CHAPITRE 12

En réalité, il est probable que le général se soit rendu en Russie et qu’il ait emmené Catherine avec lui. Il existe un portrait de deux fillettes dans un salon donnant sur la place Alexandre Ier à Saint-Pétersbourg. L’une d’entre elles ressemble de manière frappante à Catherine tandis que l’autre enfant pourrait être Agrippine, telle que le peintre aurait reçu l’ordre de la représenter. Pourquoi ce court voyage du comte en Russie ? On ne le sait pas. Il est possible qu’il ait tenu à rendre visite à son épouse, la comtesse Elisabeth Alexeevna, toujours en vie malgré une santé déficiente. En se chargeant de l’administration des palais d’Ostermann en Russie, cette femme intelligente rend de précieux services au général vagabond. Alexandre Ivanovich se doit de la rencontrer de temps en temps pour lui présenter ses respects.

Entre le mois d’octobre 1830 et la mi-février 1831, le comte semble avoir effectué un certain nombre de déplacements, pour revenir à Munich le 13 février, toujours chez Frau von Schneidheim. Mais voici que dans le courant du mois d’avril 1831, il annonce à l’avocat Lamporecchi le retour à Florence de la petite Catherine « pour retrouver sa chère mère ». C’est au Dr. Nespoli qu’il demande de venir chercher l’enfant en Bavière.

A l’idée de voyager, Enrico Nespoli est fou de joie, lui qui ne connaît guère d’autres lieux que Florence et Arezzo, berceau de sa famille. Il y a maintenant une année qu’il est au service du comte Ostermann-Tolstoï. Autrefois, Enrico s’était destiné à la prêtrise. A quinze ans, il avait reçu sa première tonsure. Dès vingt-deux ans, il avait servi la messe. On lui avait promis que la régente Marie-Louise de Bourbon173 lui accorderait le beneficio, cette rente indispensable pour entreprendre une carrière ecclésiastique. Malheureusement, le beneficio avait été attribué à un autre. Enrico n’avait jamais su pourquoi. Dégoûté, il s’était alors tourné vers la médecine, avait achevé des études à l’hôpital de Santa Maria Nuova où travaillait son frère, le réputé et très estimé Dr Angiolo Nespoli, et y était resté jusqu’à ce que Lamporecchi lui offre un poste auprès des mineurs Osterfeld. Le salaire proposé était substantiel, le travail chargé de responsabilités et le nom de son nouveau maître entouré de prestige. Nespoli avait accepté la tâche.

Elle est difficile. Depuis dix mois, Enrico remplace le père des Osterfeld et dans une certaine mesure leur mère. Il est chargé de toute la correspondance entre le comte, la Signora Cresci et l’avocat. Il surveille les domestiques et les gouvernantes. Il est essentiel qu’il s’entende avec Maria, la « sirène italienne » ainsi qu’il la désignera plus tard dans une lettre à Lamporecchi. D’ailleurs en ce moment, la Signora Cresci a les traits tirés puisqu’elle est grosse pour la seconde fois des œuvres d’Antonio.

Au début du mois de mai, Enrico prend congé de Nicolas, d’Agrippine et de Maria pour se rendre auprès du comte. Mais voici qu’au dernier moment, le Signor Pagliari se joint au médecin pour le voyage. Pourquoi ? se demande le docteur. Le surveille-t-on ? Est-ce une idée de la Signora Maria ? L’encombrant vieillard est la plupart du temps d’humeur exécrable et se plaint avec constance de maux de dents, qu’il a, il est vrai, fort avariées.

C’est une Catherine en bonne santé que le docteur Nespoli retrouve à Munich. Le comte est fort aimable avec le médecin, « plein d’estime et de reconnaissance envers moi », écrira plus tard Enrico à l’avocat. « Plein de louanges aussi, pour mon dévouement envers les Osterfeld »… « Vous êtes un bon Italien »174, aura-t-il même dit à haute voix devant tout le monde. Et, quelques jours après l’arrivée de Nespoli en Bavière, Alexandre Ivanovitch lui offre d’accompagner Nicolas l’an prochain à Munich. Flatté, le docteur accepte la proposition du comte. Hélas ! Il est loin de se douter de ce qui se trame à Florence !

