Anthologie De La Poésie Française by Pompidou, Georges -- Read -- Imperial Library of Trantor

Index

LA POÉSIE LES POÈTES EUSTACHE DESCHAMPS

Ballade sur la mort de Du Guesclin Ballade de Paris Virelai sur la tristesse du temps présent Souhaits du Jour de l’an

CHARLES D’ORLÉANS

Chanson Ballades

Las ! Mort, qui t’a fait si hardie En la forêt d’Ennuyeuse Tristesse En regardant vers le pays de France En la forêt de Longue Attente

Complainte Rondeaux

Le temps a laissé son manteau En faites-vous doute En verrai-je jamais la fin Les fourriers d’Été sont venus

FRANÇOIS VILLON

Le Testament Ballade des Dames du temps jadis Les regrets de la belle Heaumière Ballade que fit Villon à la requête de sa mère pour prier Notre-Dame Rondeau

Mort, j’appelle de ta rigueur Quand je considère ces têtes

L’Épitaphe Villon

CLÉMENT MAROT

Chanson Chant de Mai et de Vertu De sa grande amie Du portement d’Anne De soi-même

MAURICE SCÈVE

Délie

JOACHIM DU BELLAY

L’Olive

Déjà la nuit en son parc amassait Si notre vie est moins qu’une journée

Les Louanges d’Anjou La Complainte du désespéré Les Antiquités de Rome

Telle que dans son char la Bérécynthienne Comme on passe en été le torrent sans danger Qui a vu quelquefois un grand chêne asséché Comme le champ semé en verdure foisonne

Les Regrets

Las, où est maintenant ce mépris de Fortune ? France, mère des arts, des armes et des lois Maintenant je pardonne à la douce fureur Heureux, de qui la mort de sa gloire est suivie Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage

D’un vanneur de blé aux vents

PIERRE DE RONSARD

Odes

O Fontaine Bellerie Quand je suis vingt ou trente mois

Les amours de Cassandre

Ciel, air et vents, plains et monts découverts Mignonne, allons voir si la rose Quand au temple nous serons

Les amours de Marie

Marie, levez-vous, vous êtes paresseuse Je vous envoie un bouquet, que ma main

Sur la mort de Marie Sonnet à Sinope Hymne de la mort Institution pour l’adolescence du Roi très-chrétien Charles IXe de ce nom Réponse de P. de Ronsard aux injures et calomnies de je ne sais quels prédicantereaux et ministreaux de Genève Sonnets pour Hélène

Te regardant assise auprès de ta cousine Je plante en ta faveur cet arbre de Cybèle Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle

Élégie contre les bûcherons de la forêt de Gâtine Sonnets posthumes

Je n’ai plus que les os, un squelette je semble Il faut laisser maisons et vergers et jardins

LOUISE LABÉ

Sonnets

On voit mourir toute chose animée Oh, si j’étais en ce beau sein ravie Tant que mes yeux pourront larmes épandre

ROBERT GARNIER

Les Juives, chœur

PHILIPPE DESPORTES

Chanson Sonnets

Icare est chu ici, le jeune audacieux Sommeil, paisible fils de la Nuit solitaire Cette fontaine est froide, et son eau doux-coulante

Villanelle Plainte

CLAUDE GARNIER

Ode à Monsieur Marcil, Lecteur du Roi

AGRIPPA D’AUBIGNÉ

L’Hiver Le Jugement

FRANÇOIS DE MALHERBE

Prière pour le Roi Henri le Grand, allant en Limousin Paraphrase du psaume CXLV Les larmes de saint Pierre Dessein de quitter une dame qui ne le contentait Consolation à M. du Périer sur la mort de sa fille.

JEAN DE SPONDE

Sonnet

MATHURIN RÉGNIER

Satire à M. Rapin Sonnet Épitaphe

FRANÇOIS MAYNARD

La belle vieille Sonnet

HONORAT DE RACAN

Stances

THEOPHILE DE VIAU

Le matin La solitude Lettre à son frère

MARC-ANTOINE DE SAINT-AMANT

La solitude Le soleil levant Le paresseux

VINCENT VOITURE

La belle matineuse

TRISTAN L’HERMITE

Le promenoir des deux amants Consolation à Idalie sur la mort d’un Parent

PIERRE CORNEILLE

Le Cid

Acte III, Scène 4. — Don Rodrigue, Chimène, Elvire

Cinna

Acte IV, Scène 2. — Auguste

Polyeucte

Acte IV, Scène 2. — Polyeucte

Psyché

Acte III, Scène 3. — Psyché

Stances à Marquise

SCARRON

Épitaphe

JEAN DE LA FONTAINE

Adonis Élégie pour M. F. aux nymphes de Vaux Les Amours de Psyché et de Cupidon La Colombe et la Fourmi Le Loup et l’Agneau La Cigale et la Fourmi La Mort et le Bûcheron L’Hirondelle et les petits oiseaux Le Chêne et le Roseau Le Lièvre et la Tortue Le cochet, le chat et le souriceau Livre 6 — Épilogue Les Animaux malades de la Peste Le Coche et la Mouche Le Héron Les deux Coqs La Laitière et le pot au lait Le Chat, la Belette et le petit Lapin La Mort et le Mourant Les Deux Pigeons Le songe d’un habitant du Mogol Deuxième Discours à Mme de la Sablière

MOLIÈRE

Le Misanthrope

ACTE IV, SCENE 3. — ALCESTE, CELIMENE.

