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J’étais une montagne...
J’ai mordu plus amer...
Langue en plein air...
En écoutant le chant...
Tu ouvriras mes lèvres...
En dormant, sa langue...
En brisant la clavicule...
En tombant, elle criait...
Avec une chemise et...
Là où les hommes s’accroupissent...
Sous les cheveux, c’est encore vivant...
Du bain de fourmis je me lève...
Je n’ai peur de personne...
En mourant, tête blanche...
Pas de mercure pour la jeune fille...
J’épouse deux lèvres jointes...
Ici personne ne sait...
Je pèse ma salive neuve...
Quand je bouge je suis en toi...
A la femme qui se donne...
Au bonheur que la mer éclaire...
Combien puent l’if, le cyprès...
Qu’il n’y a plus d’heure, plus d’espace...
Isidor beau comme un mort au rictus...
Comment vais-je mourir demain...
Pourquoi suis-je né si mouillé...
Où est l’œil de mon grand-père...
Chiennerie et douceur, contre un cœur...
Que tout brille, que tout change...
D’étoile en étoile je trace mon chemin...
Dans la forêt de buis, l’odeur...
Comment la mort advient...
Enfant du tonnerre, amateur d’or...
Je vis dans le mur, je dors...
Il n’y a pas que le lait...
Celui auquel je songe...
Outré, hors de mon pantalon...
L’air est pur, les chardons...
Pas d’amour mon amour...
Le Grec rêveur
Anne Marie, Anne Marie...
Pierre est une pierre...
A l’Etrusque sous le chapeau...
Que la couleur jaune soit...
A l’inconnue, au visage qu’elle aurait...
Qui m’aime me désossant...
A l’Arménienne, quel œil d’Evelyne...
A l’inconnu tel qu’il fut en os...
Combien de porcs sous les chênes...
Il n’est de roi qu’entre les serpents...
A l’homme qui se donne à l’homme...
Ceci et puis ça, le cœur qui bat...
Au mont, os portant la chair...
Que ferais-je des cornes vivantes...
Qui est mort cet été de malheur ?...
Mes amies, le cerf est...
Tous les jours jusqu’à la fin...
Au lévite Pérignac...
Justification
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