Curieusement, devant le médecin, Ostermann-Tolstoï n’évoque d’aucune manière son projet de voyage en Egypte et au Moyen-Orient. Il ne se décidera à partir qu’au dernier moment et, selon l’un de ses nouveaux amis, Jakob Philipp Fallmerayer, sous le coup d’une impulsion, d’un dégoût pour la situation politique en Europe où les mouvements libéraux en Allemagne et en Pologne ont été réprimés. Mais il y a autre chose. Probablement que le comte s’ennuie et qu’il regrette les moments d’intrépidité, de surprise et de fièvre d’antan sur les champs de bataille, lorsque son cerveau bouillonnait et fonctionnait avec une agilité inouïe. Il lui faut retrouver de nouvelles situations périlleuses accompagnées de fortes sensations.

Du retour en Italie de Catherine, Enrico et Girolamo, on ne sait rien. On est en droit d’imaginer que la présence d’une gouvernante allemande et de Herr Smith, le nouveau maître de dessin, s’ajoutant à celle d’Henriette Pinguely, oblige tout le groupe à se comprimer dans la voiture.

Le médecin est porteur d’une lettre du comte à Maria et d’une autre à l’avocat au sujet du bien immobilier qu’il a promis d’acquérir à Florence175 :

« Je ne peux vous dire quelque chose de décisif concernant le sort de mes enfants parce que les événements orageux influencent plus ou moins le cours financier de chaque individu, de même que ses arrangements »176.

Et puis, dans cette même lettre, le général exprime tout le souci qu’il se fait pour Maria qui n’a pas fini de payer son palais et doit continuer à en remettre les intérêts aux créanciers de Spinelli, le Tribunal n’ayant toujours pas établi l’ordre dans lequel lesdits créanciers doivent être remboursés. Lamporecchi s’efforce de tranquilliser le comte : « Je ne prends pas ce problème à la légère » répète-t-il en envoyant un long mémoire à ce sujet à la Signora Cresci et au général, donnant à celui-ci d’excellentes nouvelles des enfants :

« J’ai trouvé la petite Caterina déjà instruite en langue allemande, de même que j’ai trouvé Monsieur Smith [le maître de dessin] et la gouvernante à même de lui donner soit à elle, soit à son frère Nicolas et à sa sœur Agrippine, l’éducation que leur jeune âge est capable de recevoir. Je les ai encore vus tous les trois hier matin et ils se portaient fort bien » 177.

En Toscane, il fait déjà très chaud en ce début de juin. Maria est émue en retrouvant Catherine. Quant à Nicolas et Agrippine, tous deux surexcités, ils font un accueil délirant à leur sœur tandis que Nespoli transmet à la Signora Cresci les recommandations du comte concernant les enfants. Le jour même, il reprend son travail. Avec acharnement. Pourtant, depuis son retour de Munich, la Signora Cresci ne répond plus à ses attentions, n’écoute plus ses conseils et ses suggestions. On dirait qu’elle évite de lui parler. Qu’elle cherche à se passer de lui, restant plus longuement auprès des Osterfeld. Saisi de doutes, Nespoli tente d’y voir clair : pourquoi le général ne lui écrit-il pas ? Pourquoi la correspondance ne passe-t-elle plus par lui et le courrier va-t-il directement chez Maria et chez l’avocat ? Pourquoi n’y a-t-il plus de collaboration entre la mère des enfants et lui-même ? Sa présence est-elle devenue importune à la Signora Cresci ? Est-il jugé trop aimant, trop tendre avec les mineurs ? Trop direct dans ses propos ? La Signora Cresci est-elle jalouse de la tendresse que témoignent les Osterfeld à leur médecin ? Ou est-elle contrariée par le nouveau projet du comte de se rendre en Egypte, au Moyen-Orient, en Turquie et en Grèce, elle qui avait espéré son retour à Florence dans le courant de l’automne ?

