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Titre Du même auteur Copyright Table des matières Introduction Première partie - Bilel
Quitter l’État islamique L’arrivée en Syrie
« J’avais pas de projet à long terme en France » Al-Qaïda en guerre ouverte avec l’État islamique Le ralliement à l’État islamique « Dans le rif de Lattaquié, c’est le Far West » « C’était le ramadan, c’était convivial » Abou Maryam est toujours en vie, selon ses proches
La vie quotidienne dans l’État islamique
À l’État islamique, Bilel dit qu’il conduisait des minibus « La charia, c’est pas juste couper une main ou couper une tête » La proclamation du califat, coup de pub pour l’EI
Après les attentats de Paris, la rupture
L’État islamique offre 1 500 dollars à chaque nouveau mariage « Je suis venu pour la vie et c’est la mort qui règne »
Deuxième partie - Yassin
Une balle dans le ventre
« Bah non, pourquoi ce serait interdit ? » Le Stalingrad de l’État islamique Des combattants exultent, d’autres paniquent 20 dollars de prime pour sa blessure
« Tout faire pour le ramener »
« Tout faire pour le ramener » « Je me suis dit : “La seule solution, c’est de faire semblant” » Le saut dans l’inconnu
« Salam alaykoum, j’ai mon fils à Mayadin »
« C’est des barbus, ils parlent bien l’arabe. Mais bon, moi et l’arabe, ça fait deux » « L’ennemi de la femme, c’est la femme »
« Il pesait moins de 40 kilos »
« Là-bas, c’est pas comme ici : il n’y a rien »
Les médecins français de Raqqa
L’EI emploierait des chirurgiens venus en bus de Damas « Abou Noël », un père Noël à la sauce EI « On avait France 2, on regardait Nagui »
Fuite en arrière
À l’heure de la prière, les gardes baissent leur vigilance « On ne pouvait pas revenir à Raqqa. Fayçal et Yassin auraient été mis en prison, peut-être tués. Moi et les filles aurions été mariées »
« Tu vas nous raconter ce qui s’est vraiment passé »
« C’est différent d’être chez soi en train de manger des chips derrière l’ordinateur et être là-bas dans une tranchée » Bracelet électronique au pied, papiers d’identité confisqués « Rester les bras croisés sans rien faire et attendre qu’on me le ramène ? Non »
Troisième partie - Zoubeir
Zoubeir, 20 ans, repenti du jihad
Il y a peu, ces « signaux faibles » seraient sans doute passés inaperçus « Je ne me retrouve plus dans ces gens-là » Zoubeir décrit une « ambiance de cité » entre Français « Stop Djihadisme », une goutte d’eau face à la force de frappe de l’EI
Jihadiste, pour devenir quelqu’un
Adolescent, il est plutôt bon élève « On nous pousse à consommer, consommer… Mais ça ne donne pas une raison de vivre »
La bascule
Après les échanges virtuels viennent les premières rencontres « On avait l’impression de se retrouver dans un pays musulman » À l’école, il se met à décrocher « Je soutenais toujours les gens et les partis antisystème, le Front national ou l’extrême gauche » Au sein de la jihadosphère, Zoubeir acquiert une petite notoriété « C’était le jour où j’étais le plus beau gosse de toute ma vie »
Jihadiste rech. JF pour mariage
L’attractivité des houris du paradis Une révélation au cours d’une passe atypique
C’était le temps du « LOL jihad »
La première « vedette » française du jihad 2.0 Souvent au bas de l’échelle sociale en France, ils intègrent le groupe au pouvoir en Syrie Une ambiance de colonies de vacances Quand la coalition entre en guerre
« J’ai retrouvé Daesh à Fleury-Mérogis »
L’euphorie générale lors des attentats contre Charlie Hebdo « Y en a même qui disent qu’ils feront le jihad tout seuls »
L’État islamique, section prison
Le codétenu sort de l’anonymat à Saint-Étienne-du-Rouvray « Beaucoup de frères préféreraient avoir Trévidic comme juge » « Même quand ils prient, ils essaient de se dissimuler » « Même les détenus qui sont là pour drogue ou braquage, tu les entends crier “Allahou Akbar !”»
La prison, terre de jihad
La prison, une épreuve positive « Est-ce qu’on peut voler les biens des kuffar ? » On s’échange un livre du numéro 1 d’Al-Qaïda Le détenu qui a attaqué des gardiens à Osny
« J’ai peur que les gens aient peur de moi »
« On n’est jamais fier d’avoir fait une connerie » Zoubeir n’arrive pas à décrocher
Quatrième partie - Les revenantes
Après le jihad, Safya a repris les cours, « tranquille »
Libre après 96 heures de garde à vue Jusqu’ici, les autorités françaises sont plutôt clémentes Sans mari ou tuteur, impossible de fuir l’État islamique
« La charia, c’est la charia, point barre ! »
« J’avais tout ce qui est vêtements, parfums, donc c’était parfait » Safya est remise en liberté
Lena, les femmes et l’envie de tuer
Jilbeb, gants noirs, maquillage et petit sac Chanel La mission principale des femmes Des kamikazes sur liste d’attente Les femmes revendiquent le droit à l’attentat suicide Une préfiguration du commando aux bonbonnes de Paris
« Je me sentais puissante, supérieure à tout le monde »
Le port du voile intégral comme une « libération » Une « terre d’humiliation » D’abord la bascule vers une radicalité non violente « Trop bien comme une princesse »
Mariages express et divorces à la chaîne
« C’est ridicule quand j’y pense » Le tuteur de Safya « Franchement, en moyenne, une femme elle a eu trois ou quatre maris, là-bas »
Dans l’usine matrimoniale
Souffre-douleur d’Oum Adam Des esclaves capturées en Irak Speed-dating quotidien « On en a marre, ils veulent tous des Kim Kardashian »
Cinquième partie - Kevin et Quentin
L’ex-enfant de chœur breton
Converti à 14 ans Départ en Syrie Genre famille nombreuse « La secte de khawarij »
À Nice, la promenade des jihadistes
Omsen, la contraction d’« Omar Sénégal » Le boss Mourad Farès Et ainsi de suite Dans la gueule du loup Feux croisés Dissensions « Leur sang licite » Retour à Nice
Sixième partie - Ils ne sont pas revenus
Shit, rap, nashid et terrorisme
Mourir vite « Ils nous tuent, on les tue » Les raisons de frapper la France Un petit dealer sans envergure « Ce que j’appelle la vérité » « Mais j’en veux ni à Jacquie ni à Michel » Du rap aux nashid Rachid Kassim
De l’armée française à celle du califat
« L’important, c’est comment tu meurs » Younes le déserteur
Épilogue Les protagonistes
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Chief Librarian: Las Zenow <zenow@riseup.net>
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