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Index
Épistémologie des sciences sociales
Avant-propos
I
Il
III
Notes
Première partie. Les grands territoires et leurs paradigmes
1 – Les sciences historiques
Histoire et sciences sociales ?
La diversité des histoires
Connaissance, rhétorique, régimes d’historicité
Une connaissance par témoignages
Qu’est-ce qu’un « fait historique » ?
Expliquer, comprendre
La pertinence du cas
Récit et modèle
Bibliographie
Notes
2 – La géographie
Qu’est-ce que la géographie ?
Une définition institutionnelle de la discipline
La géographie, une science humaine de l’espace
L’espace géographique
La géographie et les autres disciplines
La carte, l’outil du géographe ?
La géographie régionale
Diviser pour mieux comprendre
Qu’est-ce qu’une région ?
L’école régionale et son héritage
Les branches de la géographie générale
Du milieu naturel à l’environnement
L’analyse spatiale
Remise en cause de la géographie classique
Une démarche néopositiviste
De nouveaux outils
Différents types de modèles
La nature des lois de l’espace
La géopolitique et la géographie critique
Une prise de conscience politique
Les courants critiques français
Les géographies culturelles
Une critique culturelle de l’analyse spatiale
Géographie de la perception et géographie phénoménologique
Le tournant culturel
Des critiques méthodologiques
La géographie postmoderne
Bibliographie
Notes
3 – La science économique
La vision du champ économique
Les agents
Les institutions
Le temps
Le statut des modèles économiques
La formalisation
La validation
L’opérationnalisation
Le développement de la science économique
Les courants de recherches
Les tendances épistémologiques
Les liaisons avec les autres sciences sociales
Bibliographie
4 – Les sciences du langage et de la communication
En deçà du tournant linguistique
La coupure saussurienne
Le signifiant et le signifié, recto et verso d’une même feuille
La valeur du signe linguistique
L’arbitraire du signifiant
La dualité du signe linguistique
La langue comme structure
L’ouverture sémiologique
Développements de la linguistique structurale en direction des sciences sociales
Louis Hjelmslev et l’ouverture sémiotique
Roman Jakobson et la poétique structurale
Claude Lévi-Strauss, de la linguistique à l’anthropologie structurale
Jacques Lacan ou la psychanalyse saisie par la « linguisterie »
Roland Barthes, pour une sémiologie douce
L’alternative d’une sémio-pragmatique : C. S. Peirce
Qu’est-ce qu’un signe, ou l’indépassable sémiosphère
Contre le logocentrisme, l’icône
Aux frontières de la sémiosphère, l’indice
Type et token
Noam Chomsky et la linguistique générative
Structures profondes et de surface
Innéisme et apprentissages
Le tournant pragmatique
Les déictiques et les marqueurs d’énonciation
Le discours indirect et son interprétation
Du discours à l’action [62]
Le primat de la relation
Bibliographie
Notes
5 – Les sciences du social
Domaine d’étude et principes d’analyse
Un espace épistémique commun
Trois contextes de détermination
Ancrages
Des noyaux disciplinaires spécifiques
Démographie et tables de population
Ethnologie et terrain
Psychologie sociale et plans expérimentaux
Sociologie et problématisation de la modernité
Un modèle de scientificité commun fondé sur la raison expérimentale
Dissémination, transferts, pluralisation
La pluralité des cadres de pertinence
Énigmes et dissonances : la spécificité des sciences humaines et sociales
Glissements paradigmatiques
Subsumption sous un topos
Cadres de pertinence et structures opératoires
Cadres et programmes d’analyse
Modèle nomologique et causalisme
Du causalisme au fonctionnalisme et au structuralisme
Systèmes et fonctions
L’analyse structurale et le modèle du langage
Sens et action : la rupture
Sens et dérive herméneutique
Le sens de l’action et la thématique de l’acteur
Grandes oppositions idéaltypiques
La scène épistémologique
Le contexte épistémologique et pragmatique général
Les trois traditions épistémologiques de la sociologie classique
L’espace contemporain : filiations, déplacements, clivages
Conclusion
Bibliographie
Notes
Deuxième partie. Les grandes traverses
1 – Action et cognition en sciences sociales
Le programme « économiste »
Rationalité et capacités cognitives des agents
Psychologie cognitive et rationalité des agents
Dilemmes et paradoxes
Les simulations du collectif
Linguistique générative et inférences pragmatiques
Difficultés épistémologiques
Local et global
Action, conséquence, désirabilité
Le problème de l’émergence des normes
Intentions et croyances collectives
Le programme relationnel et le retour du système aux acteurs
Les sociologies des acteurs
Géographie et perception des paysages
Histoire, agences, et cas
Débats, acteurs et temporalités
Contraintes cognitives et mémoire
Contraintes cognitives et récits
Histoire comparée et raisonnement par cas
Conclusion
Bibliographie
Notes
2 – Histoire et structure
Les historiens et le temps
Des temporalités étagées
L’explication braudélienne des phénomènes sociaux
Braudel structuraliste ?