BOILEAU

À M. Racine, Épître À mon jardinier, Épître

JEAN RACINE

Andromaque

Acte III, Scène 8. Acte IV, Scène 1. Acte V, Scène dernière.

Britannicus

Acte II, Scène 2. Acte V, Scène 6.

Bérénice

Acte IV, Scène 5. — Bérénice, Titus Acte V, Scène 7.

Mithridate

ACTE III, SCENE I Acte IV, Scène 4. — Monime, Mithridate

Iphigénie

Acte IV, Scène 4.

Phèdre

Acte I, SCENE III — PHEDRE, ŒNONE Acte II, Scène 5. Phèdre, Hippolyte SCENE III — PHEDRE, ŒNONE Acte IV, Scène 6. — Phèdre, Œnone Acte V, Scène Dernière

Athalie

Acte III, Scène 7. — Joad, Josabet, Azarias suivi du Chœur Acte IV, Scène 3. Acte V, Scène 6.

Sur les vaines occupations des gens du siècle

JEAN-BAPTISTE ROUSSEAU

Ode tirée du Cantique d’Ézéchias pour une personne convalescente

VOLTAIRE

À Madame du Châtelet À Madame Lullin

JACQUES DELILLE

Les jardins : l’automne

NICOLAS GILBERT

Ode imitée de plusieurs psaumes

ANDRÉ CHÉNIER

Néære La jeune Tarentine Élégies La jeune captive Iambes L’Amérique

MARCELINE DESBORDES-VALMORE

Qu’en avez-vous fait ? Les roses de Saadi

ALPHONSE DE LAMARTINE

L’isolement Le vallon Le lac L’automne Pensée des morts Milly ou la terre natale La vigne et la maison

ALFRED DE VIGNY

Moïse La Maison du Berger

I II III

La colère de Samson La mort du loup

I II III

Le Mont des Oliviers

VICTOR HUGO

Ce siècle avait deux ans… Soleils couchants Napoléon II

I II III IV V VI

Puisque j’ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine Tristesse d’Olympio Le manteau impérial Ultima verba Lux Elle était déchaussée, elle était décoiffée La fête chez Thérèse Trois ans après Veni, vidi, vixi Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne À Villequier Les mages

I II IX

Booz endormi André Chénier Plein ciel Stupeur ! se pourrait-il que l’homme s’élançât ? Abîme La fin de Satan À Théophile Gautier

AUGUSTE BARBIER

L’idole

GÉRARD DE NERVAL

El Desdichado Myrtho Horus Antéros Delfica Artémis Vers dorés Une allée du Luxembourg Fantaisie Le point noir Les Cydalises Épitaphe

ALFRED DE MUSSET

Chanson À quoi rêvent les jeunes filles

ACTE I. SCENE 3.— NINON, NINETTE.

Une bonne fortune Lucie La nuit de mai Chanson de Barberine La nuit d’octobre Jamais Tristesse Sonnet à Madame M. N. À mon frère, revenant d’Italie Sur trois marches de marbre rose Derniers vers

THÉOPHILE GAUTIER

Fantaisie d’hiver

LECONTE DE LISLE

Midi Qaïn Les hurleurs Les éléphants Le manchy

CHARLES BAUDELAIRE

Bénédiction Les phares L’Ennemi Le Guignon Parfum exotique La Chevelure Une charogne Remords posthume Duellum Le balcon Je te donne ces vers afin que si mon nom Semper eadem Que diras-tu ce soir, pauvre âme solitaire Réversibilité Harmonie du soir Chant d’automne

I II

Le Portrait Chanson d’Après-midi À une Dame créole Maesta et errabunda Spleen Le Goût du Néant L’Horloge Paysage Le Cygne

I II

Les Petites Vieilles

I III IV

À une passante La servante au grand cœur dont vous étiez jalouse L’amour du mensonge Brumes et pluies Les bijoux Le Crépuscule du Matin Une Martyre Un Voyage à Cythère La Mort des Amants La Mort des Pauvres Le Voyage

I VII VIII

À celle qui est trop gaie Recueillement Le coucher du soleil romantique L’imprévu L’examen de minuit Le jet d’eau

THÉODORE DE BANVILLE

Le saut du tremplin

SULLY PRUDHOMME

Les Yeux

JOSÉ-MARIA DE HEREDIA

La Trebbia Les conquérants

STÉPHANE MALLARMÉ

Le Guignon Apparition Les fenêtres Les fleurs Renouveau Angoisse Brise marine Soupir Don du poème Hérodiade

