CHAPITRE 10

Au milieu du mois de mai, Ostermann s’arrache finalement à ses enfants et à Maria. Il prend également congé de l’avocat et du Dr. Nespoli. A ce dernier, il a confié plusieurs objets, a fait maintes recommandations et promesses. Quand reverra-t-il les êtres chers à son cœur ?

On le retrouve bientôt à Munich, après avoir fait halte à Starnberg, à une trentaine de kilomètres au sud. La raison de cette étape ? « Vergnügen155 », déclare-t-il à la police. A Munich, il séjournera chez une Frau von Schneidheim.

L’Allemagne est alors constituée d’un ensemble d’Etats au sein d’une confédération. Après le congrès de Vienne, une association d’étudiants du nom de Burschenschaft avait attaqué la politique conservatrice de Metternich, réclamant bruyamment la création d’un Etat national. Depuis la fin des années 1820, on assistait en Europe à la montée d’une certaine violence révolutionnaire avec l’émergence de nouveaux mouvements libéraux ou même radicaux. Ils avaient été causés par une crise économique d’une grande ampleur due à des récoltes désastreuses et par un effondrement boursier suivi de faillites en Angleterre. En France, l’attitude rigide du roi Charles X venait de provoquer en juillet 1830 un soulèvement antiroyaliste suivi d’une prise du pouvoir par les libéraux. Un nouveau roi avait été choisi en la personne de Louis-Philippe d’Orléans.

Ces bouleversements en France auront un grand retentissement dans les autres pays d’Europe. La Belgique sera le lieu d’émeutes qui l’amèneront à se séparer de la Hollande et à se trouver un roi. En Allemagne, des troubles éclateront dans plusieurs Etats, notamment en Saxe, forçant les dirigeants à donner à leurs sujets une constitution et des droits. Néanmoins, comme les membres de l’opposition ne réussiront pas à s’entendre, les gouvernements pourront agir avec une extrême sévérité. Derrière ces réactions, on trouve le chancelier d’Autriche Metternich, déterminé à écraser les rébellions d’Europe. En Pologne, la situation est dramatique. Une révolution couve qui éclatera à Varsovie à la fin de novembre 1830 et s’étendra à toute la Pologne. Elle sera finalement matée en août 1831 par le maréchal russe Paskévitch.

Au moment où règne tant d’incertitude en Europe, la Toscane est confrontée à des choix cruciaux. Depuis la chute de Napoléon, les gouvernants de la péninsule ont eu à décider de ce qu’ils garderaient et ce qu’ils rejetteraient de l’héritage laissé par Bonaparte. Fallait-il restaurer les anciens privilèges ou, au contraire, laisser en place une nouvelle classe qui avait collaboré avec les Français ? Cette dernière était formée de gens compétents, issus de la noblesse et de la bourgeoisie. A Frascati, Gaetano Pagliari, frère de Girolamo en faisait partie.

Si à Rome le pape Pie VII avait laissé le cardinal Consalvi, secrétaire d’Etat, garder le meilleur du système français, évitant ainsi de gros problèmes, en revanche, son successeur Léon XII s’était arrangé pour détruire l’œuvre de l’intelligent Consalvi. Un des premiers changements opérés avait été de rendre à la noblesse et à l’Eglise les anciens droits féodaux, donnant ainsi satisfaction aux cardinaux ultraconservateurs, les zelanti, et à certains membres des classes aristocratiques. Cela avait entraîné de graves désordres dans le système juridique et fiscal, suivis de soulèvements populaires en 1831 lorsque les libéraux se débarrasseront de leurs dirigeants, notamment dans les duchés de Parme, de Modène et dans le nord des Etats Pontificaux. Les principales raisons des plaintes sont liées à l’incapacité de la papauté à restaurer l’autonomie des municipalités, ce qui aurait permis aux citoyens de jouer un rôle important dans le gouvernement, comme il en avait été du temps de Napoléon. Les demandes des rebelles ont également pour but d’obtenir l’indépendance, ainsi que des constitutions et des réformes156.

