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Index
Couverture Page de titre Poèmes saturniens
Prologue Melancholia
Résignation Nevermore Après trois ans Vœu Lassitude Mon rêve familier À une femme L’angoisse
Eaux-Fortes
Croquis parisien Cauchemar Marine Effet de nuit Grotesques
Paysages tristes
Soleils couchants Crépuscule du soir mystique Promenade sentimentale Nuit du Walpurgis classique Chanson d'automne L’heure du berger Le rossignol
Caprices
Femme et chatte Jésuitisme La chanson des Ingénues Une grande dame Monsieur Prudhomme
Initium Çavitri Sub urbe Sérénade Un dahlia Nevermore Il bacio Dans les bois Nocturne parisien Marco César Borgia La mort de Philippe II Épilogue
Fêtes galantes
Clair de lune Pantomime Sur l’herbe L’allée À la promenade Dans la grotte Les ingénus Cortège Les coquillages En patinant Fantoches Cythère En bateau Le faune Mandoline À Clymène Lettre Les indolents Colombine L’amour par terre En sourdine Colloque sentimental
La Bonne Chanson
I – Le soleil du matin doucement chauffe et dore II – Toute grâce et toutes nuances III – En robe grise et verte avec des ruches IV – Puisque l’aube grandit, puisque voici l’aurore V – Avant que tu ne t’en ailles VI – La lune blanche VII – Le paysage dans le cadre des portières VIII – Une Sainte en son auréole IX – Son bras droit, dans un geste aimable de douceur X – Quinze longs jours encore et plus de six semaines XI – La dure épreuve va finir XII – Va, chanson, à tire-d’aile XIII – Hier, on parlait de choses et d’autres XIV – Le foyer, la lueur étroite de la lampe XV – J’ai presque peur, en vérité XVI – Le bruit des cabarets, la fange des trottoirs XVII – N’est-ce pas ? en dépit des sots et des méchants XVIII – Nous sommes en des temps infâmes XIX – Donc, ce sera par un clair jour d’été XX – J’allais par des chemins perfides XXI – L’hiver a cessé : la lumière est tiède
Romances sans paroles
I – C’est l’extase langoureuse II – Je devine, à travers un murmure III – Il pleure dans mon cœur IV – Il faut, voyez-vous, nous pardonner les choses V – Le piano que baise une main frêle VI – C’est le chien de Jean de Nivelle VII – Ô triste, triste était mon âme VII – Dans l’interminable IX – L’ombre des arbres dans la rivière embrumée Paysages belges
Walcourt Charleroi Bruxelles simples fresques Bruxelles chevaux de bois Malines
Birds in the night Aquarelles
Green Spleen Streets Child wife A poor young shepherd Beams
Sagesse
I – Bon chevalier masqué qui chevauche en silence II – J’avais peiné comme Sisyphe III – Qu’en dis-tu, voyageur, des pays et des gares IV – Malheureux ! Tous les dons, la gloire du baptême V – Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles VI – Ô vous, comme un qui boite au loin. Chagrins et Joies VII – Les faux beaux jours ont lui tout le jour, ma pauvre âme VIII – La vie humble aux travaux ennuyeux et faciles IX – Sagesse d’un Louis Racine, je t’envie ! X – Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste ! XI – Petits amis qui sûtes nous prouver XII – Or, vous voici promus, petits amis XIII – Prince mort en soldat à cause de la France XIV – Vous reviendrez bientôt les bras pleins de pardons XV – On n’offense que Dieu qui seul pardonne XVI – Écoutez la chanson bien douce XVII – Les chères mains qui furent miennes XVIII – Et j’ai revu l’enfant unique XIX – Voix de l’Orgueil ; un cri puissant, comme d’un cor XX – L’ennemi se déguise en L’Ennui XXI – Va ton chemin sans plus t’inquiéter ! XXII – Pourquoi triste, ô mon âme XXIII – Né l’enfant des grandes villes XXIV – L’âme antique était rude et vaine I – Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’amour II – Je ne veux plus aimer que ma mère Marie III – Vous êtes calme, vous voulez un vœu discret IV – Mon Dieu m’a dit : Mon fils, il faut m’aimer. Tu vois
I II III IV V VI VII VIII IX
I – Désormais le Sage, puni II – Du fond du grabat III – L’espoir luit comme un brin de paille dans l’étable IV – Je suis venu, calme orphelin V – Un grand sommeil noir VI – Le ciel est, par-dessus le toit VII – Je ne sais pourquoi VIII – Parfums, couleurs, systèmes, lois ! IX – Le son du cor s’afflige vers les bois X – La tristesse, langueur du corps humain XI – La bise se rue à travers XII – Vous voilà, vous voilà, pauvres bonnes pensées ! XIII – L’échelonnement des haies XIV – L’immensité de l’humanité XV – La mer est plus belle XVI – La « grande ville ». Un tas criard de pierres blanches XVII – Toutes les amours de la terre XVIII – Sainte Thérèse veut que la Pauvreté soit XIX – Parisien, mon frère à jamais étonné XX – C’est la fête du blé, c’est la fête du pain
Jadis et naguère
Jadis
Prologue
Sonnets et autres vers
Pierrot Kaléidoscope Intérieur Dizain mille huit cent trente À Horatio Sonnet boîteux Le clown Le squelette Art poétique Le pitre Allégorie L’auberge Circonspection Vers pour être calomnié Luxures Vendanges Images d’un sou
Les uns et les autres
Scène I Scène II Scène III Scène IV Scène V Scène VI Scène VII Scène VIII Scène IX Scène X
Vers jeunes
Le soldat laboureur Les loups La pucelle L’Angélus du matin La soupe du soir Les vaincus
I II III IV
À la manière de plusieurs
I. La princesse Bérénice II. Langueur III. Pantoum négligé IV. Paysage V. Conseil falot VI. Le poète et la muse VII. L’aube à l'envers VIII. Un pouacre IX. Madrigal
Naguère
Prologue Crimen amoris La Grâce L’impénitence finale Don Juan pipé Amoureuse du diable
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Chief Librarian: Las Zenow <zenow@riseup.net>
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