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Index
Titre
Copyright
Du même auteur
Exergue
Préface
Note sur la présente édition
Repères biographiques
Notice chronologique sur les œuvres que comporte cette édition
Tome I
Confessions
Livre premier
I. — Prière liminaire
II. — La Première Enfance
III. — La Seconde Enfance
IV. — L’Éducation
Livre second
I. — L’Adolescent
II. — La Joie de nuire
Livre troisième
I. — Augustin à Carthage
II. — Le premier émoi intellectuel
III. — Augustin et le Manichéisme
Livre quatrième
I. — La Vie d’égarement
II. — Le Poème de l’Amitié
III. — Le Problème du Beau. Premiers travaux d’Augustin
Livre cinquième
I. — Les Désillusions d’Augustin manichéen
II. — Augustin à Rome
III. — Augustin à Milan. La Rencontre de saint Ambroise
Livre sixième
I. — La Déroute des préjugés anti-catholiques
II. — Les Perplexités d’ambition
Livre septième
I. — Les incertitudes métaphysiques
II. — Augustin et le Néo-Platonisme
Livre huitième
I. — La Contagion de l’Exemple
II. — La Crise décisive
Livre neuvième
I. — Lendemains de conversion
II. — La mort de Monique
Livre dixième
I. — Une nouvelle phase des Confessions
II. — Augustin à la recherche de son Dieu
III. — Augustin décrit son état moral à l’époque même où il rédige ses Confessions
IV. — Résumé de ce Xe livre et conclusion
Livre onzième
I. — Nouvelle action de Grâces
II. — L’interprétation du premier Verset de la Genèse
Livre douzième
I. — Suite du Commentaire des premiers versets de la genèse
II. — Quelques principes de méthode exégétique
Livre treizième
I. — Le jeu des Allégories
II. — Qualité de la Création
III. — Prière finale
Les soliloques ou connaissance de Dieu et de l’âme humaine
Livre premier
Chapitre premier Prière à dieu
Chapitre II. Ce qu’il faut aimer
Chapitre III. Connaissance de Dieu
Chapitre IV. Qu’est-ce qu’une connaissance certaine ?
Chapitre V. Une même science peut embrasser des choses différentes
Chapitre VI. Par quels sens intérieurs l’âme aperçoit Dieu
Chapitre VII. Jusques à quand la foi, l’espérance et la charité seront nécessaires
Chapitre VIII. Ce qui est nécessaire pour connaître Dieu
Chapitre IX. L’amour de nous-mêmes
Chapitre X. L’amour du corps et des choses extérieures
Chapitre XI. Les biens extérieurs doivent plutôt être acceptés que recherchés, en vue des biens véritables
Chapitre XII. Il ne faut rien désirer que ce qui conduit au souverain bien, rien craindre que ce qui en éloigne.
Chapitre XIII. Comment et par quels degrés on parvient à la sagesse
Chapitre XIV. C’est la sagesse elle-même qui guérit les yeux pour les rendre capables de voir
Chapitre XV. Comment on connaît l’âme. Confiance en Dieu
Livre deuxième
Chapitre premier De l’immortalité de l’homme
Chapitre II. La vérité est éternelle
Chapitre III. Si la fausseté doit toujours durer, et si elle ne peut exister sans être perçue, il s’ensuit qu’il existera toujours une âme quelconque pour la percevoir
Chapitre IV. Peut-on conclure l’immortalité de l’âme de la durée du vrai et du faux ?
Chapitre V. Qu’est-ce que le vrai ?
Chapitre VI. D’où vient la fausseté et où réside-t-elle ?
Chapitre VII. Du vrai et de ce qui lui ressemble
Chapitre VIII. Ce qui constitue le vrai ou le faux
Chapitre IX. Que sont le faux, le trompeur et le menteur ?
Chapitre X. Il y a des choses vraies, précisément parce qu’elles sont fausses
Chapitre XI. Vérité dans les sciences. — qu’est-ce que la fable ? Qu’est-ce que la grammaire ?
Chapitre XII. De combien de manières certaines choses existent dans une autre
Chapitre XIII. Conclusion en faveur de l’immortalité de l’âme
Chapitre XIV. Examen de la conclusion précédente
Chapitre XV. Nature du vrai et du faux
Chapitre XVI. Peut-on donner aux choses excellentes les noms des choses moindres ?
Chapitre XVII. Y a-t-il quelque chose d’entièrement faux ou d’entièrement vrai ?
Chapitre XVIII. Les corps sont-ils véritablement ?
Chapitre XIX. L’immortalité de la vérité prouve l’immortalité de l’âme
Chapitre XX. La vérité est dans toutes les âmes, même à leur insu
De l’immortalité de l’âme
De la vie bienheureuse
Du maître
De l’ordre
Livre premier
Chapitre premier Avant-propos. Tout est régi par la divine providence
Chapitre II. L’ouvrage dédié à Zénobius. — personnages du dialogue
Chapitre III. Première discussion. — ce qui y donna lieu
Chapitre IV. Rien absolument ne se fait sans cause
Chapitre V. Dieu gouverne tout avec ordre
Chapitre VI. L’ordre embrasse tout
Chapitre VII. Dieu n’aime pas le mal, et cependant le mal entre dans l’ordre
Chapitre VIII. Licentius enflammé d’ardeur pour la philosophie. — Monique le réprimande. — Utilité des sciences libérales
Chapitre IX. Deuxième discussion. — L’ordre conduit à Dieu
Chapitre X. Qu’est-ce que l’ordre ? Comment il faut comprimer les mouvements de rivalité et de vaine ostentation, dans les jeunes gens qui étudient les lettres
Chapitre XI. Monique ne doit point être éloignée d’une discussion philosophique
Livre second
Chapitre premier Première discussion. — Examen de la définition de l’ordre
Chapitre II. Qu’est-ce qu’être avec Dieu ? Comment le sage demeure immobile en Dieu
Chapitre III. La folie est-elle en Dieu ?
Chapitre IV. L’homme fait-il avec ordre ce qu’il a tort de faire ? Le mal ramené à l’ordre concourt à la beauté de l’univers
Chapitre V. Comment remédier à l’erreur de ceux qui ne croient pas à l’ordre dans le monde
Chapitre VI. Deuxième discussion. — L’esprit du sage est immobile
Chapitre VII. Quel a pu être l’ordre quand le mal n’était pas ?
Chapitre VIII. Règles de conduite pour les jeunes gens. — Ordre de leurs études
Chapitre IX. De l’autorité et de la raison dans les études
Chapitre X. Peu conforment leur vie aux préceptes divins
Chapitre XI. De la raison et de ses traces dans les choses sensibles. — Différence entre ce qui est rationnel et ce qui est raisonnable
Chapitre XII. La raison a inventé tous les arts. — Comment ont été découverts les mots, les lettres, les nombres. — Distinction des lettres, des syllabes et des mots. — Origine de l’histoire
Chapitre XIII. Origine de la dialectique et de la rhétorique
Chapitre XIV. Musique et poésie. — Le vers, le rhythme
Chapitre XV. Géométrie et astronomie
Chapitre XVI. Les sciences libérales élèvent l’esprit aux choses divines
Chapitre XVII. Il est de hautes questions que l’on ne peut aborder sans s’y être préparé par l’étude des sciences libérales
Chapitre XVIII. Comment l’âme arrive-t-elle à se connaître et à connaître l’unité ? Tout tend à l’unité
Chapitre XIX. Ce qui élève l’homme au-dessus de la brute. — Comment l’homme peut voir Dieu
Chapitre XX. Conclusion et exhortation à la vertu
Contre les académiciens
Livre premier
Chapitre premier Saint Augustin exhorte romanien à l’étude de la vraie philosophie
Première discussion
Chapitre II. Est-il nécessaire pour être heureux de connaître ou seulement de chercher la vérité ?
Chapitre III. On défend l’opinion des académiciens qui prétendentque le bonheur consiste dans la recherche de la vérité
Chapitre IV. Ce que c’est que l’erreur
Seconde discussion
Chapitre V. Qu’est-ce que la sagesse ?
Troisième discussion
Chapitre VI. Définition de la sagesse. — Objections. — Le devin albicère
Chapitre VII. On soutient la définition de la sagesse
Chapitre VIII. Le devin est-il un sage ? — Qu’est-ce qu’un sage ? — Définition de la sagesse conformément à l’opinion des académiciens
Chapitre IX. Conclusion
Livre deuxième
Chapitre premier Le secours de Dieu est nécessaire pour combattre les arguments des académiciens
Chapitre II. Augustin rend à Romanien ses devoirs de reconnaissance, et l’exhorte à la philosophie
Chapitre III. Philocalie et philosophie : Augustin excite de nouveau romanien à la philosophie
Première discussion
Chapitre IV. On rappelle les points discutés dans le premier livre
Chapitre V. Sentiments des académiciens
Deuxième discussion
Chapitre VI. Différence entre l’ancienne et la nouvelle académie
Chapitre VII. Contre les académiciens
Chapitre VIII. Subtilité des académiciens
Chapitre IX. Examen plus sérieux de l’opinion des académiciens
Chapitre X. La controverse avec les académiciens ne roule pas sur les mots, mais sur les choses
Troisième discussion
Chapitre XI. Qu’est-ce que la probabilité ?
Chapitre XII. Encore du probable et du vraisemblable
Chapitre XIII. Les académiciens ont-ils feint de ne pas connaître la vérité ?
Livre troisième
Première discussion
Chapitre premier Il faut chercher avec grand soin la vérité ; c’est d’elle que dépend la vie heureuse
Chapitre II. Si la fortune est nécessaire au sage
Chapitre III. Quelle différence entre le sage et celui qui veut l’être ? Le sage connaît quelque chose : il connaît au moins la sagesse
Seconde discussion
Chapitre IV. Celui qui ne sait rien ne peut être appelé sage
Chapitre V. Vains subterfuges des académiciens
Chapitre VI. La vérité ne peut être connue que par le secours divin
Chapitre VII. Augustin, sur la demande d’Alype, parle contre les académiciens : plaisante citation de Cicéron
Chapitre VIII. Réfutation du passage de Cicéron
Chapitre IX. On discute la définition de Zénon
Chapitre X. Deux axiomes des académiciens
Chapitre XI. Ni la faiblesse des sens, ni le sommeil ou la fureur, ne rendent impossible la connaissance de quelque vérité
Chapitre XII. Les académiciens allèguent vainement les séductions des sens, du sommeil ou de la fureur
Chapitre XIII. On connaît beaucoup de choses dans la dialectique
Chapitre XIV. Le sage doit donner son assentiment au moins à la sagesse
Chapitre XV. Est-ce éviter l’erreur que de suivre en pratique un sentiment probable sans y donner son assentiment ?
Chapitre XVI. Faire ce qui paraît probable sans le croire vrai, c’est mal faire
Chapitre XVII. Pourquoi les académiciens ont caché leur véritable sentiment
Chapitre XVIII. De quelle manière les académiciens répandirent la doctrine de la probabilité
Chapitre XIX. Plusieurs genres de philosophie
Chapitre XX. Conclusion de l’ouvrage
De la grandeur de l’âme
Traité du libre arbitre
Livre premier
Chapitre premier Dieu est-il l’auteur de quelque mal ?
Chapitre II. Avant de rechercher l’origine du mal, il faut savoir ce que nous devons croire sur Dieu
Chapitre III. La passion est le principe du mal
Chapitre IV. Objection : homicide commis par crainte. — Quelle sorte de cupidité est coupable ?
Chapitre V. Autre objection, tirée de l’homicide commis sur un homme qui nous fait violence, et permis par les lois humaines
Chapitre VI. La loi éternelle est la règle des lois humaines. Notion de la loi éternelle
Chapitre VII. Comment l’homme est bien réglé par la loi éternelle. — Il est meilleur de savoir que de vivre
Chapitre VIII. La raison qui place l’homme au-dessus des animaux doit dominer en lui-même
Chapitre IX. L’empire ou l’asservissement de la raison caractérisent le sage et l’insensé
Chapitre X. Rien ne force l’esprit à être l’esclave de la passion
Chapitre XI. L’âme qui s’abandonne à la passion par sa libre volonté est justement punie
Chapitre XII. Les esclaves de la passion subissent justement les peines de la vie mortelle, quand même ils n’auraient jamais eu la sagesse
Chapitre XIII. La vie heureuse comme la vie misérable dépend de notre volonté
Chapitre XIV. Pourquoi il y a peu d’hommes heureux quand tous voudraient l’être
Chapitre XV. Quelle est la valeur respective de la loi éternelle et de la loi temporelle, et qui sont ceux qui leur sont soumis ?
Chapitre XVI. Épilogue du livre premier
Livre deuxième
Chapitre premier Pourquoi Dieu nous a donné la liberté de pécher
Chapitre II. Objection : si le libre arbitre a été donné pour le bien, comment se fait-il qu’il puisse se tourner vers le mal ?