Même le Grand-Duché de Toscane, qui sous l’administration autrichienne avait été un exemple de bon gouvernement, semble abriter une activité révolutionnaire menaçant le statu quo. Plusieurs sociétés secrètes en profitent pour demander l’affranchissement de la domination étrangère et des changements. A Florence, Léopold II de Habsbourg-Lorraine, jusque-là enclin à un certain libéralisme, donne l’ordre à la police de redoubler de vigilance. On expulse de Toscane beaucoup de réfugiés politiques. Certains sont conduits de force à Livourne pour y être embarqués. La plus grande rigueur est tout à coup appliquée dans l’octroi des cartes de séjour. Girolamo, lors d’un retour de Rome, se voit refuser un permis obtenu sans peine jusque-là. Grâce à l’avocat qui s’adresse au président de la police, Girolamo retrouve ledit permis. Dès lors, assisté d’une domestique, il s’installe chez Maria dans un appartement au second étage du palais. Il passera beaucoup de temps auprès de sa fille et se rendra tous les jours chez les Osterfeld.

Le général n’a pas été le seul à éprouver la peine de l’adieu. Même s’il a parlé à tous d’une absence de quatre mois, pour Maria, le départ d’Ostermann-Tolstoï annonce une séparation durable. Elle en est certaine : la vitalité de son ancien amant, son insatiable curiosité, sa soif de changements et de distractions vont l’éloigner pour longtemps de Florence. La Signora Cresci est inquiète. Qu’adviendra-t-il des Osterfeld, d’elle-même, du paiement de son palais si le comte venait à mourir avant d’avoir obtenu de ses héritiers une assurance écrite qu’ils respecteraient les désirs de leur oncle en ce qui concerne les Osterfeld ? Sa pension mensuelle de 300 écus ainsi que les 200 écus destinés à l’éducation et à l’instruction des mineurs seraient en danger. Du coup, elle perdrait une situation sociale durement acquise. Alexandre Ivanovich lui avait promis d’exiger de chacun de ses neveux une lettre. Du second, Valérien, ancien décabriste, il n’obtiendra rien puisqu’il se trouve en ce moment exilé quelque part dans le Caucase. Mais de l’aîné, Alexandre Galitzine, et du plus jeune Léonid, il devrait en toute hâte obtenir un engagement écrit. Oui, Maria se tourmente et dans ses lettres au général, elle lui rappelle ses devoirs de père et sa promesse d’amant.

Ostermann a demandé que toutes les missives de la Signora Cresci et toutes celles de Ranieri Lamporecchi soient envoyées en premier lieu au docteur Enrico Nespoli, en charge des Osterfeld, qui se chargera de les acheminer ensuite vers la Saxe. Lui-même fait parvenir ses lettres au docteur qui les transmet par la suite. Pourquoi ce détour ? Parce qu’Antonio ne doit point savoir quand son épouse écrit ou reçoit des nouvelles du comte. Et parce qu’Enrico Nespoli, avec un dévouement de chien fidèle, voit quotidiennement la Signora Cresci à qui il expose tous les problèmes de santé des pupilles et de la marche du ménage157.

Deux mois après son départ, Ostermann reçoit des nouvelles rassurantes de Lamporecchi :

« Les Mineurs Osterfeld jouissent d’une excellente santé. Leur système d’éducation est le même que celui auquel vous les avez habitués. Autant que leur permette leur âge, ils profitent des études. Le bon ordre règne dans les affaires domestiques. Les instructions que Vous avez données sont suivies à la perfection. Tout cela grâce au mérite et au zèle avec lequel Monsieur Nespoli s’occupe de la direction de la Famille, et [grâce] à la Surveillance de Madame Cresci. Un domestique qui semblait en troubler la tranquillité a été licencié par Mr. Nespoli, avec le consentement de Madame Cresci. Mr. Nespoli, bien qu’il n’y fût pas obligé a eu la gentillesse de m’en faire part, et j’ai approuvé et loué cette décision. » 158

