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PRÉFACE. RESTAURER LE GOÛT DE L’AVENIR
SOMMAIRE
PROLOGUE. TROIS HISTOIRES REMARQUABLES
Histoire n° 1 : Où l’on tergiverse sur le travail du dimanche
Histoire n° 2 : Où l’on enterre le « décoiffant » rapport IGF-IGAS-CGEDD sur le logement
Histoire n° 3 : Où l’on peine à voir émerger les champions de demain
Pourquoi un livre de plus ?
INTRODUCTION. ÉTAT OU MARCHÉ ? UN (FAUX) DÉBAT ÉTERNEL, MALGRÉ LE DÉCLIN DES IDÉOLOGIES
La fin des grandes joutes idéologiques
L’État et le marché, encore et toujours ?
Un faux débat
Le vrai sujet de la désespérance française : la « crise de l’avenir »
CHAPITRE I. LES TROIS IMPASSES FRANÇAISES
Alstom : l’épreuve du principe de réalité
Une tradition bien ancrée : l’État principal opérateur économique
Colbert et les Trente Glorieuses, icônes économiques
Les champions nationaux, symboles de la puissance française
Le grand virage idéologique des années 1980
En France, le triomphe furtif de l’idéologie du marché
Les noyaux durs, un compromis boiteux avec le marché
Une mutation amplifiée par l’Europe
Soudain, la concurrence…
Dans l’Union européenne, pas de champions nationaux !
Un dirigisme encore plus impuissant face à la mondialisation
La mondialisation moderne ou l’étirement des chaînes de valeur
La France, un petit marché à l’échelle du monde
La réalité, ses représentations et les trois impasses françaises
Défis intellectuels, financiers et stratégiques
Faire collaborer l’État et le marché !
CHAPITRE II. POURQUOI LE CHÔMAGE N’EST PAS UNE FATALITÉ
1. Le chômage, une maladie chronique ?
La fabrique de l’insécurité
En France, la peur du chômage malgré un cadre protecteur
Jeunes, seniors, peu diplômés en situation de vulnérabilité
Le travail, un enjeu électoraliste
Le SMIC, un outil politique
Le coût social de l’électoralisme
Les politiques « volontaristes » ont ignoré le marché
L’augmentation du coût du travail non qualifié détruit des emplois
La réduction du temps de travail ne crée pas d’emplois
Bis repetita placent…
Un système institutionnel défaillant
La marée montante des contrats courts
Les licenciements économiques, un épiphénomène statistique, une révélation de l’insécurité professionnelle
2. Et si le travail était vraiment un marché ?
Quand le salaire s’ajuste à l’offre et à la demande
La véritable dynamique du marché du travail
L’influence déterminante des caractéristiques propres de l’entreprise
Un mécanisme permanent de création-destruction
Les destructions d’emplois aussi sont utiles à la croissance
Le rôle essentiel de la productivité
La productivité n’est pas l’ennemie de l’emploi et du salaire
La dérégulation n’est pas l’ennemie de l’emploi
3. Que faire ?
Mieux accompagner ceux qui en ont vraiment besoin
Concentrer les baisses de cotisations aux alentours du SMIC
Favoriser la concurrence, les jeunes entreprises et donc l’emploi des jeunes
Encourager la mobilité, quitter les lieux en déshérence
Faire collaborer l’État et le marché !
CHAPITRE III. FAUT-IL ENCORE « AIDER » LE LOGEMENT ?
1. Le déficit de logements désirables, une maladie chronique ?
Les métropoles, zones de frustration immobilière
Un « marché » qui dysfonctionne
Le problème particulier des zones urbaines
Le parc social ne corrige pas les tensions locatives
Le taux d’effort augmente pour les locataires et les propriétaires
Un « marché » opaque, où les aides faussent la formation des prix
Une intention généreuse : des aides pour tout le monde, propriétaires et occupants
Les aides locatives contribuent puissamment à la hausse des prix des loyers
Des aides directement absorbées par des augmentations de loyer
Un résultat confirmé par une nouvelle recherche
L’allocation des HLM : une aide particulière qui rate aussi sa cible
Les aides contribuent aussi à la hausse des prix d’acquisition de l’immobilier
Une opacité qui favorise aussi la raréfaction de l’offre
Une curiosité : les aides accélèrent le départ des enfants du logement familial
2. Et si l’immobilier était vraiment un marché ?
Les maires ne favorisent pas toujours spontanément l’offre de logement
L’effet nuisible des réglementations spatiales
3. Que faire ?
Redonner à l’État ses prérogatives en matière de construction
Supprimer progressivement les aides
Faire collaborer l’État et le marché !
CHAPITRE IV. DOIT-ON ABANDONNER L’INNOVATION AUX AMÉRICAINS ET AUX CHINOIS ?
1. Le capital-risque, une activité critique pour un Occident en panne de productivité
La productivité défaillante de l’économie occidentale
« The innovation-driven economy »
La baisse de la productivité inquiète en Occident
Les quatre dimensions de l’innovation
L’innovation est la rencontre de la science et d’un marché
L’innovation ne se réduit cependant pas toujours à une percée scientifique. Elle est aussi sociale
L’innovation naît dans un territoire qui la désire
L’innovation de rupture échappe souvent aux entreprises établies
L’influence déterminante du capital-risque
Pas d’entreprise innovante sans capital
Le capital-risque a renouvelé le tissu industriel américain
Le capital-risque stimule l’innovation dans l’ensemble de l’économie
Une stimulation qui se concentre sur la recherche-développement plutôt que sur la recherche
Le capital-risque accélère en effet la mise sur le marché des innovations26
La géographie du capital-risque : une domination américaine, une Asie en plein boom, une Europe distancée
Les États-Unis dominent le capital-risque
L’Europe ne se donne pas les moyens de rester dans la course
2. Un nouveau paradigme : Think big !
Israël, la Start-up Nation
L’augmentation des financements
L’importation de l’expertise internationale
Une ambition pour la France : devenir le centre du capital-risque en Europe
Une ambition légitime, mais contrariée : la création d’entreprises à vocation mondiale
Une ambition crédible
3. Que faire ?
Les ingrédients du succès, sans la taille critique
Une recherche de premier rang mondial, une épargne abondante
Pas de taille critique, faute de considérer que l’épargne est un marché !
Un dispositif puissant d’aides publiques
La très forte empreinte des fonds publics dans le financement du capital-risque
En dépit de progrès récents, la France, plus start-up que « scale-up »
Grandir, pour exister à l’échelle du monde
Doubler les montants alloués au capital-risque
Progresser sur la courbe d’expérience
Quelles seraient les raisons de ne pas faire ?
Les indispensables précautions
Faire collaborer l’État et le marché !
POSTFACE. POUR RÉFORMER, COMMENCER PAR LA GOUVERNANCE
Le coût immense de problèmes maltraités par les politiques publiques
Le très lourd coût politique du statu quo
La gouvernance, bien plus qu’une ardente obligation
Le compromis social, le marché et l’État
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