Chapitre III. Qu’y a-t-il de plus noble dans l’homme ? — Comment arriver à la preuve manifeste de l’existence de Dieu ?
Chapitre IV. Le sens intérieur sent le sentiment même ; se discerne-t-il aussi lui-même ?
Chapitre V. Le sens intérieur l’emporte sur les sens extérieurs dont il est le modérateur et le juge
Chapitre VI. La raison dans l’homme l’emporte sur tout le reste, et ce qui l’emporte sur la raison est Dieu
Chapitre VII. Les sens sont particuliers à chacun de nous et perçoivent différemment les divers objets
Chapitre VIII. Le rapport des nombres n’est perçu par aucun des sens corporels. — il est un et immuable pour toutes les intelligences qui le perçoivent
Chapitre IX. En quoi consiste la sagesse, sans laquelle personne n’est heureux ? — est-elle la même dans tous les sages ?
Chapitre X. La lumière de la sagesse est une et commune à tous les sages
Chapitre XI. La sagesse et le nombre sont-ils une même chose, ou bien existent-ils indépendamment l’un de l’autre, ou l’un des deux est-il renfermé dans l’autre ?
Chapitre XII. La vérité est une et inaltérable dans toutes les intelligences, et elle est supérieure à notre esprit
Chapitre XIII. Exhortation à embrasser la vérité, qui seule donne le bonheur
Chapitre XIV. On possède la vérité avec sécurité
Chapitre XV. Les raisonnements précédents prouvent l’existence de Dieu
Chapitre XVI. Aux âmes zélées qui la cherchent, la sagesse se montre partout, au moyen des nombres imprimés sur chaque chose
Chapitre XVII. Tout bien et toute perfection viennent de Dieu
Chapitre XVIII. Quoiqu’on puisse abuser de la volonté libre, elle doit être comptée parmi les biens
Chapitre XIX. Trois sortes de biens : les grands, les petits, et les moyens ; la liberté est du nombre de ces derniers
Chapitre XX. Dieu n’est pas l’auteur du mouvement par lequel la volonté se détourne du bien immuable
Livre troisième
Chapitre premier D’où vient le mouvement qui sépare la volonté du bien immuable ?
Chapitre II. Beaucoup sont tourmentés de l’idée que la prescience divine détruit le libre arbitre
Chapitre III. La prescience de dieu ne nous ôte point la liberté de pécher
Chapitre IV. La prescience de Dieu ne force pas au péché, et conséquemment c’est avec justice que Dieu punit les pécheurs
Chapitre V. On doit même louer Dieu d’avoir produit les créatures exposées au péché et à la souffrance
Chapitre VI. Dire qu’on préfère le néant à la misère, c’est n’être pas sincère
Chapitre VII. Les malheureux mêmes chérissent l’existence, parce qu’ils viennent de celui qui existe souverainement
Chapitre VIII. Nul ne choisit le néant, pas même ceux qui se donnent la mort
Chapitre IX. L’état misérable des pécheurs contribue à la beauté de l’univers
Chapitre X. De quel droit le démon régnait-il sur l’homme ? — De quel droit Dieu nous a-t-il délivrés ?
Chapitre XI. Qu’elle doive persévérer dans la justice ou pécher, toute créature contribue à la beauté de l’univers
Chapitre XII. Quand même tous les anges auraient péché, ils n’auraient apporté aucun trouble dans le gouvernement du monde
Chapitre XIII. La corruption même de la créature et le blâme jeté sur ses vices en font éclater la bonté
Chapitre XIV. Toute corruption n’est pas condamnable
Chapitre XV. Défauts coupables et défauts non coupables
Chapitre XVI. On ne peut faire retomber nos péchés sur Dieu
Chapitre XVII. Le péché a sa cause première dans la volonté
Chapitre XVIII. Y a-t-il péché dans un acte qu’il est impossible d’éviter ?
Chapitre XIX. Vaines excuses des pécheurs quand ils prétextent l’ignorance et la difficulté produites par le péché d’Adam
Chapitre XX. Il n’est pas injuste que les défauts, suites pénales du péché, soient transmis à la postérité d’Adam, quelle que soit l’opinion vraie sur l’origine des âmes
Chapitre XXI. Quelle sorte d’erreur est pernicieuse ?
Chapitre XXII. L’ignorance et la difficulté fussent-elles naturelles à l’homme, il y a encore sujet de louer le créateur
Chapitre XXIII. Mort des enfants. — Plaintes injustes des ignorants au sujet des souffrances qu’ils endurent. — Qu’est-ce que la douleur ?
Chapitre XXIV. Le premier homme n’a pas été insensé, mais capable de devenir sage. — Qu’est-ce que la folie ?
Chapitre XXV. Quelles idées frappent la nature raisonnable lorsqu’elle se tourne au mal ?
Traité de la musique
Livre premier
Chapitre premier L’art de déterminer la juste étendue des sons dépend de la musique et non de la grammaire
Chapitre II. Définition de la musique et de la modulation
Chapitre III. Qu’entend-on par bien moduler et pourquoi ce mot est-il nécessaire à la définition ?
Chapitre IV. En quoi le mot science entre-t-il nécessairement dans la définition de la musique ?
Chapitre V. Le sentiment musical vient-il de la nature ?
Chapitre VI. Les chanteurs de théâtre ignorent la musique
Chapitre VII. Des termes longtemps et non longtemps
Chapitre VIII. Du temps plus ou moins long dans le mouvement
Chapitre IX. Des mouvements rationnels ou irrationnels, connumérés ou dinumérés
Chapitre X. Des mouvements compliqués et sesquialtères
Chapitre XI. Comment un mouvement et un nombre sont bornés dans leur accroissement à l’infini et reçoivent une forme déterminée. — Système décimal
Chapitre XII. Pourquoi, dans la numération, va-t-on de 1 à 10 et revient-on de 10 à 1 ?
Chapitre XIII. Du charme des mouvements proportionnés, en tant qu’il est apprécié par l’oreille
Livre deuxième
Chapitre premier Points de vue différents du grammairien et du musicien dans l’appréciation de la quantité des syllabes
Chapitre II. Le grammairien juge d’un vers d’après l’autorité, le musicien, d’après la raison et l’oreille
Chapitre III. Durées des syllabes
Chapitre IV. Des pieds de deux syllabes
Chapitre V. Des pieds de trois syllabes
Chapitre VI. Pieds de quatre syllabes
Chapitre VII. Le vers est composé d’un nombre déterminé de pieds, comme le pied l’est d’un nombre déterminé de syllabes
Chapitre VIII. Noms des divers pieds
Chapitre IX. De la construction des pieds
Chapitre X. L’amphibraque, soit seul, soit mêlé à d’autres pieds, ne peut former de vers. Du levé et du posé
Chapitre XI. Du mélange rationnel des pieds
Chapitre XII. Des pieds de six temps
Chapitre XIII. Comment on peut changer l’ordre des pieds sans troubler l’harmonie
Chapitre XIV. Des pieds susceptibles de se mêler entre eux
Livre troisième
Chapitre premier Définition du rhythme et du mètre
Chapitre II. De la différence entre le mètre et le vers
Chapitre III. Du rhythme composé de pyrrhiques
Chapitre IV. Du rhythme continu
Chapitre V. Y a-t-il des pieds de plus de quatre syllabes ?
Chapitre VI. Aucun pied de plus de quatre syllabes ne peut constituer un rhythme qui porte son nom
Chapitre VII. De l’espèce et du nombre des pieds qui constituent le moindre mètre
Chapitre VIII. De la valeur des silences dans les mètres. — Définition du mètre
Chapitre IX. Du nombre de temps et de pieds auquel s’arrête le mètre
Livre quatrième
Chapitre premier Pourquoi la dernière syllabe d’un mètre est-elle indifférente ?
Chapitre II. Du nombre de syllabes dont se compose le moindremètre pyrrhique. — De la durée du silence qu’il comporte
Chapitre III. Variétés du mètre pyrrhique
Chapitre IV. Du mètre iambique
Chapitre V. Du mètre trochaïque
Chapitre VI. Du mètre spondaïque
Chapitre VII. Du tribraque : combien de mètres peut-il former ?
Chapitre VIII. Du dactyle
Chapitre IX. Du bacchius
Chapitre X. Que faut-il ajouter, avant le silence, à un pied déjà complet ?
Chapitre XI. L’iambe ne va pas bien après le ditrochée
Chapitre XII. Total des mètres
Chapitre XIII. Méthode pour battre la mesure des mètres et pour interposer les silences
Chapitre XIV. Suite de l’interposition des silences dans la mesure des mètres
Chapitre XV. Suite de l’interposition des silences dans le mètre
Chapitre XVI. Du mélange et de l’assemblage des pieds
Chapitre XVII. De la combinaison des mètres
Livre cinquième
Chapitre premier Différence du rhythme, du mètre et du vers
Chapitre II. Les mètres susceptibles de se diviser en deux parties sont plus parfaits que les autres
Chapitre III. Etymologie du mot vers
Chapitre IV. De la fin du vers
Chapitre V. Fin du vers héroïque
Chapitre VI. Suite du chapitre précédent
Chapitre VII. Comment peut-on ramener à l’égalité le nombre inégal des demi-pieds dans chaque membre ? Du rapport d’égalité entre les membres de 4 et de 3 demi-pieds, de 5 et de 3 demi-pieds
Chapitre VIII. Rapport entre les membres de 5 et de 7 demi-pieds
Chapitre IX. Des membres composés de 6 et de 7 demi-pieds, de 8 et de 7, de 9 et de 7
Chapitre X. De l’excellence des vers de six pieds : perfection incomparable du vers héroïque et iambique, parmi les vers de six pieds
Chapitre XI. De la manière la plus exacte de mesurer les vers de six pieds
Chapitre XII. De la raison pour laquelle les vers sénaires sont supérieurs à tous les autres
Chapitre XIII. Epilogue
Livre sixième
Chapitre premier De la fin qu’on s’est proposée dans les livres précédents
Chapitre II. De l’harmonie dans les sons : de ses différentes espèces, des rapports harmoniques, selon qu’ils existent dans le son ou qu’ils résultent de l’impression de l’oreille
Chapitre III. Des rapports d’harmonie qui naissent de la prononciation ou qui se conservent dans la mémoire
Chapitre IV. Des rapports d’harmonie qui se rattachent au jugement : quelle est, parmi les différentes espèces d’harmonie, la plus parfaite ?
Chapitre V. L’âme est-elle modifiée par le corps ? Comment sent-elle ?
Chapitre VI. Des trois dernières espèces de nombres : ordre et nom de toutes les espèces
Chapitre VII. Les nombres de jugement sont-ils éternels ?
Chapitre VIII. Tous les nombres sont soumis au contrôle des nombres de jugement
Chapitre IX. Il y a dans l’âme d’autres nombres supérieurs aux nombres de jugement
Chapitre X. Du rôle que joue la raison dans l’étude de la musique dont le charme tient exclusivement à un rapport d’égalité
Chapitre XI. L’harmonie, dans les choses inférieures, ne doit pas offenser, celle des choses supérieures doit seule charmer. Différence entre l’imagination de mémoire et l’imagination pure
Chapitre XII. Des nombres spirituels et éternels
Chapitre XIII. De la manière dont l’âme se détourne de l’immuable vérité
Chapitre XIV. L’âme s’élève à l’amour de Dieu par la connaissance de l’ordre et de l’harmonie qu’elle goûte dans les choses
Chapitre XV. L’âme accomplira en paix les mouvements du corps après la résurrection : la perfection de l’âme consistera alors en quatre vertus
Chapitre XVI. Comment ces quatre vertus sont l’apanage des bienheureux
Chapitre XVII. Des harmonies auxquelles l’âme pécheresse donne naissance et de celles qui la dominent. — conclusion de l’ouvrage
Des mœurs de l’église catholique
Livre premier
Chapitre premier Les manichéens démasqués : deux moyens employés par eux pour tromper
Chapitre II. Les Manichéens condamnés au tribunal de la raison. — Vice de leur méthode
Chapitre III. Le souverain bien pour l’homme. — Ses conditions
Chapitre IV. Qu’est-ce que l’homme ?