Tous les ans, à Florence, on célèbre la veillée de la Saint-Jean. A cette occasion, des feux d’artifice159 sont tirés du pont de la Carraia, tout à côté du palais Ricasoli d’où les jeunes Osterfeld peuvent jouir de leur spectacle. Une grande partie de la population de Florence et de ses environs se massent sur l’ungarno160, y compris le grand-duc et sa famille qui prennent place dans une somptueuse loge tandis qu’une multitude de barques parées d’élégantes décorations se balance dans le lit du fleuve et s’approche insensiblement du pont. L’Arno, sous la lune, prend une couleur d’argent.

Cette année-là, lors de la veillée de la Saint-Jean, Maria a convié au palais Ricasoli les Lamporecchi et leurs enfants pour jouir du spectacle des feux. Le 6 juillet, l’avocat décrit ces moments au comte :

« A cette occasion j’ai eu le plaisir de connaître personnellement Madame Cresci et mes enfants d’avoir une relation beaucoup plus étroite avec les Mineurs Osterfeld. Ils se sont rendu visite les uns aux autres. Ils ont même échangé des cadeaux. Demain les Mineurs Osterfeld et Monsieur Nespoli me feront l’honneur de venir déjeuner et je suis certain que ce banquet d’enfants sera plus gai qu’un déjeuner de Diplomates ou de Souverains ».

Même si les nouvelles de Florence sont on ne peut meilleures, le général est envahi de nostalgie en pensant aux siens. Par lettre il s’en ouvre à Maria, lui proposant d’envoyer en Saxe leur fils Nicolas. Cependant, il est hors de question que la Signora Cresci se sépare de son premier-né, son favori. Il représente son plus grand atout dans ce lien délicat entre elle et le père de ses enfants. S’il arrivait malheur au seul fils d’Alexandre Ivanovich, il est certain qu’elle perdrait une partie de son influence sur le général. Et, peut-être bien, une partie de sa rente. Alors Maria temporise, évite de donner réponse au comte. Mais vers la fin de l’été, il revient à la charge : il lui faut un des Osterfeld auprès de lui. Cette fois-ci, il demande la petite Catherine. Embarrassé, Nespoli en avise le chevalier Lamporecchi :

« Illustre Monsieur

Son Excellence Monsieur le Comte Ostermann-Tolstoï, m’honorant de sa confiance, daigna comme vous le savez, me confier, avant son départ de Florence, la charge épineuse de diriger tout ce qui concerne l’éducation générale, l’honneur et les intérêts des petits Osterfeld dont il s’est fait le Protecteur.

En cette qualité, je crois qu’il est de ma compétence de vous communiquer à vous, leur curateur, que S.E. le Comte Ostermann a décidé de faire venir à Munich en Bavière, où il se trouve actuellement, un des trois enfants, c’est-à-dire Caterina Osterfeld, et qu’à cet effet, il a commandé, ainsi qu’on peut le constater dans une lettre visible, que soient déboursés 200 Francescone, auprès de son banquier de Florence, par votre entremise, Monsieur, et que finalement, V.E. ait la complaisance de procurer le Passeport nécessaire à Caterina Osterfeld, à Monsieur Girolamo Pagliari de Frascati, son compagnon de voyage, à Agostina Pinguely de Lausanne, sa gouvernante, et à son domestique Carlo Göbl, de Vienne ».161

Oui, diriger l’éducation, l’honneur et les intérêts des Osterfeld est une tâche épineuse. Pour Nespoli, les ordres concernant les pupilles émanent d’un père lointain, absent mais fort autoritaire. D’autres directives viennent de Maria ou de Girolamo Pagliari, et souvent contrecarrent les désirs du comte ou ceux du médecin. Pour couronner le tout, un tuteur supervise, prend acte des changements concernant les enfants, se montre plutôt bienveillant et accommodant, mais intraitable avec les règlements.

