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Titre
PRÉFACE
1
Sur le Pont Neuf j'ai rencontré
LA BEAUTÉ DU DIABLE.
Jeunes gens le temps est devant vous comme un cheval échappé
Ce qu'il m'aura fallu de temps pour tout comprendre
UNE RESPIRATION PROFONDE.
Je change ici de mètre pour dissiper en moi l'amertume
LE TÉMÉRAIRE.
Il ne reste à ma lèvre enfin que cette injure
Marguerite Marie et Madeleine
Les beaux habits du soir un à un que l'on quitte
Voilà donc où tu perds malheureux la lumière qui s'achève
Grande chasse du ciel où courent les nuées
CLASSE 17
Je me souviens C'était je crois
C'était un temps de solitude
PARENTHÈSE 56
Si je cessais de vous raconter cette ancienne histoire éteinte
Ah le vers entre mes mains
Allez Reprends en main ton cœur
LA GUERRE ET CE QUI S'EN SUIVIT.
Les ombres se mêlaient et battaient la semelle
Dominos d'ossements que les jardiniers trient
Or nous repassions sur la Veste
Il y avait devant la croix fichée en terre une bouteille
Bierstube Magie allemande
Il n'y a jamais eu rien de cela ni des ans qui suivirent
2
Comme il a vite entre les doigts passé
LES MOTS M'ONT PRIS PAR LA MAIN.
Je demeurai longtemps derrière un Vittel-menthe
Ici commence la grande nuit des mots
J'aurais voulu parler de cela sans image
LE MOT « VIE ».
J'entends la douce pluie d'été dans les cheveux mouillés
Je ne récrirai pas ma vie Elle est devant moi sur la table
LE MOT « AMOUR ».
Un soir de Londres
Je tombe je tombe je tombe
Un amour qui commence est le pays d'au-delà le miroir
Malles Chambres d'hôtel Ainsi font ainsi font font font
Les martins-pêcheurs au ciel jaune et rose
Quand je me retourne en arrière il me semble que ces jours sont
LES MOTS QUI NE SONT PAS D'AMOUR.
Il est inutile de geindre
Mais tout ceci n'est qu'un côté de celte histoire
Vieux continent de rumeurs Promontoire hanté
LE VASTE MONDE.
Où faut-il qu'on aille
Le long pour l'un pour l'autre est court
On a beau changer d'horizon
A chaque gare de poussière les buffles de cuir bouilli
INTERMÈDE FRANÇAIS.
Le jour de Sacco-Vanzetti
ITALIA MEA.
Toi dont nos peupliers rêvent dans leur exil
Il régnait un clair d'anémone
Ils étaient deux dans les plâtras
Les dames de Carpaccio lentes et lourdes à ravir
APRÈS L'AMOUR.
Je me souviens de cette ville
3
Je chante pour passer le temps
PARIS VINGT ANS APRÈS.
Connaissez-vous ces soirs où le jour faiblissant
Rappelez-vous ce que de Londres dit Shelley
LE VIEIL HOMME.
Moi qui n'ai jamais pu me faire à mon visage
L'AMOUR QUI N'EST PAS UN MOT.
Mon Dieu jusqu'au dernier moment
Tu m'as trouvé comme un caillou que l'on ramasse
Je traîne après moi trop d'échecs et de mécomptes
O forcené qui chaque nuit attend l'aube
Il n'aurait fallu
Et la vie a passé le temps d'un éclair au ciel sillonné
CETTE VIE A NOUS.
A Guendrikov pereoulok nous étions tous ensemble assis
Odessa ville de poussière
Autrefois tout semblait ne pas nous concerner
Quoi Comment Où tout ceci
LES PAGES LACÉRÉES.
Que cette interminable nuit paraît à mon cœur longue et brève
Et le roman s'achève de lui-même
Oime il bel viso oime il soave sguardo
Toujours à battre les buissons
Quand on se réveillait la nuit
Quand ce fut une chose acquise
O mois d'août quarante-quatre
LE PRIX DU PRINTEMPS.
Tout le grand ciel de neige se déchire
POÉSIES POUR TOUT OUBLIER.
Voulez-vous parlons d'autre chose
Il règne des vues diverses
C'est un sale métier que de devoir sans fin
Vous direz ce que vous voudrez
STROPHES POUR SE SOUVENIR.
Vous n'avez réclamé la gloire ni les larmes
LA NUIT DE MOSCOU.
Ah dans ses propres pas que marcher est étrange
Ici j'ai tant rêvé marchant de l'avenir
Tant que j'aurai le pouvoir de frémir
PROSE DU BONHEUR ET D'ELSA.
Sa première pensee appelle son amour
NOTES
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