existe une bonne version. La cohésion avec le commentaire, ainsi que l’absence de contexte, justifient cette façon de faire. Il faut viser la meilleure intégration possible au texte dans son ensemble. (Horst Günther, « Le traducteur des sciences humaines, un serviteur de la clarté », dans Graf, 1998 : 173. Traduction : Marion Graf) |
1212. |
Il y a deux maximes de la Traduction : l’une demande que l’auteur d’une nation étrangère soit amené jusqu’à nous, de telle façon que nous puissions le considérer comme nôtre ; l’autre, en revanche, que nous nous donnions à l’étranger. (Johann Wolfgang von Goethe, « Avec des souvenirs fraternels de Wielands » [c1813], dans Berman, 1984 : 96) |
1213. |
Sans se rendre servile il faut estre fidéle, Changer l’air étranger en beauté naturelle, Pour estre regulier se dispenser des loix, Et pour suivre l’Auteur le laisser quelquefois. (Antoine Godeau, « Epistres morales » [c1650], dans Zuber, 1968 : 160) |
1214. |
En accomplissant mon office de traducteur, j’ai préféré rendre la santé sobre et l’élégance de mon auteur plutôt qu’une enflure qui lui est étrangère et qui, même ailleurs, ne me plaît guère. (Didier Érasme, « Lettre à William Warham » [c1506], dans Gerlo et Foriers, 1967-1984, I : 396) |
1215. |
La traduction a hésité, hésite et hésitera sûrement toujours entre l’acclimatation et l’excentricité. Elle est même acclimatation tempérée d’excentricité. (Sylvie Durastanti, 2002 : 139) |
1216. |
Il n’y a qu’un moyen de rendre fidèlement un auteur d’une langue étrangère dans la nôtre, c’est d’avoir l’âme bien pénétrée des impressions qu’on en a reçues, et de n’être satisfait de sa traduction que quand elle réveillera les mêmes impressions dans l’âme du lecteur. (Denis Diderot, dans Marouzeau, 1947, I : 104) |
1217. |
Quand le traducteur ne peut rendre une image, qu’il y supplée par une pensée ; s’il ne peut peindre à l’oreille, qu’il peigne à l’esprit ; s’il est moins énergique, qu’il soit plus harmonieux ; s’il est moins précis, qu’il soit plus riche. (Jacques Delille, Les Géorgiques, « Discours préliminaire » [c1770], 1997 : 334) |
1218. |
À propos de sa traduction de deux discours de Démosthène et d’Eschine : « Leurs discours, je les ai traduits non en interprète, mais en orateur, en adaptant les mots à notre propre langue. Pour ceux-ci je n’ai pas jugé bon de les rendre mot pour mot, mais j’ai conservé dans leur entier le genre des expressions et leur valeur. Je n’ai pas cru en effet que je dus en rendre au lecteur le nombre, mais en quelque sorte le poids. (Cicéron, 1964 [vers -46], I : 114. Traduction : Albert Yon) |
1219. |
On ne saurait traduire de la même plume un poème et un catalogue de machines-outils, une pièce de théâtre et un manuel scolaire. (Edmond Cary, 1963b : 11) |
1220. |
Il faut essayer de rester aussi près de l’original que possible, mais en même temps aussi loin que nécessaire : le traducteur ne saurait se situer que dans l’entre-deux – position inconfortable s’il en est, parfois périlleuse, mais constitutive de son identité. (Jean-Claude Capèle, 1999 : n. p. En ligne) |
1221. |
Le traducteur est toujours en équilibre instable au-dessus du vide, à la recherche de cet espace limite où peut se produire la rencontre, la coïncidence au sens propre du terme, c’est-à-dire au milieu, ce lieu où se résout la tension entre deux discours, entre deux musiques. (Jean-Claude Capèle, 1999 : n. p. En ligne) |
1222. |
Je suis absolument contre la fidélité, la littéralité, la volonté de casser une syntaxe, la syntaxe française, la syntaxe de la langue dans laquelle on traduit, sous prétexte que l’écrivain l’a cassée dans sa langue d’origine, sauf s’il l’a cassée volontairement. (Hector Bianciotti, dans Actes des premières Assises…, 1985 : 101) |
1223. |
Toute œuvre est dépaysante. La traduction réellement éthique doit éviter tout aussi bien l’« effet d’étrangeté » abusif que l’effet de naturalisation abusif. Chaque traducteur, ici, a à se frayer un chemin, passer entre Charybde et Scylla. (Antoine Berman, 1995 : 30) |
1224. |
La norme qui prescrit d’éviter les répétitions est si prédominante, qu’elle se vérifie dans tout genre de textes, y compris les ouvrages « classiques » ou canoniques. (Nitsa Ben-Ari, 1998 : 78. Traduction) |
1225. |
Les traducteurs raisonnables adaptent l’original à leur langue (thèse). Ceux qui sont déraisonnables persistent à vouloir adapter leur langue à l’original (antithèse). Ainsi les meilleures traductions sont-elles exécutées par des traducteurs déraisonnables (foutaise). (Carlos Batista, 2003 : 46-47) |
1226. |
Si quelqu’un aspire à la louange que mérite une fidéle traduction, il faut qu’il observe exactement ces trois points ; qu’il n’ajoute rien à ce que dit son Auteur, qu’il n’en retranche rien, & qu’il n’y rapporte aucun changement qui puisse altérer le sens. (Claude-Gaspar Bachet de Méziriac, 1998 [c1635] : 8) |
1227. |
Un décalage dans le ton est préférable à une restitution laborieuse de ce qui n’est pas traduisible. (Anny Amberni, dans Actes des troisièmes Assises…, 1987 : 131) |
1228. |
On ne peut traduire un homme de génie, si on ne le traduit pas vivement et d’enthousiasme. (Jean d’Alembert, « Observations sur l’art de traduire » [c1763], 1967, IV : 40) |
1229. |
Au sujet de Tacite : « Je l’ay suivy pas à pas, et plustost en esclave qu’en compagnon ; quoy que peut-estre je me pûsse donner plus de liberté ; puisque je ne traduis pas un passage, mais un Livre, de qui toutes les parties doivent estre unies ensemble, et comme fonduës en un mesme corps. (Nicolas Perrot d’Ablancourt, « Préface », Annales [c1640] de Tacite, dans Zuber, 1972 : 120-121) |
1230. |
Le moyen d’arriver à la gloire de son original, n’est pas de le suivre pas à pas, mais de chercher les beautez de la langue, comme il a fait celles de la sienne : En un mot, ne pas tant regarder à ce qu’il dit, qu’à ce qu’il faut dire, et considérer plus son but que ses paroles. (Nicolas Perrot d’Ablancourt, « Préface », Annales [c1640] de Tacite, dans Zuber, 1972 : 128-129) |
6. Les papistes. V. aussi les citations 715 et 1984.