Officiellement et juridiquement, ils ne sont les enfants de personne. Néanmoins, ils sont très investis émotionnellement par leurs parents. Pour la Signora Cresci, ils représentent une situation matérielle sûre en même temps qu’un lien continu avec son ancien amant. Pour Ostermann-Tolstoï ils sont les fruits de ses entrailles, ainsi qu’il l’exprimera plus tard à l’avocat. Ils sont aussi la joie et la consolation de son âge.

Lamporecchi réagit au quart de tour au courrier de Nespoli : en vingt-quatre heures, il se procure les passeports de Catherine et du groupe qui accompagne l’enfant. Puis il écrit à Ulrich Walser, le banquier du comte à Livourne :

« Monsieur,

Vous êtes le Banquier de Monsieur le Comte Alexandre Ivanovich Ostermann Tolstoï. Je suis son Avocat. En plus, je suis le Tuteur nommé à la suite de sa demande au Magistrat Suprême de Florence, par décret du 4 mai 1830, [tuteur] des Mineurs Nicola, Caterina, Agrippina, orphelins protégés et entretenus par lui. […] à l’arrivée à Dresde de sa sœur la Princesse Galitzine, l’Illustre Monsieur le Comte aurait donné l’ordre que la petite Caterina Osterfeld aille le rejoindre. Ce dernier projet va se réaliser. Monsieur le Comte écrit que sa sœur sera à Dresde le 12 du mois courant. [Il ordonne] qu’on prenne des dispositions nécessaires pour faire partir rapidement pour Dresde Caterina Osterfeld en compagnie de Monsieur Girolamo Pagliari, Agostina Pinguely sa gouvernante, et l’un des domestiques de la famille. Et nous sommes en train d’exécuter tout cela. L’enfant a été équipée comme il convient pour un tel voyage. On a pris le passeport […]

Il ne manque que l’argent, ainsi qu’un ordre de paiement. Monsieur le Comte écrit qu’on prenne l’argent chez Monsieur Harander162 et que moi, en tant que tuteur je me présente à Vous pour vous autoriser à payer l’équipement nécessaire et le voyage de Caterina, ma Pupille […]

Et, puisque la compagnie devrait partir samedi, ou, au plus tard dimanche, il est nécessaire que par retour du courrier, vous me donniez réponse. » 163

Impérieux Lamporecchi ! Lui qui a reçu des instructions par le biais d’un médecin chirurgien employé du comte, il a maintenant besoin d’affirmer son autorité. N’est-ce pas lui qui devrait être aux commandes dans toute cette histoire ? Le voici obligé de coopérer au projet déraisonnable du général Ostermann-Tolstoï ! Peut-être exprime-t-il son indignation à sa chère épouse Luigia, car rien ne met plus en colère le tuteur qu’un manquement aux lois. De plus, sa responsabilité envers les petits Osterfeld lui tient à cœur. C’est avec une rigueur absolue qu’il entend gérer leurs affaires et veiller à leur éducation jusqu’au retour du comte. De la part du général, il y a non seulement un non-respect des normes légales, mais un mépris des formes : comment se fait-il qu’il n’ait point consulté le tuteur dans ce projet de voyage ? L’habitude de commander aux armées lui donne-t-il l’illusion que d’autres se plieront à toutes ses extravagances, à toutes ses lubies ?

En outre, Ranieri Lamporecchi est inquiet pour Catherine. Si la fillette, qui est de santé fragile, ne supportait pas le long voyage et le climat de Saxe ? Déjà son jeune corps a montré des signes de langueur. Forcer l’enfant à quitter sa mère, le docteur Nespoli, son frère Nicolas et sa sœur Agrippine, est le coup de tête d’un homme qui ne connaît rien aux enfants. A-t-il pensé aux risques d’un tel périple ? Aux maladies liées aux premiers frimas ? Aux accidents de voiture, aux rencontres avec des bandits qui pullulent aux abords des routes ? A-t-il songé aux auberges grouillantes de vermine ? Et aux dangers plus graves encore : ceux qu’apportent les guerres et les émeutes ?