LA NOURRICE, HÉRODIADE

L’après-midi d’un faune

ÉGLOGUE

Prose Autre Éventail Sonnets

Le vierge, le vivace et le bel aujourd’hui Sur les bois oubliés quand passe l’hiver sombre Mes bouquins refermés sur le nom de Paphos,

PAUL VERLAINE

Nevermore Vœu Mon rêve familier Chanson d’automne Clair de lune Les ingénus Colloque sentimental La lune blanche N’est-ce pas ? en dépit des sots et des méchants Donc, ce sera par un clair jour d’été Il pleure dans mon cœur O triste, triste était mon âme Green Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles Écoutez la chanson bien douce Les chères mains qui furent miennes O mon Dieu, vous m’avez blessé d’amour Je ne veux plus aimer que ma mère Marie. GASPARD HAUSER CHANTE : Le ciel est, par-dessus le toit Art poétique À Madame X… Allégorie La cathédrale est majestueuse

TRISTAN CORBIERE

La rapsode foraine et le pardon de Sainte-Anne

Bénite est l’infertile plage Mère taillée à coups de hache Et les fidèles, en chemise

Rondel

ARTHUR RIMBAUD

Ophélie

I II III

Les Chercheuses de poux Le Dormeur du val Le Bateau ivre Voyelles Chanson de la plus haute tour O saisons, ô châteaux

EMILE VERHAEREN

Les Horloges

JEAN MORÉAS

Stances

JULES LAFORGUE

Complainte de la lune en province Complainte de certains ennuis Je ne suis qu’un viveur lunaire

HENRI DE RÉGNIER

Si j’ai parlé

PAUL-JEAN TOULET

Dans le lit vaste et dévasté Dans le silencieux automne Nocturne Princes de la Chine La Cigale Vous qui retournez du Cathai Douce plage où naquit mon âme C’était sur un chemin crayeux Toute allégresse a son défaut EN ARLES Puisque tes jours ne t’ont laissé

PAUL CLAUDEL

La Cantate à trois voix

LAETA — FAUSTA — BEATA

Cantique de l’ombre Ténèbres Ballade Le soulier de satin

SCÈNE PREMIÈRE

FRANCIS JAMMES

Il va neiger… Prière pour aller au Paradis avec les ânes

PAUL VALÉRY

La jeune Parque Anne Au platane L’Abeille Les pas Fragments du Narcisse La Pythie Le Sylphe Ébauche d’un serpent Le cimetière marin

CHARLES PÉGUY

Quatrains La tapisserie de Sainte Geneviève et de Jeanne d’Arc La tapisserie de Notre Dame Ève

GUILLAUME APOLLINAIRE

Le pont Mirabeau La chanson du Mal-Aimé Aubade chantée à Lætare un an passé Crépuscule Marie Saltimbanques Automne Signe Hôtels La boucle retrouvée La jolie Rousse Si je mourais là-bas LOU

JULES SUPERVIELLE

Les yeux de la morte Saisir Grands yeux dans ce visage Descente de géants Vivre encore

PAUL ÉLUARD

Leurs yeux toujours purs Pour vivre ici Je te l’ai dit À peine défigurée Mourir Je suis la bête Liberté Comprenne qui voudra Bonne justice La puissance de l’espoir

POST-SCRIPTUM

Et puis, voici des vers… ANONYME ANONYME MARIE DE FRANCE CHANSONS DE TOILE

Gaie et Oriour

CHANSON DE RENAUD[119] RUTEBEUF

L’amour est morte

EUSTACHE DESCHAMPS CHARLES D’ORLÉANS FRANÇOIS VILLON MAURICE SCÈVE JOACHIM DU BELLAY PIERRE DE RONSARD

Sur la mort de Marie

PHILIPPE DESPORTES AGRIPPA D’AUBIGNÉ FRANÇOIS DE MALHERBE TRISTAN L’HERMITE PIERRE CORNEILLE

Le Cid Horace Cinna Polyeucte Pompée

JEAN DE LA FONTAINE MOLIÈRE JEAN RACINE

Andromaque Britannicus Bérénice Iphigénie Phèdre Athalie

ANDRÉ CHÉNIER ALPHONSE DE LAMARTINE ALFRED DE VIGNY VICTOR HUGO GÉRARD DE NERVAL

Delfica

CHARLES BAUDELAIRE

Chant d’automne

STÉPHANE MALLARMÉ PAUL VERLAINE TRISTAN CORBIÈRE LAUTRÉAMONT ARISTIDE BRUANT ARTHUR RIMBAUD PAUL-JEAN TOULET PAUL CLAUDEL PAUL VALÉRY CHARLES PÉGUY GUILLAUME APOLLINAIRE PIERRE MAC ORLAN PAUL ÉLUARD

Notes

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