Chapitre V. Le souverain bien de l’homme est avant tout le souverain bien de son âme
Chapitre VI. La vertu conduit à la possession de Dieu
Chapitre VII. Dieu révélé par les écritures. — L’économie divine touchant notre salut. — Abrégé de la foi
Chapitre VIII. S’élever vers Dieu par un amour souverain
Chapitre IX. La charité. — Accord de l’Ancien et du Nouveau Testament
Chapitre X. Ce que l’Église nous enseigne par rapport à Dieu. — Les deux dieux des Manichéens
Chapitre XI. De l’amour souverain pour Dieu. — les deux conditions du souverain bien
Chapitre XII. La charité nous unit à Dieu
Chapitre XIII. Union avec Dieu par Jésus-Christ et le Saint-Esprit
Chapitre XIV. L’amour nous unit à la Trinité
Chapitre XV. Définition chrétienne des quatre vertus cardinales
Chapitre XVI. Accord de l’ancien et du nouveau testament
Chapitre XVII. Apostrophe aux Manichéens
Chapitre XVIII. L’Église catholique résumant les deux testaments
Chapitre XIX. L’office de la tempérance, d’après les Écritures
Chapitre XX. Mépris des choses sensibles. — Amour de Dieu seul
Chapitre XXI. La gloire mondaine et la curiosité condamnées par les Écritures
Chapitre XXII. L’amour de Dieu produit la force
Chapitre XXIII. Conseils et exemples de force tirés de l’Écriture
Chapitre XXIV. De la justice et de la prudence
Chapitre XXV. Les quatre vertus et l’amour de Dieu
Chapitre XXVI. Amour de soi-même et du prochain
Chapitre XXVII. Bienfaisance en faveur du corps du prochain
Chapitre XXVIII. Bienfaisance en faveur de l’âme du prochain
Chapitre XXIX. De l’autorité des écritures
Chapitre XXX. L’Église catholique
Chapitre XXXI. Les anachorètes et les cénobites
Chapitre XXXII. Eloge des clercs
Chapitre XXXIII. Les chrétiens dans le monde
Chapitre XXXIV. Les mauvais chrétiens condamnés
Chapitre XXXV. Concessions faites par l’Apôtre aux baptisés
Livre second
Chapitre premier Le souverain bien est le souverain Être
Chapitre II. Nature du mal
Chapitre III. Autre définition du mal
Chapitre IV. Différentes espèces de bien
Chapitre V. Troisième définition du mal
Chapitre VI. Ce qui peut être soumis à la corruption
Chapitre VII. Rien ne se corrompt entièrement, grâce à la bonté de Dieu
Chapitre VIII. Le mal n’est point une substance
Chapitre IX. Inanité des fables manichéennes
Chapitre X. Des signes de moralité chez les Manichéens
Chapitre XI. Du signe de la bouche. — Blasphème des Manichéens contre Dieu
Chapitre XII. Toute issue fermée aux Manichéens
Chapitre XIII. On doit juger l’intention et non les faits
Chapitre XIV. Trois causes louables de l’abstinence
Chapitre XV. Pourquoi les Manichéens interdisent l’usage des viandes
Chapitre XVI. Mystères des Manichéens
Chapitre XVII. Du sceau des mains
Chapitre XVIII. Le sceau du sein. — Infâmes mystères des manichéens
Chapitre XIX. Crimes des manichéens
Chapitre XX. Ces mêmes crimes découverts à Rome
De la vraie religion
La règle de Saint Augustin pour les serviteurs de dieu
Explication du sermon sur la montagne
Livre premier
Chapitre premier Règle parfaite de la vie chrétienne. — Montagne. — Ouvrir sa bouche. — Les pauvres d’esprit
Chapitre II. Explication des autres béatitudes
Chapitre III. Gradation admirable des huit béatitudes
Chapitre IV. Les sept degrés de la perfection également marqués dans Isaïe, mais par gradation descendante. — Sens mystérieux du nombre huit
Chapitre V. Souffrir pour la justice et pour Jésus-Christ
Chapitre VI. Le sel de la terre et la lumière du monde. — Le boisseau et le chandelier
Chapitre VII. La gloire de Dieu, fin de toutes nos œuvres
Chapitre VIII. Deux manières d’accomplir la loi. — Être très-petit dans le royaume des cieux
Chapitre IX. Justice plus parfaite sous la loi de grâce. — Degrés dans l’enfer
Chapitre X. Laisser là son offrande
Chapitre XI. Le juge, le ministre, l’adversaire
Chapitre XII. Suggestion, délectation, consentement
Chapitre XIII. L’œil droit
Chapitre XIV. Du mariage sous la loi de Moïse et sous la loi de grâce
Chapitre XV. Défense de renvoyer sa femme, et ordre d’y renoncer
Chapitre XVI. Lien conjugal
Chapitre XVII. Du serment
Chapitre XVIII. Amour de la justice et miséricorde
Chapitre XIX. Vengeance. — Justice des pharisiens et justice des chrétiens. — Joue droite. — Tunique. — Esclavage
Chapitre XX. Correction fraternelle
Chapitre XXI. La justice des pharisiens, acheminement vers la perfection
Chapitre XXII. Objection. — Pécher contre le Saint-Esprit. — Vengeance demandée par les martyrs
Chapitre XXIII. Les fils adoptifs de Dieu. — Conclusion de la première partie
Livre second
Chapitre premier Pour voir Dieu il est nécessaire que le cœur soit pur
Chapitre II. Hypocrisie. — Main gauche
Chapitre III. De la prière, ses conditions, son utilité
Chapitre IV. Oraison dominicale : Notre Père
Chapitre V. Qui êtes aux cieux. — Que votre nom soit sanctifié
Chapitre VI. Que votre règne arrive. — Que votre volonté soit faite
Chapitre VII. Le pain quotidien
Chapitre VIII. Rémission des péchés. — Pardon des injures
Chapitre IX. De la tentation
Chapitre X. Les trois premières et les quatre dernières demandes
Chapitre XI. Les sept dons du Saint-Esprit, les sept demandes du pater et les sept béatitudes
Chapitre XII. Du jeûne
Chapitre XIII. Désintéressement et pureté d’intention
Chapitre XIV. On ne peut servir Dieu et le démon
Chapitre XV. Sollicitudes superflues
Chapitre XVI. Ne pas évangéliser pour vivre, mais vivre pour évangéliser
Chapitre XVII. À ceux qui cherchent le royaume de Dieu rien ne manque
Chapitre XVIII. Ne pas juger les autres si l’on ne veut pas être jugé
Chapitre XIX. Le fétu et la poutre
Chapitre XX. Les perles, les chiens, les pourceaux
Chapitre XXI. Du précepte de la prière
Chapitre XXII. Faire à autrui ce qu’on désire pour soi
Chapitre XXIII. La porte étroite et la porte large
Chapitre XXIV. Prendre garde aux faux prophètes
Chapitre XXV. Nécessité de pratiquer
Quatre-vingt-trois questions
De la foi aux choses qu’on ne voit pas
De la foi et du symbole
De la foi et des œuvres
Des hérésies
De l’utilité de la foi
Des deux âmes
Conférences
Contre Adimantus, Manichéen
De la nature du bien
Tome II
Enchiridion ou Le manuel
Du combat chrétien
Le catéchisme
De la continence
De ce qui est bien dans le mariage
De la sainte virginité
Avantages de la viduité
Des unions adultères
Livre premier
Chapitre premier En dehors de toute cause de fornication, est-il permis à une femme de se séparer de son mari, pour vivre dans la continence
Chapitre II. La séparation n’est permise que pour cause de fornication
Chapitre III. Explication des paroles de l’apôtre, relatives à la femme qui se sépare d’un mari adultère
Chapitre IV. Mauvaise interprétation des paroles de l’apôtre
Chapitre V. Réfutation
Chapitre VI. Opinion de Pollentius sur le mariage après divorce
Chapitre VII. En cas de séparation légitime, un nouveau mariage est défendu
Chapitre VIII. Similitude des conditions de l’homme et de la femme
Chapitre IX. Objection de Pollentius. — Réponse
Chapitre X. Accord de plusieurs textes
Chapitre XI. Saint Matthieu expliqué par les autres évangélistes
Chapitre XII. Une femme répudiée reste l’épouse de son premier mari
Chapitre XIII. Du divorce entre époux dont l’un est chrétien et l’autre infidèle
Chapitre XIV. Beaucoup de choses, sans être prescrites par la loi, doivent être faites par charité
Chapitre XV. Œuvres permises mais désavantageuses
Chapitre XVI. Ce qui est permis et ce qui est désavantageux
Chapitre XVII. Ce qui est permis sans être expédient, et ce qui n’est pas expédient pour n’être pas permis
Chapitre XVIII. Pourquoi les Israélites ne pouvaient-ils se marier avec les infidèles, tandis que les chrétiens le peuvent
Chapitre XIX. Rester vierge et conserver une épouse infidèle
Chapitre XX. Quand les paroles de l’apôtre ne renferment-elles qu’un conseil
Chapitre XXI. Mariages contractés et mariages à contracter avec des infidèles
Chapitre XXII. Divorcer, et épouser une autre femme, pour la rendre chrétienne, c’est se rendre coupable d’adultère
Chapitre XXIII. On ne saurait, en vue du bien, faire le mal
Chapitre XXIV. Rien n’autorise à rompre le vœu de continence
Chapitre XXV. Résumé de ce qui précède
Chapitre XXVI. Baptême à conférer aux catéchumènes en danger de mort
Chapitre XXVII. Ce que signifie : « ne pas jeter les perles aux pourceaux »
Chapitre XXVIII. En cas de mort on ne doit pas refuser le baptême, même aux catéchumènes qui vivent dans l’adultère
Livre second
Chapitre premier Pourquoi ce nouveau livre
Chapitre II. Pollentius croit que le mariage est dissous par l’adultère comme par la mort
Chapitre III. Réfutation
Chapitre IV. Si l’on peut assimiler la fornication à la mort
Chapitre V. Le mariage n’est rompu que par la mort
Chapitre VI. De la réconciliation entre époux après l’adultère
Chapitre VII. Que sont ces maris qui sévissent contre leurs femmes adultères ?
Chapitre VIII. En cas d’adultère réciproque, l’homme est plus coupable que la femme
Chapitre IX. La réconciliation ou la continence
Chapitre X. Vaines réclamations de l’incontinence contre la loi
Chapitre XI. Autre objection de Pollentius
Chapitre XII. Le désir de la maternité, but unique du mariage
Chapitre XIII. La réconciliation ou la continence
Chapitre XIV. Autre objection
Chapitre XV. Le pardon fondé sur des motifs de charité
Chapitre XVI. Nouvelle objection
Chapitre XVII. Autre inconvénient de l’opinion de Pollentius
Chapitre XVIII. Choisir entre la continence conjugale et la continence virginale
Chapitre XIX. La continence pour les époux séparés
Chapitre XX. Les hommes doivent être pour les femmes des modèles de pudeur
Du mensonge
Contre le mensonge
Du travail des moines
De la divination des démons
Des devoirs à rendre aux morts
De la patience
Du symbole
De la discipline chrétienne
Du cantique nouveau
De l’utilité du jeûne
De la ruine de Rome
La Trinité
Livre premier
Chapitre premier Trois sources d’erreurs. — Nécessité de purifier l’âme pour étudier la Trinité
Chapitre II. Plan de cet ouvrage
Chapitre III. Dans quelles dispositions on doit le lire
Chapitre IV. Quel est sur la Sainte Trinité l’enseignement de l’Église
Chapitre V. Comment trois personnes ne font-elles qu’un seul Dieu ?
Chapitre VI. Consubstantialité des trois personnes
Chapitre VII. Comment le fils est-il inférieur au père et à lui-même
Chapitre VIII. Passages de l’Écriture relatifs à l’infériorité du Fils
Chapitre IX. Il faut souvent appliquer à toutes les personnes ce que l’écriture dit de l’une d’entre elles
Chapitre X. Dans quel sens est-il dit que le Fils livrera la souveraineté au Père
Chapitre XI. Deux natures dans la personne du Fils
Chapitre XII. Autres passages relatifs aux deux natures
Chapitre XIII. Dans quel sens le Père ne doit-il pas juger
Livre deuxième
Préface
Chapitre premier Règles d’interprétation
Chapitre II. Deux sens également vrais
Chapitre III. L’Esprit-Saint procède du Père et du Fils
Chapitre IV. Le fils glorifié par le Père
Chapitre V. Le Fils et le Saint-Esprit envoyés par le Père
Chapitre VI. Le Saint-Esprit ne s’est pas incarné comme le Fils
Chapitre VII. Apparitions divines
Chapitre VIII. Toute la Trinité également invisible
Chapitre IX. Objections : réponses
Chapitre X. Apparitions de Dieu à Adam, à Abraham
Chapitre XI. Le chêne de Mambré
Chapitre XII. Apparition faite à Loth
Chapitre XIII. Le buisson ardent
Chapitre XIV. La colonne de feu
Chapitre XV. Le mont Sinaï
Chapitre XVI. Comment Moïse a-t-il vu Dieu
Chapitre XVII. Voir Dieu par derrière
Chapitre XVIII. Vision de Daniel
Livre troisième
Préface
Chapitre premier Questions à examiner
Chapitre II. Toute transformation corporelle a pour premier principe la volonté de Dieu. Exemple
Chapitre III. Continuation du même sujet
Chapitre IV. Empire souverain de Dieu sur toute créature
Chapitre V. Caractère du miracle
Chapitre VI. Même sujet
Chapitre VII. Le miracle et la magie
Chapitre VIII. À Dieu seul le pouvoir de créer
Chapitre IX. Toutes les causes ont leur principe en Dieu
Chapitre X. Signes sacrés. Eucharistie
Chapitre XI. Apparitions divines produites par le ministère des anges. Conclusion de ce livre
Livre quatrième
Préface
Chapitre premier Il est bon de connaître ses défauts
Chapitre II. L’incarnation nous dispose à connaître la vérité
Chapitre III. L’utilité de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ
Chapitre IV. Le nombre six
Chapitre V. Le nombre six et le temple de Jérusalem
Chapitre VI. Les trois jours qui précédèrent la résurrection
Chapitre VII. Union des fidèles
Chapitre VIII. Le Christ veut cette union
Chapitre IX. Même sujet
Chapitre X. La vie et la mort
Chapitre XI. Que penser des prodiges opérés par le démon ?