« Demain matin de bonne heure le convoi partira en direction de Bologne et poursuivra son voyage jusqu’à Monaco164 où il retrouvera Votre personne et vos ordres pour lui indiquer comment arriver à Dresde et je me plais à l’idée que leur voyage sera, comme je le souhaite, très heureux », écrit le tuteur au général.

Le 4 septembre, avant le départ de Catherine, Lamporecchi confie à Girolamo Pagliari une lettre destinée au comte. Il a dressé une longue liste de toutes les démarches entreprises par lui « en accomplissement des ordres écrits ». Par ailleurs, il fait parvenir au général une copie des échanges épistolaires qu’il a eus avec Nespoli et avec le banquier Walser de Livourne. Ce dernier n’a reçu aucun ordre de paiement de la part d’Ostermann-Tolstoï ; mais vu l’urgence de la situation, il a été d’accord d’avancer la somme nécessaire au voyage. Le respect dont Lamporecchi est entouré a eu raison des irrégularités de la procédure. L’avocat souhaite néanmoins recevoir une lettre du comte avec ses ordres au sujet dudit paiement. Ce billet devrait confirmer également l’ordre d’envoyer Catherine à Munich et à Dresde :

« Cette lettre est d’autant plus nécessaire qu’en tant que tuteur des Mineurs Osterfeld, je dois de temps en temps rendre compte au Magistrat Suprême de leur situation économique, de leur avoir, de leur éducation. Et en ce moment, si le Magistrat me demandait de rendre compte de tout ça, je n’aurais à lui montrer que le billet de Monsieur Nespoli, pour justifier la décision d’exposer ma pupille Caterina à un si long voyage. J’attends donc de votre amabilité, une lettre de justification de ma conduite auprès du Magistrat Suprême. » 165

Et puis, le tuteur entend connaître le lieu de séjour de la fillette :

« Je crois vous avoir entendu dire plusieurs fois que votre intention était de confier la pupille à la princesse Galitzine, Votre sœur demeurant à Moscou. Vous comprenez bien, Monsieur le Comte, que moi, en tant que Tuteur de l’Enfant (indépendamment de la volonté de V.E.), je ne pourrais pas la placer dans un lieu si éloigné de la Toscane où elle a été naturalisée, ni auprès d’une Dame qui, si respectable soit-elle, ne semble pas être liée à l’enfant par aucun devoir ou affection. C’est pourquoi aussi ce choix de gardienne et d’éducatrice de la fillette doit être autorisé par moi et approuvé du Magistrat grâce aux intentions et aux désirs exprimés par Votre Excellence qui êtes son protecteur et bienfaiteur. Et, du même coup, je vous prie de m’écrire pour les éventuels déplacements des autres Mineurs Osterfeld, c’est-à-dire de Nicola et d’Agrippina ».166

Finalement, l’avocat rappelle au comte que l’achat d’un bien immobilier pour une somme de 10 000 scudi avait été la condition de la naturalisation toscane des enfants :

« Si on manquait à cet engagement, [la naturalisation elle-même] serait retirée ».

Et pour clore sa lettre, Lamporecchi ajoute encore :

« V.E. m’a souvent répété, qu’à peine arrivé chez la princesse Votre sœur, [votre engagement] serait votre premier souci et disposition. Je vous serais reconnaissant de me le confirmer dans la réponse dont Vous m’honorerez ».


155 « Plaisir. »

156 En réalité, après Léon XII les papes Pie VIII et surtout Grégoire XVI maintinrent une position conservatrice désastreuse.

157 Le médecin a également pour tâche de superviser les deux gouvernantes et les trois domestiques engagés par le général.

158 Lettre du 6 juillet 1830.

159 Qui partaient autrefois du haut du palais Vecchio.

160 Quai.

161 Lettre du 1er septembre 1830.

162 Le correspondant de Walser à Florence.

163 Lettre de Lamporecchi au banquier Walser, septembre 1830.

164 Munich.

165 Lettre du 4 septembre 1830.

166 Ibid.