En août 1831, Girolamo Pagliari obtient un passeport pour Trieste, ce grand port d’où Ostermann-Tolstoï va s’embarquer pour l’Orient. On saura plus tard qu’il a pour mission de calomnier Nespoli auprès du comte.

Tout à coup, le docteur voit comme un nuage noir et menaçant planer au-dessus de lui.

A la mi-septembre, à Florence, Enrico n’a toujours aucune nouvelle d’Ostermann. Pas le moindre signe depuis trois mois. Une des gouvernantes laisse entendre que le général, dans une de ses lettres, a fait de graves insinuations sur la personne du médecin. Affolé, Enrico envoie son ami et mentor le professeur Andreini auprès de Lamporecchi pour savoir de quoi on l’accuse ; mais l’avocat est en vacances dans sa villa de Pietrasanta. C’est à Luigia, son épouse, que le professeur demande des éclaircissements, avant de revenir auprès de Nespoli avec de lourdes charges contre lui. Alors, sous le coup d’une violente émotion, Enrico donne son point de vue au tuteur des enfants :

« L’admirable Madame Cresci, par exemple, a fait croire que j’ai donné du firca [?] à son fils ; que j’ai négligé ses enfants (alors qu’on m’a enlevé toute mon influence et méprisé mon zèle) ; que Cattinga [Catherine] étant malade, je ne me suis pas donné la peine de la voir, et qu’Elle [Maria] a été obligée d’appeler mon frère [le Dr Angiolo Nespoli] (alors que l’autre matin, étant encore malade, je lui ai rendu visite [à Catherine] et que j’ai prescrit des onctions d’amandes douces sur la glande du cou engorgée, et [que] le premier jour de sa maladie, quand elle a appelé mon frère, j’étais au lit malade) ».178

Pauvre Enrico ! Il semble qu’il soit victime d’une machination diabolique. Lui, l’admirateur de la Signora Cresci, est tombé dans le piège « des manigances ténébreuses de ces braves gens avec qui pour mon malheur j’ai dû traiter depuis plusieurs mois ».

Dans une seconde lettre à l’avocat, le docteur analyse avec plus de calme la situation : jusqu’à son retour à Florence avec la petite Catherine, Ostermann avait semblé parfaitement content de lui. Malheureusement, avec son habituelle spontanéité, Enrico avait informé la Signora Cresci du projet formé par le comte de faire venir Nicolas à Munich l’an prochain, accompagné par lui-même. Or Maria, on l’a vu, ne veut à aucun prix se séparer de son aîné. En revanche, elle aspire désormais à se débarrasser de Nespoli :

« Peu à peu avec de bonnes manières, et presque insensiblement elle m’a enlevé toute influence que le Comte m’avait laissée […] et en fin de compte elle m’a rendu tout à fait inutile dans la famille […] avec cet homme vénérable qui est son Père, et avec l’aimable « Basile179 » son mari, elle a imaginé un plan qui devait ôter de sa vue et de la faveur de Monsieur le Comte un homme qui devait lui être, et lui a été en effet antipathique. Pour atteindre le but et mettre à exécution le magnifique projet, il fallait indisposer graduellement contre moi, Monsieur le Comte Ostermann, dans la guerre de Mars toujours fameux, dans la guerre d’Amour tout enfant ; […] peu à peu il fallait m’agacer et m’irriter de manière à me faire me résoudre à quitter la Maison de mon plein gré ».180

Dans cette seconde lettre au tuteur, Enrico Nespoli décrira longuement une altercation qui a eu lieu dans l’appartement des Osterfeld, provoquée délibérément, selon lui, d’après un plan organisé depuis des mois :

« Monsieur Pagliari m’a insulté sans aucune raison et m’a fait cadeau de mille injures (chose dont peuvent témoigner les locataires qui ont tout entendu par la fenêtre de leur étage qui donne sur la cour), je ne lui ai répondu que peu de mots sans l’offenser, en lui montrant comment une personne sensée se comporte dans de pareilles rencontres ».