Chapitre XII. Principe de vie et principe de mort
Chapitre XIII. Mort volontaire de Jésus-Christ
Chapitre XIV. Le Christ est la plus pure victime
Chapitre XV. Présomption et aveuglement
Chapitre XVI. Étroitesse de l’enseignement des philosophes
Chapitre XVII. Les philosophes et la résurrection
Chapitre XVIII. But de l’incarnation
Chapitre XIX. Égalité du Fils de Dieu avec son Père
Chapitre XX. Mission du Fils et du Saint-Esprit
Chapitre XXI. Révélations sensibles du Saint-Esprit. — Résumé
Livre cinquième
Chapitre premier Dieu est immuable et incorporel
Chapitre II. De l’essence divine
Chapitre III. Consubstantialité du Père et du Fils
Chapitre IV. Tout accident suppose dans le sujet quelque changement
Chapitre V. Des relations divines
Chapitre VI. Chicanes des Ariens sur les mots engendré et non engendré
Chapitre VII. Explication de cette doctrine
Chapitre VIII. Tout ce qui se dit de la nature divine, est propre aux trois personnes de la Sainte Trinité
Chapitre IX. Des personnes divines
Chapitre X. Tout ce qui se rapporte à la nature divine, se dit au singulier des trois personnes
Chapitre XI. Des relations divines
Chapitre XII. Pauvreté du langage humain pour expliquer les relations divines
Chapitre XIII. Dans quel sens le mot principe se dit de la Trinité
Chapitre XIV. Le Père et le Fils sont le principe de l’Esprit-Saint
Chapitre XV. L’esprit-saint était-il un don avant même qu’il fût donné ?
Chapitre XVI. Tout ce qui se dit de Dieu par rapport au temps se dit des relations et non de la substance
Livre sixième
Chapitre premier Le fils est la vertu et la sagesse de Dieu le Père. Difficulté de savoir si le père n’est pas lui-même sagesse, mais seulement Père de la sagesse
Chapitre II. Ce qui peut ou ne peut pas se dire du Père et du Fils
Chapitre III. L’unité d’essence du Père et du Fils
Chapitre IV. Suite du même sujet
Chapitre V. Le Saint-Esprit égal en tout au Père et au Fils
Chapitre VI. Comment Dieu est une substance simple et multiple
Chapitre VII. Dieu est Trinité, mais n’est point triple
Chapitre VIII. Rien ne s’ajoute à la nature divine
Chapitre IX. Est-ce une seule personne ou les trois personnes ensemble que l’on appelle un seul Dieu ?
Chapitre X. Attributs de chaque personne d’après saint Hilaire. La Trinité représentée
Livre septième
Chapitre premier Chacune des trois personnes de la Trinité est-elle sagesse par elle-même ? Difficulté de cette question ; moyen de la résoudre
Chapitre II. Le Père et le Fils sont ensemble une seule sagesse, comme une seule essence, bien qu’ils ne soient pas ensemble un seul verbe
Chapitre III. Pourquoi les Écritures attribuent particulièrement au Fils la sagesse, bien que le Père et le Saint-Esprit soient aussi sagesse
Chapitre IV. Pourquoi les Grecs ont été obligés de dire trois hypostases et les latins trois personnes
Chapitre V. En Dieu, substance est un terme abusif, essence est le mot propre
Chapitre VI. Pourquoi, dans la Trinité, ne dit-on pas une personne et trois essences. L’homme est fait à l’image et est l’image de Dieu
Livre huitième
Prologue Résumé de ce qui a été dit plus haut. Règle à suivre dans les questions de foi trop difficiles
Chapitre premier La raison démontre qu’en Dieu les trois personnes ne sont pas plus grandes qu’une seule
Chapitre II. Pour comprendre comment Dieu est vérité, il faut écarter de son esprit toute image matérielle
Chapitre III. Dieu est le souverain bien. L’âme ne devient bonne qu’en se tournant vers Dieu
Chapitre IV. Pour pouvoir aimer Dieu, il faut le connaître par la vraie foi
Chapitre V. Comment on peut aimer la Trinité sans la connaître
Chapitre VI. Comment l’homme, qui n’est pas encore juste, connaît le juste qu’il aime
Chapitre VII. Du véritable amour par lequel on parvient à la connaissance de la Trinité. Il faut chercher Dieu, en imitant la piété des bons anges
Chapitre VIII. Aimer son frère, c’est aimer Dieu
Chapitre IX. L’amour du type immuable de la justice est le principe de notre amour pour les justes
Chapitre X. Il y a, dans la charité, trois caractères qui sont comme une empreinte de la Trinité
Livre neuvième
Chapitre premier Comment il faut chercher à connaître la Trinité
Chapitre II. Examen des trois éléments qui constituent la charité
Chapitre III. Image de la Trinité dans l’âme de l’homme qui se connaît et s’aime. L’âme se connaît elle-même par elle-même
Chapitre IV. L’âme elle-même, l’amour et la connaissance de soi, sont trois choses égales et qui n’en font qu’une ; elles sont à la fois substance et relations inséparables d’une même essence
Chapitre V. L’âme, l’amour et la connaissance de soi, sont en même temps distincts et tout entiers l’un dans l’autre
Chapitre VI. Connaître une chose en elle-même et la connaître dans l’éternelle vérité. C’est d’après les règles de l’éternelle vérité qu’il faut juger même des choses corporelles
Chapitre VII. Nous concevons et engendrons la parole intérieurement d’après les types vus dans la vérité éternelle. La parole est conçue par l’amour du Créateur ou de la créature
Chapitre VIII. Différence entre la cupidité ou la passion et la charité
Chapitre IX. Dans l’amour des choses spirituelles, la parole naît en même temps qu’elle est conçue. Il n’en est pas de même des choses charnelles
Chapitre X. La connaissance accompagnée d’amour est-elle seule la parole de l’âme ?
Chapitre XI. L’image ou la parole engendrée de l’âme qui se connaît est égale à l’âme elle-même
Chapitre XII. La connaissance est engendrée par l’âme, l’amour ne l’est pas. L’âme qui se connaît et s’aime est l’image de la Trinité
Livre dixième
Chapitre premier L’amour de l’âme qui étudie, c’est-à-dire désire de savoir, n’est point l’amour de ce qu’elle ignore
Chapitre II. Personne ne peut aimer ce qu’il ignore
Chapitre III. L’âme ne s’aime pas sans se connaître
Chapitre IV. L’âme humaine ne se connaît pas en partie, mais tout entière
Chapitre V. Pourquoi il est ordonné de se connaître. D’où viennent les erreurs de l’âme sur sa propre substance
Chapitre VI. Jugement erroné de l’âme sur elle-même
Chapitre VII. Opinion des philosophes sur la substance de l’âme
Chapitre VIII. Comment l’âme doit se chercher elle-même. Pourquoi elle se trompe sur son propre compte
Chapitre IX. L’âme se connaît par le seul fait qu’elle connaît l’ordre de se connaître
Chapitre X. Il est trois choses que l’âme sait d’elle-même avec certitude : qu’elle comprend, qu’elle existe et qu’elle vit
Chapitre XI. Dans la mémoire, l’intelligence et la volonté, on trouve l’esprit, la science et l’action. La mémoire, l’intelligence et la volonté sont une seule chose, quant à l’essence, et trois choses relativement l’une à l’autre
Chapitre XII. L’âme est l’image de la Trinité dans sa mémoire, son intelligence et sa volonté
Livre onzième
Chapitre premier Il y a même dans l’homme extérieur un vestige de la Trinité
Chapitre II. Il y a dans la vision une sorte de Trinité. Éclaircissement par un exemple
Chapitre III. Il se forme dans la pensée une Trinité de la mémoire, de la vision intérieure et de la volonté qui les unit
Chapitre IV. Comment se fait cette unité
Chapitre V. La Trinité de l’homme extérieur n’est pas l’image de Dieu. La ressemblance de Dieu se voit jusque dans le péché
Chapitre VI. Comment il faut entendre le repos et le terme de la volonté dans la vision
Chapitre VII. Autre Trinité dans la mémoire
Chapitre VIII. Diverses manières de penser
Chapitre IX. La forme est engendrée par la forme
Chapitre X. L’imagination ajoute aux objets qu’elle n’a pas vus ce qu’elle a vu dans d’autres
Chapitre XI. Nombre, poids et mesure
Livre douzième
Chapitre premier L’homme extérieur et l’homme intérieur
Chapitre II. L’homme seul, parmi les animaux, découvre les raisons éternelles des choses dans le monde matériel
Chapitre III. La raison supérieure qui appartient à la contemplation et la raison inférieure qui appartient à l’action sont dans la même âme
Chapitre IV. La Trinité et l’image de Dieu ne se trouvent que dans la partie de l’âme qui peut contempler les choses éternelles
Chapitre V. Peut-on voir l’image de la Trinité dans l’union de l’homme et de la femme, et leur progéniture ?
Chapitre VI. Il faut rejeter cette opinion
Chapitre VII. Comment l’homme est l’image de Dieu, la femme n’est-elle pas aussi l’image de Dieu ?
Chapitre VIII. Comment s’efface l’image de Dieu
Chapitre IX. Suite du même sujet
Chapitre X. On ne descend que par degrés dans l’abîme du vice
Chapitre XI. L’image de l’animal dans l’homme
Chapitre XII. Il se fait un certain mariage mystérieux dans l’homme intérieur. Complaisance dans ses pensées illicites
Chapitre XIII. Opinion de ceux qui ont voulu représenter l’âme par l’homme et les sens par la femme
Chapitre XIV. Différence entre la sagesse et la science. Le culte de Dieu consiste dans son amour. Comment la sagesse donne la connaissance intellectuelle des choses éternelles
Chapitre XV. Contre la réminiscence de Platon et de Pythagore. Pythagore de Samos. Comment il faut chercher la Trinité dans la science des choses temporelles
Livre treizième
Chapitre premier Les attributions de la sagesse et de la science, d’après les écritures
Chapitre II. La foi vient du cœur et non du corps : elle est en même temps commune et individuelle chez tous les croyants
Chapitre III. Certaines volontés étant les mêmes chez tous, sont connues de chacun en particulier
Chapitre IV. Le désir du bonheur existe chez tous, mais les volontés varient beaucoup sur la nature du bonheur
Chapitre V. Suite du même sujet
Chapitre VI. Pourquoi, quand tous désirent le bonheur, préfère-t-on ce qui éloigne du bonheur
Chapitre VII. La foi est nécessaire à l’homme pour parvenir un jour au bonheur, ce qui n’aura lieu que dans la vie à venir. Ridicule et misérable bonheur des orgueilleux philosophes
Chapitre VIII. Point de bonheur sans l’immortalité
Chapitre IX. Ce n’est pas le raisonnement humain, mais la foi qui nous donne la certitude de l’immortalité dans le bonheur
Chapitre X. Aucun moyen n’était plus convenable que l’incarnation du verbe pour délivrer l’homme des misères de cette vie mortelle. Nos mérites sont des dons de Dieu
Chapitre XI. Difficulté : comment sommes-nous justifiés par le sang du fils de Dieu ?
Chapitre XII. Par le péché d’Adam, tous les hommes ont été livrés au pouvoir du démon
Chapitre XIII. Ce n’est pas par un acte de puissance, mais par un acte de justice, que l’homme a dû être arraché au pouvoir du démon
Chapitre XIV. La mort volontaire du Christ a sauvé les hommes condamnés à mort
Chapitre XV. Suite du même sujet
Chapitre XVI. La mort et les maux de ce monde tournent au bien des élus. Combien était convenable la mort du Christ pour nous justifier. Ce que c’est que la colère de Dieu
Chapitre XVII. Autres avantages de l’incarnation
Chapitre XVIII. Pourquoi le fils de Dieu a pris son humanité dans la race d’Adam et dans le sein d’une Vierge
Chapitre XIX. Quelle est la part de la science, et quelle est la part de la sagesse dans le verbe incarné
Chapitre XX. Résumé de ce livre. Comment nous sommes arrivés graduellement à découvrir une certaine Trinité dans la science pratique et dans la vraie foi
Livre quatorzième
Chapitre premier Qu’est-ce que la sagesse dont il est ici question ? D’où vient le nom de philosophe ? Ce qui a été dit plus haut de la distinction entre la science et la sagesse
Chapitre II. Dans le souvenir, la vue et l’amour de la foi temporelle, on découvre une certaine Trinité qui n’est cependant pas encore l’image de Dieu
Chapitre III. Solution d’une objection
Chapitre IV. C’est dans l’immortalité de l’âme raisonnable qu’il faut chercher l’image de Dieu. Comment la Trinité se fait voir dans l’âme
Chapitre V. L’âme des enfants se connaît-elle ?