La géographie régionale
L’analyse spatiale
Les lois
L’utilité de l’histoire
Il y a structure et structure : l’anthropologie structurale
Histoire et théories économiques
La logique de l’histoire
Bibliographie
Notes
3 – De l’explication dans les sciences sociales : holisme et individualisme
Aux sources d’un débat
Les formes de holisme
Les figures de l’individualisme
L’individualisme méthodologique
Le holisme méthodologique
Critique du totalisme
D’une controverse à l’autre
Vers l’élargissement du débat
Conclusion
Bibliographie
4 – Modèles et Récits
Essais de définition
La dualité Modèle/Récit [1]
Le pôle Modèle et sa polysémie
Versions « faibles » et versions « fortes » de la modélisation
Versions faibles
Versions fortes
Le pôle Récit et sa polysémie
Constructions narratives
Doutes sur la validation
Attractions littéraires
Modélisateurs et narrateurs : le débat
Le point de vue des narrateurs
Le caractère réducteur des modèles
L’individualité des acteurs
Les insuccès de la modélisation
Le point de vue des modélisateurs
Primauté de la validation empirique
Séparation nécessaire des deux modes
Insuffisances de l’évaluation subjective ou sociale
Vers une conciliation des points de vue M et R
L’analyse des textes scientifiques
L’épistémologie pratique : principes, objectifs
Approches globales
Approches discrètes
Les « pertes » de la réduction
Les approches rhétoriques de la question
Un exemple d’inventaire systématique en archéologie
Autres exemples d’ordre sociophilosophique
Émergence de l’essai, entre science et littérature
Un genre intermédiaire, entre Modèle et Récit ?
L’hypothèse d’une troisième voie de la connaissance
Réaffirmations contraires d’une dualité
Anticipation
Bibliographie
Notes
Troisième partie. Unité et pluralité
1 – Programmes, paradigmes, disciplines : pluralité et unité des sciences sociales
La notion de programme de recherche
Comment penser la pluralité en sciences sociales ?
L’apport problématique de la philosophie des sciences
L’apport interne aux sciences sociales
Des raisons de préférer la notion de programme à celle de paradigme
L’application de la théorie des programmes de recherche aux sciences sociales
Difficultés et fécondité de l’entreprise : des théories aux programmes
Des programmes aux schèmes
Repérage des programmes
Familles de programmes
Familles de programmes et schèmes
Schèmes et données : description et explication
Les données comme matrice d’événements
L’espace de connaissance en sciences sociales : schèmes et pôles
Un espace tripolaire
Le pôle naturaliste
Le pôle intentionnaliste
Le pôle du symbolique
Polarité et réduction
Pôle intentionnaliste et réduction
Pôle du symbolique et réduction
Réduction, intégration, confrontation
Les théories intégratrices
La confrontation des programmes
Conclusion
Bibliographie
Notes
2 – Philosophie des sciences sociales
Philosophie des sciences et philosophie des sciences sociales
Qu’est-ce qu’une science sociale ?
Holisme et individualisme
La controverse ontologique
Le mode d’existence de faits sociaux
Sciences sociales et psychologie ordinaire
Sous-détermination et interprétation
Le principe de charité interprétative
La naturalisation de l’interprétation
La réalité des croyances
Les raisons peuvent-elles être des causes ?
La méthode déductive-nomologique
Limites de la méthode
Conclusion
Bibliographie
Notes
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