Ainsi, le général Ostermann-Tolstoï se serait laissé mener en bateau par Maria, Antonio et Girolamo ! Tout comme le docteur Nespoli. Ce dernier a réalisé trop tard que la mère des Osterfeld s’était mise peu à peu à le détester comme celui qui lui enlevait l’affection de ses bien-aimés, et peut-être aussi comme celui qui avait troublé son cœur. Pendant une année, le médecin et la Signora Cresci avaient été ensemble parents de Nicolas, de Catherine et d’Agrippine. Ils avaient partagé les mêmes inquiétudes. Liés par leurs sentiments pour les pupilles, ils avaient vécu des moments d’intimité. Les enfants étaient-ils une excuse à leur rapprochement, ou leur attirance l’un pour l’autre les a-t-elle amenés à se pencher avec plus de tendresse sur les mineurs, effaçant les barrières que commandaient leurs différentes positions sociales ? Il n’y a eu aucune privauté de la part de Nespoli. Juste un dévouement teinté d’admiration pour la Signora. De tout son cœur, il avait aspiré à la contenter.

Envers le comte, Enrico avait éprouvé des sentiments de déférence qui allaient jusqu’à l’adoration. Quelle peine il éprouve à se voir congédier :

« Monsieur le Comte Ostermann, sans attendre une justification [de ma part], n’a pas le droit de se défaire d’une personne comme moi comme d’un domestique ; il m’a fait des déclarations et des promesses dans des lettres que je garde ; il m’a confié beaucoup d’objets que je ne céderai jamais sauf à lui-même ou à personne autorisée ».

Plus prosaïquement, il faut au ménage Cresci de nouvelles ressources financières, car les versements du comte se font souvent attendre. Or le salaire du Dr. Nespoli représente une part importante des fonds alloués aux enfants Osterfeld. Maria et Antonio n’ont qu’une servante. Avec le bébé à venir, il leur en faudrait au moins deux de plus. Même si le comte a fait ouvrir à son banquier Walser de Livourne le crédit habituel jusqu’à la fin de l’année, l’avenir est incertain. Reste toujours cette question : si Ostermann-Tolstoï venait à disparaître dans le périple qu’il s’apprête à faire, avec quelles ressources les mineurs seraient-ils conduits jusqu’à l’âge adulte ?

Tandis que le 4 octobre 1831, à cinq heures du matin, Maria donne naissance à un petit Gustavo, Antonio Cresci porte le même jour le coup final au malheureux Dr. Nespoli, en lui faisant parvenir le billet ci-après :

« On attend du Signor Enrico Nespoli habitant dans la maison des Pupilles Osterfeld qu’il se montre avec toute la décence convenant à une personne bien née.

Qu’il ne garde pas le chapeau ou autre chose chaque fois qu’il se trouve en leur compagnie ou avec les personnes qui passent par là.

Pour éviter que les Pupilles n’aient à traverser la terrasse et la cour par temps pluvieux, froids et humides et pour leur confort, [on aimerait] que le Signor Nespoli cède la chambre qui lui sert de Cabinet et qu’il prenne la salle où on a mangé dernièrement.

Que le même Signor Nespoli se retire à la maison plus tôt à une heure convenable pour ne pas la laisser ouverte [la maison] quand les Pupilles dorment et aussi pour que le domestique soit plus diligent le matin au service des Pupilles.

Que puisqu’il est chirurgien [on aimerait] qu’il ne s’ingère ni dans ce qui touche à leur éducation ni dans les traitements médicaux.