Chapitre VI. Comment il se trouve une certaine Trinité dans l’âme qui réfléchit sur elle-même. Quel rôle la pensée joue dans cette Trinité
Chapitre VII. Éclaircissement par un exemple. Procédé pour aider l’intelligence du lecteur
Chapitre VIII. C’est dans la partie principale de l’âme qu’il faut chercher la Trinité qui est l’image de Dieu
Chapitre IX. La justice et les autres vertus cessent-elles d’exister dans la vie future ?
Chapitre X. Comment la Trinité se forme dans l’âme qui se souvient d’elle-même, se comprend et s’aime
Chapitre XI. Se souvient-on même des choses présentes ?
Chapitre XII. La Trinité qui se forme dans l’âme est l’image de Dieu quand l’âme se souvient de Dieu, le comprend et l’aime : ce qui forme proprement la sagesse
Chapitre XIII. Comment on peut oublier Dieu et s’en souvenir
Chapitre XIV. L’âme, en s’aimant convenablement, aime Dieu ; si elle ne l’aime pas, on doit dire qu’elle se hait elle-même. Qu’elle se tourne vers Dieu pour se souvenir de lui, le comprendre, l’aimer, et, par là même, être heureuse
Chapitre XV. Quoique l’âme espère le bonheur, elle ne se souvient cependant pas de celui qu’elle a perdu, mais bien de Dieu et des lois de la justice
Chapitre XVI. Comment l’image de Dieu se réforme dans l’homme
Chapitre XVII. Comment l’image de Dieu se renouvelle dans l’âme, en attendant que la ressemblance de Dieu se perfectionne en elle dans la béatitude
Chapitre XVIII. Faut-il, d’après les paroles de saint Jean, voir aussi dans l’immortalité du corps, notre future ressemblance avec le fils de Dieu ?
Chapitre XIX. C’est bien plutôt de notre parfaite ressemblance avec la Trinité dans la vie éternelle, qu’il faut entendre les paroles de saint Jean. La sagesse est parfaite au sein de la béatitude
Livre quinzième
Chapitre premier Dieu est au-dessus de l’âme
Chapitre II. Il faut chercher sans cesse le Dieu incompréhensible. Ce n’est pas à tort qu’on cherche dans la créature les traces de la Trinité
Chapitre III. Court résumé de tous les livres précédents
Chapitre IV. Ce que toute créature nous apprend de Dieu
Chapitre V. Combien il est difficile de démontrer la Trinité par la raison naturelle
Chapitre VI. Comment il y a Trinité dans la simplicité même de Dieu. La Trinité divine se démontre-t-elle par les trinités trouvées dans l’homme et comment ?
Chapitre VII. Il n’est pas facile d’entrevoir la Trinité divine d’après les trinités dont nous avons parlé
Chapitre VIII. En quel sens l’Apôtre dit que nous voyons Dieu ici-bas à travers un miroir
Chapitre IX. De l’énigme et des locutions figurées
Chapitre X. De la parole de l’âme, dans laquelle nous voyons le verbe de Dieu comme à travers un miroir et en énigme
Chapitre XI. Il faut chercher une image quelconque du verbe divin dans notre verbe intérieur et mental. Énorme différence entre notre verbe et notre science, le verbe divin et la science divine
Chapitre XII. Philosophie de l’académie
Chapitre XIII. L’auteur revient sur la différence entre la science et le verbe de notre âme, et la science et le verbe de Dieu
Chapitre XIV. Le verbe de Dieu est égal en tout au père de qui il est
Chapitre XV. Combien grande est la différence entre notre verbe et le verbe divin
Chapitre XVI. Même quand nous serons semblables à Dieu, notre verbe ne pourra jamais être égalé au verbe divin
Chapitre XVII. Comment l’Esprit-Saint est appelé charité. Est-il seul charité ? Charité est le nom propre que les Écritures donnent à l’Esprit-Saint
Chapitre XVIII. Aucun don de Dieu ne l’emporte sur la charité
Chapitre XIX. Les Écritures appellent le Saint-Esprit don de Dieu. Le Saint-Esprit est proprement appelé charité, quoiqu’il ne soit pas seul charité dans la Trinité
Chapitre XX. Contre Eunomius qui prétend que le Fils n’est pas Fils par nature, mais par adoption. Résumé de ce qui a été dit plus haut
Chapitre XXI. De la ressemblance du père et du fils découverte dans notre mémoire et notre intelligence. De la ressemblance du Saint-Esprit dans notre volonté ou notre amour
Chapitre XXII. Combien est grande la différence entre l’image de la Trinité que nous découvrons en nous et la Trinité elle-même
Chapitre XXIII. Encore de la différence qu’il y a entre la Trinité qui est dans l’homme et la Trinité qui est Dieu. On voit maintenant, à l’aide de la foi, la Trinité à travers un miroir, pour mériter de la voir un jour plus clairement face à face selon la promesse
Chapitre XXIV. Infirmité de l’âme humaine
Chapitre XXV. C’est seulement au sein de la béatitude qu’on comprend pourquoi le Saint-Esprit n’est pas engendré, et comment il procède du Père et du Fils
Chapitre XXVI. Le Saint-Esprit procède du Père et du Fils, et ne peut être appelé leur Fils
Chapitre XXVII. Pourquoi on ne dit pas que l’esprit est engendré et pourquoi l’on dit du Père seul qu’il n’est pas engendré ? Ce que doivent faire ceux qui ne comprennent pas ces mystères
Chapitre XXVIII. Conclusion du livre. Prière. Excuses
La Cité de Dieu
Livre premier
Chapitre premier Beaucoup d’adversaires du Christ épargnés par les barbares, à la prise de Rome, par respect pour le Christ
Chapitre II. Il est sans exemple dans les guerres antérieures que les vainqueurs aient épargné le vaincu par respect pour les dieux
Chapitre III. Les Romains s’imaginant que les dieux pénates, qui n’avaient pu protéger Troie, leur seraient d’efficaces protecteurs
Chapitre IV. Le temple de Junon au sac de Troie, et les basiliques des apôtres pendant le sac de Rome
Chapitre V. Sentiment de César touchant la coutume universelle de piller les temples dans les villes prises d’assaut
Chapitre VI. Les Romains eux-mêmes, quand ils prenaient une ville d’assaut, n’avaient point coutume de faire grâce aux vaincus réfugiés dans les temples des dieux
Chapitre VII. Les cruautés qui ont accompagné la prise de Rome doivent être attribuées aux usages de la guerre, tandis que la clémence dont les barbares ont fait preuve vient de la puissance du nom du Christ
Chapitre VIII. Les biens et les maux de la vie sont généralement communs aux bons et aux méchants
Chapitre IX. Des sujets de réprimande pour lesquels les gens de bien sont châtiés avec les méchants
Chapitre X. Les saints ne perdent rien en perdant les choses temporelles
Chapitre XI. S’il importe que la vie temporelle dure un peu plus ou un peu moins
Chapitre XII. Le défaut de sépulture ne cause aux Chrétiens aucun dommage
Chapitre XIII. Pourquoi il faut ensevelir les corps des fidèles
Chapitre XIV. Les consolations divines n’ont jamais manqué aux saints dans la captivité
Chapitre XV. La piété de Régulus, souffrant volontairement la captivité pour tenir sa parole envers les dieux, ne le préserva pas de la mort
Chapitre XVI. Le viol subi par les vierges chrétiennes dans la captivité, sans que leur volonté y fût pour rien, a-t-il pu souiller la vertu de leur âme ?
Chapitre XVII. Du suicide par crainte du châtiment et du déshonneur
Chapitre XVIII. Des violences que l’impureté d’autrui peut faire subir à notre corps, sans que notre volonté y participe
Chapitre XIX. De Lucrèce, qui se donna la mort pour avoir été outragée
Chapitre XX. La loi chrétienne ne permet en aucun cas la mort volontaire
Chapitre XXI. Des meurtres qui, par exception, n’impliquent point crime d’homicide
Chapitre XXII. La mort volontaire n’est jamais une preuve de grandeur d’âme
Chapitre XXIII. De l’exemple de Caton, qui s’est donné la mort pour n’avoir pu supporter la victoire de César
Chapitre XXIV. La vertu des Chrétiens l’emporte sur celle de Régulus, supérieure elle-même à celle de Caton
Chapitre XXV. Il ne faut point éviter un péché par un autre
Chapitre XXVI. Il n’est point permis de suivre l’exemple des saints en certains cas où la foi nous assure qu’ils ont agi par des motifs particuliers
Chapitre XXVII. Si la mort volontaire est désirable comme un refuge contre le péché
Chapitre XXVIII. Pourquoi Dieu a permis que les barbares aient attenté à la pudeur des femmes chrétiennes
Chapitre XXIX. Réponse que les enfants du Christ doivent faire aux infidèles, quand ceux-ci leur reprochent que le Christ ne les a pas mis à couvert de la fureur des ennemis
Chapitre XXX. Ceux qui s’élèvent contre la religion chrétienne ne sont avides que de honteuses prospérités
Chapitre XXXI. Par quels degrés s’est accrue chez les Romains la passion de la domination
Chapitre XXXII. De l’établissement des jeux scéniques
Chapitre XXXIII. La ruine de Rome n’a pas corrigé les vices des Romains
Chapitre XXXIV. La clémence de Dieu a adouci le désastre de Rome
Chapitre XXXV. L’Église a des enfants cachés parmi ses ennemis et de faux amis parmi ses enfants
Chapitre XXXVI. Des sujets qu’il conviendra de traiter dans les livres suivants
Livre deuxième
Chapitre premier Il est nécessaire de ne point prolonger les discussions au-delà d’une certaine mesure
Chapitre II. Récapitulation de ce qui a été traité dans le premier livre
Chapitre III. Il suffit de consulter l’histoire pour voir quels maux sont arrivés aux Romains pendant qu’ils adoraient les dieux et avant l’établissement de la religion chrétienne
Chapitre IV. Les idolâtres n’ont jamais reçu de leurs dieux aucun précepte de vertu, et leur culte a été souillé de toutes sortes d’infamies
Chapitre V. Des cérémonies obscènes qu’on célébrait en l’honneur de la mère des dieux
Chapitre VI. Les dieux des païens ne leur ont jamais enseigné les préceptes d’une vie honnête
Chapitre VII. Les maximes inventées par les philosophes ne pouvaient servir à rien, étant dépourvues d’autorité divine et s’adressant à un peuple plus porté à suivre les exemples des dieux que les maximes des raisonneurs
Chapitre VIII. Les jeux scéniques, où sont étalées toutes les turpitudes des dieux, loin de leur déplaire, servent à les apaiser
Chapitre IX. Les anciens Romains jugeaient nécessaire de réprimer la licence des poëtes, à la différence des grecs qui ne leur imposaient aucune limite, se conformant en ce point à la volonté des dieux
Chapitre X. C’est un trait de la profonde malice des démons, de vouloir qu’on leur attribue des crimes, soit véritables, soit supposés
Chapitre XI. Les Grecs admettaient les comédiens à l’exercice des fonctions publiques, convaincus qu’il y avait de l’injustice à mépriser des hommes dont l’art apaisait la colère des dieux
Chapitre XII. Les Romains, en interdisant aux poëtes d’user contre les hommes d’une liberté qu’ils leur donnaient contre les dieux, ont eu moins bonne opinion des dieux que d’eux-mêmes
Chapitre XIII. Les Romains auraient dû comprendre que des dieux capables de se complaire à des jeux infâmes n’étaient pas dignes des honneurs divins
Chapitre XIV. Platon, en excluant les poëtes d’une cité bien gouvernée, s’est montré supérieur à ces dieux qui veulent être honorés par des jeux scéniques
Chapitre XV. Les romains se sont donné certains dieux, non par raison, mais par vanité
Chapitre XVI. Si les dieux avaient eu le moindre souci de faire régner la justice, ils auraient donné aux romains des préceptes et des lois, au lieu de les leur laisser emprunter aux nations étrangères
Chapitre XVII. De l’enlèvement des sabines, et des autres iniquités commises par les romains aux temps les plus vantés de la république
Chapitre XVIII. Témoignage de Salluste sur les mœurs du peuple romain, tour à tour contenues par la crainte et relâchées par la sécurité
Chapitre XIX. De la corruption où était tombée la république romaine avant que le Christ vînt abolir le culte des dieux
Chapitre XX. De l’espèce de félicité et du genre de vie qui plairaient le plus aux ennemis de la religion chrétienne
Chapitre XXI. Sentiment de Cicéron sur la république romaine
Chapitre XXII. Les dieux des Romains n’ont jamais pris soin d’empêcher que les mœurs ne fissent périr la république
Chapitre XXIII. Les vicissitudes des choses temporelles ne dépendent point de la faveur ou de l’inimitié des démons, mais du conseil du vrai Dieu
Chapitre XXIV. Des proscriptions de Sylla auxquelles les démons se vantent d’avoir prêté leur assistance
Chapitre XXV. Les démons ont toujours excité les hommes au mal en donnant aux crimes l’autorité de leur exemple
Chapitre XXVI. Les faux dieux donnaient en secret des préceptes pour les bonnes mœurs, et en public des exemples d’impudicité
Chapitre XXVII. Quelle funeste influence ont exercée sur les mœurs publiques les jeux obscènes que les Romains consacraient à leurs dieux pour les apaiser
Chapitre XXVIII. De la sainteté de la religion chrétienne
Chapitre XXIX. Exhortation aux Romains pour qu’ils rejettent le culte des dieux
Livre troisième
Chapitre premier Des seuls maux que redoutent les méchants et dont le culte des dieux n’a jamais préservé le monde
Chapitre II. Si les dieux que servaient en commun les Romains et les Grecs ont eu des raisons pour permettre la ruine de Troie
Chapitre III. Les dieux n’ont pu s’offenser de l’adultère de Pâris, ce crime étant commun parmi eux
Chapitre IV. Sentiment de Varron sur l’utilité des mensonges qui font naître certains hommes du sang des dieux
Chapitre V. Il n’est point croyable que les dieux aient voulu punir l’adultère dans Pâris, l’ayant laissé impuni dans la mère de Romulus
Chapitre VI. Les dieux n’ont pas vengé le fratricide de Romulus
Chapitre VII. De la seconde destruction de Troie par Fimbria, un des lieutenants de Marius
Chapitre VIII. Rome devait-elle se mettre sous la protection des dieux de Troie ?
