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Page titre
Avant-propos
Le nègre magique
Kabu Kabu
Deux enjambées ne forment pas un chemin.
La tache noire
Tumaki
Tumaki
Poésie
Lampe-nénuphar
Faiseur de pluie
Paradis perdu
Comment Inyang obtint ses ailes
Elle tournait haut dans le ciel au-dessus de son village et regardait en bas. C’était la dernière fois qu’elle le voyait tel qu’il était. Okokon-Ndem, Nigéria, 1929. Les dortoirs rectangulaires en adobe et les feux pour la cuisine brûlant devant eux. Construits en cercle. Une cour en son centre. Les espaces entre les huttes envahies par la forêt. Les fermes à ignames et à manioc à proximité. Le village de sa forêt, de sa mère, de son père, de sa sœur et de sa sœur. Elle n’avait qu’un seul ami et il avait plus de cent ans. Envers les autres, elle éprouvait de la rancœur, mais c’était ses proches et donc, elle les aimait aussi. À l’exception de Koofrey. Lui, elle le détesterait pour toujours.
Koofrey
Amuosu
Les vents de l’harmattan
Asuquo était une des dernières. Ce sont des mots murmurés, connus sous le nom de « radio du bush », et les marmonnements amers des arbres qui content son histoire. C’était une coureuse de vent, une de ces personnes capables de voler, et la vie d’un coureur de vent est déterminée par bien plus que le vent.
Pendant quelque temps, ce fut comme si Asuquo vivait sous un ciel plaisamment couvert. Les rêves de son chi disparurent et elle ne l’apercevait jamais plus du coin de l’œil. Elle se demandait si la vieille femme s’était trompée, car elle était très heureuse avec Okon.
Les coureurs de vent
Biafra
La maison des difformités
Le tapis
Sur la route
Icône
Popular Mechanic
L’artiste araignée
Bakasi
Séparés
La guerre des babouins
L’affreux oiseau
Le bandit des palmiers
L’homme au long juju
Zula, de la cour de récré
La fille qui court
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