On remercie, et on ne veut pas de billet d’excuse que le Signor Nespoli souhaiterait faire à Madame Cresci. »

Avant de quitter les Osterfeld, Enrico Nespoli, désorienté, se demande s’il doit écrire au général. Il fait part de ses hésitations à l’avocat :

« Très Illustre Monsieur,

Avant votre départ [pour Pietrasanta] j’ai oublié de vous demander si je devais ou non écrire à Monsieur le Comte, et sur quel ton devait être cette lettre, au cas où Vous m’auriez conseillé de l’écrire. Je supplée à cet oubli en vous demandant conseil puisque je suis décidément poussé à me comporter selon vos suggestions.

C’est avec impatience que j’attends votre décision ; vous êtes l’arbitre de ma volonté dans cette affaire et je ne pourrais ni être mieux conseillé ni mieux avantagé.

Pardonnez-moi de vous déranger pour une dispute si malheureuse. Certain de votre magnanimité et de votre protection remarquable, j’ai l’avantage de me déclarer

De Votre Illustrissime

Votre Dévoué Serviteur

Enrico Nespoli

P.S. Ayez la complaisance de présenter mes hommages à Madame Luigia et à toute votre famille ».181

On ne sait ce que l’avocat a conseillé au Signor Nespoli. Malgré son caractère entier, impulsif, malgré sa personnalité parfois étouffante, le docteur a su envelopper les mineurs de chaleur et de tendresse. Lamporecchi va classer toute cette affaire dans un de ses grands livres : « Documents relatifs aux lettres et discussions entre Madame Cresci et Enrico Nespoli », mais il est certain que lui-même et son épouse regrettent le départ d’Enrico.

Que deviendra le médecin ? On le retrouvera en 1834 à l’hôpital Santa Maria Nuova à Florence, avec la fonction de chirurgien aspirant. Et, en 1836, comme chirurgien d’un bataillon de grenadiers. Durant plusieurs années il semble avoir eu des difficultés financières. Fortement appuyé par le Ministère de la guerre, il fera la demande d’hypothéquer le tiers de son salaire mensuel pour rembourser des amis. Sa requête sera acceptée par le souverain. Quelques mois plus tard, frappé par la maladie, il se verra accorder une nouvelle aide, son travail étant « fait avec zèle, précision et attachement, étant toujours présent et disponible ». Par la suite il y aura d’autres demandes de subsides. En 1835, Enrico épousera Giovanna Schilffarth, une institutrice d’origine bavaroise âgée de vingt-sept ans. Protestante, elle se convertira au catholicisme par amour pour le docteur Nespoli. Deux ans plus tard, les époux auront un petit garçon : Alberto, Carlo, Aurélio, Enrico, qui mourra à l’âge de dix-huit mois.

En 1852, Enrico sera mêlé à une singulière affaire à l’hôpital Santa Maria Nuova. Dans son service, un malade gravement atteint doit être amputé du bras ; le Dr. Nespoli lui-même a reconnu la nécessité de l’ablation. Mais le jour dit, alors que le patient se trouve déjà en salle d’opération, Enrico se dispute avec deux autres médecins sur l’urgence de l’amputation. Un troisième docteur se mêle à la discussion, qualifiant de bizarre l’attitude du Dr. Nespoli qui subitement se dérobe devant l’intervention. Ce bras à couper a-t-il réveillé le souvenir douloureux du général ?


173 D’abord reine d’Etrurie par son mariage avec Louis Ier, fils aîné du duc de Parme, elle devint régente à la mort de son mari.

174 Souligné et en majuscules dans le texte.

175 Pour une valeur de 10 000 écus.

176 Lettre du 1er juin 1831.

177 Lettre du 29 juin 1831.

178 Lettre du médecin adressée à Lamporecchi au mois de septembre 1831.

179 Dans le Barbier de Séville de Rossini, don Basile est le maître à chanter de Rosine. Il est un fourbe, un expert en calomnies, moyen qu’il propose à don Bartolo pour vaincre la résistance de sa pupille Rosine.

180 30 septembre 1831.

181 Lettre du 18 octobre 1831.