Chapitre IX. Faut-il attribuer aux dieux la paix dont jouirent les Romains sous le règne de Numa ?
Chapitre X. S’il était désirable que l’empire romain s’accrût par de grandes et terribles guerres, alors qu’il suffisait, pour lui donner le repos et la sécurité, de la même protection qui l’avait fait fleurir sous Numa
Chapitre XI. De la statue d’Apollon de Cumes, dont on prétend que les larmes présagèrent la défaite des Grecs que le Dieu ne pouvait secourir
Chapitre XII. Quelle multitude de dieux les Romains ont ajoutée à ceux de Numa, sans que cette abondance leur ait servi de rien
Chapitre XIII. Par quel moyen les Romains se procurèrent pour la première fois des épouses
Chapitre XIV. De la guerre impie que Rome fit aux Albains et du succès que lui valut son ambition
Chapitre XV. Quelle a été la vie et la mort des rois de Rome
Chapitre XVI. De Rome sous ses premiers consuls, dont l’un exila l’autre et fut tué lui-même par un ennemi qu’il avait blessé, après s’être souillé des plus horribles parricides
Chapitre XVII. Des maux que la république romaine eut à souffrir après les commencements du pouvoir consulaire, sans que les dieux se missent en devoir de la secourir
Chapitre XVIII. Des malheurs arrivés aux Romains pendant la première guerre punique sans qu’ils aient pu obtenir l’assistance des dieux
Chapitre XIX. État déplorable de la république romaine pendant la seconde guerre punique, où s’épuisèrent les forces des deux peuples ennemis
Chapitre XX. De la ruine de Sagonte, qui périt pour n’avoir point voulu quitter l’alliance des Romains, sans que les dieux des Romains vinssent à son secours
Chapitre XXI. De l’ingratitude de Rome envers Scipion, son libérateur, et de ses mœurs à l’époque réputée par Salluste la plus vertueuse
Chapitre XXII. De l’ordre donné par Mithridate de tuer tous les citoyens romains qu’on trouverait en Asie
Chapitre XXIII. Des maux intérieurs qui affligèrent la république romaine à la suite d’une rage soudaine dont furent atteints tous les animaux domestiques
Chapitre XXIV. De la discorde civile qu’alluma l’esprit séditieux des Gracques
Chapitre XXV. Du temple élevé à la concorde par décret du Sénat, dans le lieu même signalé par la sédition et le carnage
Chapitre XXVI. Des guerres qui suivirent la construction du temple de la concorde
Chapitre XXVII. De la guerre civile entre Marius et Sylla
Chapitre XXVIII. Comment Sylla victorieux tira vengeance des cruautés de Marius
Chapitre XXIX. Rome eut moins à souffrir des invasions des Gaulois et des Goths que des guerres civiles
Chapitre XXX. De l’enchaînement des guerres nombreuses et cruelles qui précédèrent l’avénement de Jésus-Christ
Chapitre XXXI. Il y a de l’impudence aux gentils à imputer les malheurs présents au christianisme et à l’interdiction du culte des dieux, puisqu’il est avéré qu’à l’époque où florissait ce culte, ils ont eu à subir les plus horribles calamités
Livre quatrième
Chapitre premier Récapitulation des livres précédents
Chapitre II. Récapitulation du second et du troisième livre
Chapitre III. Si un État qui ne s’accroît que par la guerre doit être estimé sage et heureux
Chapitre IV. Les empires, sans la justice, ne sont que des ramas de brigands
Chapitre V. La puissance des gladiateurs fugitifs fut presque égale à celle des rois
Chapitre VI. De l’ambition du roi Ninus qui, le premier, déclara la guerre à ses voisins afin d’étendre son empire
Chapitre VII. S’il faut attribuer à l’assistance ou à l’abandon des dieux la prospérité ou la décadence des empires
Chapitre VIII. Les romains ne sauraient dire quels sont parmi leurs dieux ceux à qui ils croient devoir l’accroissement et la conservation de leur empire, chaque dieu en particulier étant capable tout au plus de veiller à sa fonction particulière
Chapitre IX. Si l’on doit attribuer la grandeur et la durée de l’empire romain à Jupiter, que ses adorateurs regardent comme le premier des dieux
Chapitre X. Des systèmes qui attachent des dieux différents aux différentes parties de l’univers
Chapitre XI. De cette opinion des savants du paganisme que tous les dieux ne sont qu’un seul et même Dieu, savoir : Jupiter
Chapitre XII. Du système qui fait de Dieu l’âme du monde et du monde le corps de Dieu
Chapitre XIII. Du système qui n’admet comme parties de Dieu que les seuls animaux raisonnables
Chapitre XIV. On a tort de croire que c’est Jupiter qui veille à la prospérité des empires, attendu que la victoire, si elle est une déesse, comme le veulent les païens, a pu seule suffire à cet emploi
Chapitre XV. S’il convient à un peuple vertueux de souhaiter de s’agrandir
Chapitre XVI. Pourquoi les Romains, qui attachaient une divinité à tous les objets extérieurs et à toutes les passions de l’âme, avaient placé hors de la ville le temple du repos
Chapitre XVII. Si, en supposant Jupiter tout-puissant, la victoire doit être tenue pour déesse
Chapitre XVIII. Si les Païens ont eu quelque raison de faire deux déesses de la félicité et de la fortune
Chapitre XIX. De la fortune féminine
Chapitre XX. De la vertu et de la foi, que les Païens ont honorées comme des déesses par des temples et des autels, oubliant qu’il y a beaucoup d’autres vertus qui ont le même droit à être tenues pour des divinités
Chapitre XXI. Les Païens, n’ayant pas la connaissance des dons de Dieu, auraient dû se borner au culte de la vertu et de la félicité
Chapitre XXII. De la science qui apprend à servir les dieux, science que varron se glorifie d’avoir apportée aux Romains
Chapitre XXIII. Les Romains sont restés longtemps sans adorer la félicité, bien qu’ils adorassent un très-grand nombre de divinités, et que celle-ci dût leur tenir lieu de toutes les autres
Chapitre XXIV. Quelles raisons font valoir les Païens pour se justifier d’adorer les dons divins comme des dieux
Chapitre XXV. On ne doit adorer qu’un Dieu, qui est l’unique dispensateur de la félicité, comme le sentent ceux-là mêmes qui ignorent son nom
Chapitre XXVI. Des jeux scéniques institués par les Païens sur l’ordre de leurs dieux
Chapitre XXVII. Des trois espèces de dieux distingués par le pontife Scévola
Chapitre XXVIII. Si le culte des dieux a été utile aux Romains pour établir et accroître leur empire
Chapitre XXIX. De la fausseté du présage sur lequel les Romains fondaient la puissance et la stabilité de leur empire
Chapitre XXX. Ce que pensaient, de leur propre aveu, les Païens eux-mêmes touchant les dieux du paganisme
Chapitre XXXI. Varron a rejeté les superstitions populaires et reconnu qu’il ne faut adorer qu’un seul Dieu, sans être parvenu toutefois à la connaissance du Dieu véritable
Chapitre XXXII. Dans quel intérêt les chefs d’état ont maintenu parmi les peuples de fausses religions
Chapitre XXXIII. La durée des empires et des rois ne dépend que des conseils et de la puissance de Dieu
Chapitre XXXIV. Le royaume des Juifs fut institué par le vrai Dieu et par lui maintenu, tant qu’ils persévérèrent dans la vraie religion
Livre cinquième
Préface
Chapitre premier La destinée de l’empire romain et celle de tous les autres empires ne dépendent ni de causes fortuites, ni de la position des astres
Chapitre II. Ressemblance et diversité des maladies des deux jumeaux
Chapitre III. De l’argument de la roue du potier, allégué par le mathématicien Nigidius dans la question des jumeaux
Chapitre IV. Des deux jumeaux Ésaü et Jacob, fort différents de caractère et de conduite
Chapitre V. Preuves de la vanité de l’astrologie
Chapitre VI. Des jumeaux de sexe différent
Chapitre VII. Du choix des jours, soit pour se marier, soit pour semer ou planter
Chapitre VIII. De ceux qui appellent destin l’enchaînement des causes conçu comme dépendant de la volonté de Dieu
Chapitre IX. De la prescience de Dieu et de la libre volonté de l’homme, contre le sentiment de Cicéron
Chapitre X. S’il y a quelque nécessité qui domine les volontés des hommes
Chapitre XI. La providence de Dieu est universelle et embrasse tout sous ses lois
Chapitre XII. Par quelles vertus les anciens Romains ont mérité que le vrai Dieu accrût leur empire, bien qu’ils ne l’adorassent pas
Chapitre XIII. L’amour de la gloire, qui est un vice, passe pour une vertu, parce qu’il surmonte des vices plus grands
Chapitre XIV. Il faut étouffer l’amour de la gloire humaine, la gloire des justes étant toute en Dieu
Chapitre XV. De la récompense temporelle que Dieu a donnée aux vertus des Romains
Chapitre XVI. De la récompense des citoyens de la cité éternelle, à qui peut être utile l’exemple des vertus des Romains
Chapitre XVII. Les victoires des Romains ne leur ont pas fait une condition meilleure que celle des vaincus
Chapitre XVIII. Les Chrétiens n’ont pas à se glorifier de ce qu’ils font pour l’amour de la patrie céleste, quand les Romains ont fait de si grandes choses pour une patrie terrestre et pour une gloire tout humaine
Chapitre XIX. En quoi l’amour de la gloire diffère de l’amour de la domination
Chapitre XX. Il n’est guère moins honteux d’asservir les vertus à la gloire humaine qu’à la volupté
Chapitre XXI. C’est le vrai Dieu, source de toute-puissance et providence souveraine de l’univers, qui a donné l’empire aux Romains
Chapitre XXII. La durée et l’issue des guerres dépendent de la volonté de Dieu
Chapitre XXIII. De la guerre contre Radagaise, roi des Goths, qui fut vaincu dans une seule action avec toute son armée
Chapitre XXIV. En quoi consiste le bonheur des princes chrétiens, et combien ce bonheur est véritable
Chapitre XXV. Des prospérités que Dieu a répandues sur l’empereur chrétien Constantin
Chapitre XXVI. De la foi et de la piété de l’empereur Théodose
Livre sixième
Préface
Chapitre premier De ceux qui prétendent adorer les dieux, non en vue de la vie présente, mais en vue de la vie éternelle
Chapitre II. Sentiment de Varron touchant les dieux du paganisme, qu’il nous apprend à si bien connaître, qu’il leur eût mieux marqué son respect en n’en disant absolument rien
Chapitre III. Plan des antiquités de Varron
Chapitre IV. Il résulte des dissertations de Varron que les adorateurs des faux dieux regardaient les choses humaines comme plus anciennes que les choses divines
Chapitre V. Des trois espèces de théologies distinguées par varron, l’une mythique, l’autre naturelle, et l’autre civile
Chapitre VI. De la théologie mythique ou fabuleuse et de la théologie civile, contre Varron
Chapitre VII. Il y a ressemblance et accord entre la théologie mythique et la théologie civile
Chapitre VIII. Des interprétations empruntées à la science de la nature par les docteurs du paganisme, pour justifier la croyance aux faux dieux
Chapitre IX. Des attributions particulières de chaque Dieu
Chapitre X. De la liberté d’esprit de Sénèque, qui s’est élevé avec plus de force contre la théologie civile que Varron contre la théologie fabuleuse
Chapitre XI. Sentiment de Sénèque sur les Juifs
Chapitre XII. Il résulte évidemment de l’impuissance des dieux des gentils en ce qui touche la vie temporelle, qu’ils sont incapables de donner la vie éternelle
Livre septième
Préface
Chapitre premier Si le caractère de la divinité, lequel n’est point dans la théologie civile, se rencontre dans les dieux choisis
Chapitre II. Quels sont les dieux choisis et si on les regarde comme affranchis des fonctions des petites divinités
Chapitre III. On ne peut assigner aucun motif raisonnable du choix qu’on a fait de certains dieux d’élite, plusieurs des divinités inférieures ayant des fonctions plus relevées que les leurs
Chapitre IV. On a mieux traité les dieux inférieurs, qui ne sont souillés d’aucune infamie, que les dieux choisis, chargés de mille turpitudes
Chapitre V. De la doctrine secrète des païens et de leur explication de la théologie par la physique
Chapitre VI. De cette opinion de Varron que Dieu est l’âme du monde et qu’il comprend en soi une multitude d’âmes particulières dont l’essence est divine
Chapitre VII. Était-il raisonnable de faire deux divinités de Janus et de terme ?
Chapitre VIII. Pourquoi les adorateurs de janus lui ont donné tantôt deux visages et tantôt quatre
Chapitre IX. De la puissance de Jupiter, et de ce Dieu comparé à Janus
Chapitre X. S’il était raisonnable de distinguer Janus de Jupiter
Chapitre XI. Des divers surnoms de Jupiter, lesquels ne se rapportent pas à plusieurs dieux, mais à un seul
Chapitre XII. Jupiter est aussi appelé Pecunia
Chapitre XIII. Saturne et Génius ne sont autres que Jupiter
Chapitre XIV. Des fonctions de Mercure et de Mars
Chapitre XV. De quelques étoiles que les Païens ont désignées par les noms de leurs dieux
Chapitre XVI. D’Apollon, de Diane et des autres dieux choisis
Chapitre XVII. Varron lui-même a donné comme douteuses ses opinions touchant les dieux
Chapitre XVIII. Quelle est la cause la plus vraisemblable de la propagation des erreurs du paganisme
Chapitre XIX. Des explications qu’on donne du culte de Saturne
Chapitre XX. Des mystères de Cérès Éleusine
Chapitre XXI. De l’infamie des mystères de Liber ou Bacchus
Chapitre XXII. De Neptune, de Salacie et de Vénilie
Chapitre XXIII. De la terre, que Varron regarde comme une déesse, parce qu’à son avis l’âme du monde, qui est Dieu, pénètre jusqu’à cette partie inférieure de son corps et lui communique une force divine
Chapitre XXIV. Sur l’explication qu’on donne des divers noms de la terre, lesquels désignent, il est vrai, différentes vertus, mais n’autorisent pas l’existence de différentes divinités
Chapitre XXV. Quelle explication la science des sages de la Grèce a imaginée de la mutilation d’Atys
Chapitre XXVI. Infamies des mystères de la grande mère
Chapitre XXVII. Sur les explications physiques données par certains philosophes qui ne connaissent ni le vrai Dieu ni le culte qui lui est dû
Chapitre XXVIII. La théologie de Varron partout en contradiction avec elle-même
Chapitre XXIX. Il faut rapporter à un seul vrai Dieu tout ce que les philosophes ont rapporté au monde et à ses parties
Chapitre XXX. Une religion éclairée distingue les créatures du créateur, afin de ne pas adorer, à la place du créateur, autant de dieux qu’il y a de créatures
Chapitre XXXI. Quels bienfaits particuliers Dieu ajoute en faveur des sectateurs de la vérité à ceux qu’il accorde à tous les hommes
Chapitre XXXII. Le mystère de l’incarnation n’a manqué à aucun des siècles passés, et par des signes divers il a toujours été annoncé aux hommes
Chapitre XXXIII. La fourberie des démons, toujours prêts à se réjouir des erreurs des hommes, n’a pu être dévoilée que par la religion chrétienne
Chapitre XXXIV. Des livres de Numa Pompilius, que le sénat fit brûler pour ne point divulguer les causes des institutions religieuses
Chapitre XXXV. De l’hydromancie dont les démons se servaient pour tromper Numa en lui montrant dans l’eau leurs images
Livre huitième
Chapitre premier De la théologie naturelle et des philosophes qui ont soutenu sur ce point la meilleure doctrine
Chapitre II. Des deux écoles philosophiques, l’école italique et l’école ionienne, et de leurs chefs
Chapitre III. De la philosophie de Socrate
Chapitre IV. De Platon, principal disciple de Socrate, et de sa division de la philosophie en trois parties
Chapitre V. Il faut discuter de préférence avec les platoniciens en matière de théologie, leurs opinions étant meilleures que celles de tous les autres philosophes
Chapitre VI. Sentiments des platoniciens touchant la physique
Chapitre VII. Combien les platoniciens sont supérieurs dans la logique au reste des philosophes
Chapitre VIII. En matière de philosophie morale les platoniciens ont encore le premier rang
Chapitre IX. De la philosophie qui a le plus approché de la vérité chrétienne
Chapitre X. La foi d’un bon chrétien est fort au-dessus de toute la science des philosophes
Chapitre XI. Comment Platon a pu autant approcher de la doctrine chrétienne
Chapitre XII. Les platoniciens, tout en ayant une juste idée du Dieu unique et véritable, n’en ont pas moins jugé nécessaire le culte de plusieurs divinités
Chapitre XIII. De l’opinion de Platon touchant les dieux, qu’il définit des êtres essentiellement bons et amis de la vertu
Chapitre XIV. Des trois espèces d’âmes raisonnables admises par les platoniciens, celles des dieux dans le ciel, celles des démons dans l’air et celles des hommes sur la Terre
Chapitre XV. Les démons ne sont vraiment supérieurs aux hommes, ni par leur corps aérien, ni par la région plus élevée où ils font leur séjour
Chapitre XVI. Sentiment du platonicien Apulée touchant les mœurs et les actions des démons
Chapitre XVII. S’il convient à l’homme d’adorer des esprits dont il lui est commandé de fuir les vices
Chapitre XVIII. Ce qu’on doit penser d’une religion qui reconnaît les démons pour médiateurs nécessaires des hommes auprès des dieux
Chapitre XIX. La magie est impie quand elle a pour base la protection des esprits malins
Chapitre XX. S’il est croyable que les dieux bons préfèrent avoir commerce avec les démons qu’avec les hommes
Chapitre XXI. Si les dieux se servent des démons comme de messagers et d’interprètes, et s’ils sont trompés par eux, à leur insu ou de leur plein gré
Chapitre XXII. Il faut malgré Apulée rejeter le culte des démons
Chapitre XXIII. Ce que pensait hermès trismégiste de l’idolâtrie, et comment il a pu savoir que les superstitions de l’Égypte seraient abolies
Chapitre XXIV. Tout en déplorant la ruine future de la religion de ses pères, Hermès en confesse ouvertement la fausseté
Chapitre XXV. De ce qu’il peut y avoir de commun entre les saints anges et les hommes
Chapitre XXVI. Toute la religion des Païens se réduisait à adorer des hommes morts
Chapitre XXVII. De l’espèce d’honneurs que les Chrétiens rendent aux martyrs
Livre neuvième
Chapitre premier Du point où en est la discussion et de ce qui reste à examiner
Chapitre II. Si parmi les démons, tous reconnus pour inférieurs aux dieux, il en est de bons dont l’assistance puisse conduire les hommes à la béatitude véritable
Chapitre III. Des attributions des démons, suivant Apulée, qui, sans leur refuser la raison, ne leur accorde cependant aucune vertu
Chapitre IV. Sentiments des péripatéticiens et des stoïciens touchant les passions
Chapitre V. Les passions qui assiégent les âmes chrétiennes, loin de les porter au vice, les exercent à la vertu
Chapitre VI. Des passions qui agitent les démons, de l’aveu d’Apulée qui leur attribue le privilége d’assister les hommes auprès des dieux
Chapitre VII. Les platoniciens croient les dieux outragés par les fictions des poëtes, qui les représentent combattus par des affections contraires, ce qui n’appartient qu’aux démons
Chapitre VIII. Comment Apulée définit les dieux, habitants du ciel, les démons, habitants de l’air, et les hommes, habitants de la Terre
Chapitre IX. Si l’intercession des démons peut concilier aux hommes la bienveillance des dieux
Chapitre X. Les hommes, d’après les principes de Plotin, sont moins malheureux dans un corps mortel que les démons dans un corps éternel
Chapitre XI. Du sentiment des platoniciens, que les âmes des hommes deviennent des démons après la mort
Chapitre XII. Des trois qualités contraires qui, suivant les platoniciens, distinguent la nature des démons de celle des hommes
Chapitre XIII. Si les démons peuvent être médiateurs entre les dieux et les hommes, sans avoir avec eux aucun point commun, n’étant pas heureux, comme les dieux, ni misérables, comme les hommes
Chapitre XIV. Si les hommes, en tant que mortels, peuvent être heureux
Chapitre XV. De Jésus-Christ homme, médiateur entre Dieu et les hommes
Chapitre XVI. S’il est raisonnable aux platoniciens de concevoir les dieux comme éloignés de tout commerce avec la Terre et de toute communication avec les hommes, de façon à rendre nécessaire l’intercession des démons
Chapitre XVII. Pour acquérir la vie bienheureuse, qui consiste à participer au souverain bien, l’homme n’a pas besoin de médiateurs tels que les démons, mais du seul vrai médiateur, qui est le Christ
Chapitre XVIII. De la fourberie des démons, qui en nous promettant de nous conduire à Dieu ne cherchent qu’à nous détourner de la voie de la vérité
Chapitre XIX. Le nom des démons ne se prend jamais en bonne part, même chez leurs adorateurs
Chapitre XX. De la science qui rend les démons superbes
Chapitre XXI. Jusqu’à quel point le seigneur a voulu se découvrir aux démons
Chapitre XXII. En quoi la science des anges diffère de celle des démons
Chapitre XXIII. Le nom des dieux est faussement attribué aux dieux des gentils, et il convient en commun aux saints anges et aux hommes justes, selon le témoignage de l’écriture
Livre dixième
Chapitre premier Les platoniciens tombant d’accord que Dieu seul est la source de la béatitude véritable, pour les anges comme pour les hommes, il reste à savoir si les anges, que ces philosophes croient qu’il faut honorer en vue de cette béatitude même, veulent qu’on leur fasse des sacrifices ou qu’on n’en offre qu’à Dieu seul
Chapitre II. Sentiment de Plotin sur l’illumination d’en haut
Chapitre III. Bien qu’ils aient connu le créateur de l’univers, les platoniciens se sont écartés du vrai culte de Dieu en rendant les honneurs divins aux bons et aux mauvais anges
Chapitre IV. Le sacrifice n’est dû qu’à Dieu seul
Chapitre V. Des sacrifices que Dieu n’exige pas et qui ont été la figure de ceux qu’il exige effectivement
Chapitre VI. Du vrai et parfait sacrifice
Chapitre VII. Les saints anges ont pour nous un amour si pur qu’ils veulent, non pas que nous les adorions, mais que nous adorions le seul vrai Dieu
Chapitre VIII. Des miracles que Dieu a daigné opérer par le ministère des anges à l’appui de ses promesses, pour corroborer la foi des justes
Chapitre IX. Des incertitudes du platonicien Porphyre touchant les arts illicites et démoniaques
Chapitre X. De la théurgie, qui permet d’opérer dans les âmes une purification trompeuse par l’invocation des démons
Chapitre XI. De la lettre de Porphyre à l’égyptien Anébon, où il le prie de l’instruire touchant les diverses espèces de démons
Chapitre XII. Des miracles qu’opère le vrai Dieu par le ministère des saints anges
Chapitre XIII. Invisible en soi, Dieu s’est rendu souvent visible, non tel qu’il est, mais tel que les hommes le pouvaient voir
Chapitre XIV. Il ne faut adorer qu’un seul Dieu, non-seulement en vue des biens éternels, mais en vue même des biens terrestres qui dépendent tous de sa providence
Chapitre XV. Du ministère des saints anges, instruments de la providence divine
Chapitre XVI. Si nous devons, pour arriver à la vie bienheureuse, croire plutôt ceux d’entre les anges qui veulent qu’on les adore que ceux qui veulent qu’on n’adore que Dieu
Chapitre XVII. De l’arche du testament et des miracles que Dieu opéra pour fortifier l’autorité de sa loi et de ses promesses
Chapitre XVIII. Contre ceux qui nient qu’il faille s’en fier aux livres saints touchant les miracles accomplis pour l’instruction du peuple de Dieu
Chapitre XIX. Quel est l’objet du sacrifice visible que la vraie religion ordonne d’offrir au seul Dieu invisible et véritable
Chapitre XX. Du véritable et suprême sacrifice effectué par le Christ lui-même, médiateur entre Dieu et les hommes
Chapitre XXI. Du degré de puissance accordé aux démons pour procurer, par des épreuves patiemment subies, la gloire des saints, lesquels n’ont pas vaincu les démons en leur faisant des sacrifices, mais en restant fidèles à Dieu
Chapitre XXII. Où est la source du pouvoir des saints contre les démons et de la vraie purification du cœur
Chapitre XXIII. Des principes de la purification de l’âme, selon les platoniciens
Chapitre XXIV. Du principe unique et véritable qui seul purifie et renouvelle la nature humaine
Chapitre XXV. Tous les saints qui ont vécu sous la loi écrite et dans les temps antérieurs ont été justifiés par la foi en Jésus-Christ
Chapitre XXVI. Des contradictions de Porphyre flottant incertain entre la confession du vrai Dieu et le culte des démons
Chapitre XXVII. Porphyre s’engage dans l’erreur plus avant qu’Apulée et tombe dans l’impiété
Chapitre XXVIII. Quels conseils ont aveuglé Porphyre et l’ont empêché de connaître la vraie sagesse, qui est Jésus-Christ
Chapitre XXIX. De l’incarnation de notre-seigneur Jésus-Christ repoussée par l’orgueil impie des platoniciens
Chapitre XXX. Sur combien de points Porphyre a réfuté et corrigé la doctrine de Platon
Chapitre XXXI. Contre les platoniciens qui font l’âme coéternelle à Dieu
Chapitre XXXII. La voie universelle de la délivrance de l’âme nous est ouverte par la seule grâce du Christ
Livre onzième
Chapitre premier Objet de cette partie de notre ouvrage où nous commençons d’exposer l’origine et la fin des deux cités
Chapitre II. Personne ne peut arriver à la connaissance de Dieu que par Jésus-Christ homme, médiateur entre Dieu et les hommes
Chapitre III. De l’autorité de l’écriture canonique, ouvrage de l’Esprit Divin
Chapitre IV. Le monde n’a pas été créé de toute éternité, sans qu’on puisse dire qu’en le créant, Dieu ait fait succéder une volonté nouvelle à une autre volonté antérieure
Chapitre V. Il ne faut pas plus se figurer des temps infinis avant le monde que des lieux infinis au-delà du monde
Chapitre VI. Le monde et le temps ont été créés ensemble
Chapitre VII. De la nature de ces premiers jours qui ont eu un soir et un matin avant la création du soleil
Chapitre VIII. Ce qu’il faut entendre par le repos de Dieu après l’œuvre des six jours
Chapitre IX. Ce que l’on doit penser de la création des anges, d’après les témoignages de l’Écriture Sainte
Chapitre X. De l’immuable et indivisible Trinité, où le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne font qu’un seul Dieu, en qui la qualité et la substance s’identifient
Chapitre XI. Si les anges prévaricateurs ont participé à la béatitude dont les anges fidèles ont joui sans interruption depuis qu’ils ont été créés ?
Chapitre XII. Comparaison de la félicité des justes sur la Terre et de celle de nos premiers parents avant le péché
Chapitre XIII. Tous les anges ont été créés dans un même état de félicité, de telle sorte que ceux qui devaient déchoir ignoraient leur chute future, et que les bons n’ont eu la prescience de leur persévérance qu’après la chute des mauvais
Chapitre XIV. Explication de cette parole de l’Évangile : « le diable n’est point demeuré dans la vérité, parce que la vérité n’est point en lui »
Chapitre XV. Comment il faut entendre cette parole : « le diable pèche dès le commencement »
Chapitre XVI. Des degrés et des différences qui sont entre les créatures, selon qu’on envisage leur utilité relative ou l’ordre absolu de la raison
Chapitre XVII. La malice n’est pas dans la nature, mais contre la nature, et elle a pour principe, non le créateur, mais la volonté
Chapitre XVIII. De la beauté de l’univers qui, par l’art de la Providence, tire une splendeur nouvelle de l’opposition des contraires
Chapitre XIX. Ce qu’il faut entendre par ces paroles de l’Écriture : « Dieu sépara la lumière des ténèbres »
Chapitre XX. Explication de ce passage : « et Dieu vit que la lumière était bonne »
Chapitre XXI. De la science éternelle et immuable de Dieu et de sa volonté, par qui toutes ses œuvres lui ont toujours plu, avant d’être créées, telles qu’il les a créées en effet
Chapitre XXII. De ceux qui trouvent plusieurs choses à reprendre dans cet univers, ouvrage excellent d’un excellent créateur, et qui croient à l’existence d’une mauvaise nature
Chapitre XXIII. De l’erreur reprochée à la doctrine d’Origène
Chapitre XXIV. De la Trinité divine, qui a répandu en toutes ses œuvres des traces de sa présence
Chapitre XXV. De la division de la philosophie en trois parties
Chapitre XXVI. L’image de la Trinité est en quelque sorte empreinte dans l’homme, avant même qu’il ne soit devenu bienheureux
Chapitre XXVII. De l’être et de la science, et de l’amour de l’un et de l’autre
Chapitre XXVIII. Si nous devons aimer l’amour même par lequel nous aimons notre être et notre connaissance, pour mieux ressembler à la Trinité
Chapitre XXIX. De la science des anges qui ont connu la Trinité dans l’essence même de Dieu et les causes des œuvres divines dans l’art du divin ouvrier
Chapitre XXX. De la perfection du nombre senaire, qui, le premier de tous les nombres, se compose de ses parties
Chapitre XXXI. Du septième jour, qui est celui où Dieu se repose après l’accomplissement de ses ouvrages
Chapitre XXXII. De ceux qui croient que la Création des anges a précédé celle du monde
Chapitre XXXIII. On peut entendre par la lumière et les ténèbres les deux sociétés contraires des bons et des mauvais anges
Chapitre XXXIV. De ceux qui croient que par les eaux que sépara le firmament il faut entendre les anges, et de quelques autres qui pensent que les eaux n’ont point été créées
Livre douzième
Chapitre premier La nature des anges, bons et mauvais, est une
Chapitre II. Aucune essence n’est contraire à Dieu, tout ce qui n’est pas différant absolument de celui qui est souverainement et toujours
Chapitre III. Les ennemis de Dieu ne le sont point par leur nature, mais par leur volonté
Chapitre IV. Les natures privées de raison et de vie, considérées dans leur genre et à leur place, n’altèrent point la beauté de l’univers
Chapitre V. Toute nature de toute espèce et de tout mode honore le Créateur
Chapitre VI. De la cause de la félicité des bons anges et de la misère des mauvais
Chapitre VII. Il ne faut point chercher de cause efficiente de la mauvaise volonté
Chapitre VIII. De l’amour déréglé par lequel la volonté se détache du bien immuable pour un bien muable
Chapitre IX. Si Dieu est l’auteur de la bonne volonté des anges aussi bien que de leur nature
Chapitre X. De la fausseté de l’histoire qui compte dans le passé plusieurs milliers d’années
Chapitre XI. De ceux qui, sans admettre l’éternité du monde actuel, supposent, soit des mondes innombrables, soit un seul monde qui meurt et renaît au bout d’une certaine révolution de siècles
Chapitre XII. Ce qu’il faut répondre à ceux qui demandent pourquoi l’homme n’a pas été créé plus tôt
Chapitre XIII. De la révolution régulière des siècles qui, suivant quelques philosophes, remet toutes choses dans le même ordre et le même état
Chapitre XIV. De la création du genre humain, laquelle a été opérée dans le temps, sans qu’il y ait eu en dieu une décision nouvelle, ni un changement de volonté
Chapitre XV. S’il faut croire que Dieu ayant toujours été Souverain et Seigneur comme il a toujours été Dieu, n’a jamais manqué de créatures pour adorer sa souveraineté, et en quel sens on peut dire que la créature a toujours été sans être coéternelle au créateur
Chapitre XVI. Comment on doit entendre que Dieu a promis à l’homme la vie éternelle avant les temps éternels
Chapitre XVII. De ce que la foi nous ordonne de croire touchant la volonté immuable de Dieu, contre les philosophes qui veulent que Dieu recommence éternellement ses ouvrages et reproduise les mêmes êtres dans un cercle qui revient toujours
Chapitre XVIII. Contre ceux qui disent que Dieu même ne saurait comprendre des choses infinies
Chapitre XIX. Sur les siècles des siècles
Chapitre XX. De l’impiété de ceux qui prétendent que les âmes, après avoir participé à la vraie et suprême béatitude, retourneront sur Terre dans un cercle éternel de misère et de félicité
Chapitre XXI. De la formation du premier homme et du genre humain renfermé en lui
Chapitre XXII. En même temps qu’il a prévu le péché du premier homme, Dieu a prévu aussi le grand nombre d’hommes pieux que sa grâce devait sauver
Chapitre XXIII. De la nature de l’âme humaine créée à l’image de Dieu
Chapitre XXIV. Les anges ne sauraient créer la moindre chose
Chapitre XXV. Dieu seul est le créateur de toutes choses
Chapitre XXVI. Sur cette opinion des platoniciens, que Dieu, après avoir créé les anges, leur a donné le soin de faire le corps humain
Chapitre XXVII. Toute la plénitude du genre humain était renfermée dans le premier homme, et Dieu y voyait d’avance toute la suite des élus et toute celle des réprouvés
Livre treizième
Chapitre premier De la chute du premier homme et de la mort qui en a été la suite
Chapitre II. De la mort de l’âme et de celle du corps
Chapitre III. Si la mort qui a suivi le péché des premiers hommes et s’est étendue à toute leur race est pour les justes eux-mêmes une peine du péché
Chapitre IV. Pourquoi ceux qui sont absous du péché par le baptême sont encore sujets à la mort, qui est la peine du péché
Chapitre V. Comme les méchants usent mal de la loi qui est bonne, ainsi les bons usent bien de la mort qui est mauvaise
Chapitre VI. Du mal de la mort qui rompt la société de l’âme et du corps
Chapitre VII. De la mort que souffrent pour Jésus-Christ ceux qui n’ont point reçu le baptême
Chapitre VIII. Les saints, en subissant la première mort pour la vérité, se sont affranchis de la seconde
Chapitre IX. Quel est l’instant précis de la mort ou de l’extinction du sentiment de la vie, et s’il le faut fixer au moment où l’on meurt, ou à celui où on est mort
Chapitre X. La vie des mortels est plutôt une mort qu’une vie
Chapitre XI. Si l’on peut dire qu’un homme est en même temps mort et vivant
Chapitre XII. De quelle mort Dieu entendait parler, quand il menaça de la mort les premiers hommes, s’ils contrevenaient à son commandement
Chapitre XIII. Quel fut le premier châtiment de la désobéissance de nos premiers parents
Chapitre XIV. L’homme créé innocent ne s’est perdu que par le mauvais usage de son libre arbitre
Chapitre XV. En devenant pécheur, Adam a plutôt abandonné Dieu que Dieu ne l’a abandonné, et cet abandon de Dieu a été la première mort de l’âme
Chapitre XVI. Contre les platoniciens, qui ne veulent pas que la séparation du corps et de l’âme soit une peine du péché
Chapitre XVII. Contre ceux qui ne veulent pas que des corps terrestres puissent devenir incorruptibles et éternels
Chapitre XVIII. Des corps terrestres que les philosophes prétendent ne pouvoir convenir aux êtres célestes par cette raison que tout ce qui est terrestre est appelé vers la Terre par la force naturelle de la pesanteur
Chapitre XIX. Contre le système de ceux qui prétendent que les premiers hommes seraient morts, quand même ils n’auraient point péché
Chapitre XX. Les corps des bienheureux ressuscités seront plus parfaits que n’étaient ceux des premiers hommes dans le paradis terrestre
Chapitre XXI. On peut donner un sens spirituel à ce que l’Écriture dit du paradis, pourvu que l’on conserve la vérité du récit historique
Chapitre XXII. Les corps des saints seront spirituels après la résurrection, mais d’une telle façon pourtant que la chair ne sera pas convertie en esprit
Chapitre XXIII. Ce qu’il faut entendre par le corps animal et par le corps spirituel, et ce que c’est que mourir en Adam et être vivifié en Jésus-Christ
Chapitre XXIV. Comment il faut entendre ce souffle de Dieu dont parle l’Écriture et qui donne à l’homme une âme vivante, et cet autre souffle que Jésus-Christ exhale en disant : recevez l’Esprit-Saint
Livre quatorzième
Chapitre premier La désobéissance du premier homme entraînerait tous ses enfants dans l’abîme éternel de la seconde mort, si la grâce de Dieu n’en sauvait plusieurs
Chapitre II. Ce qu’il faut entendre par vivre selon la chair
Chapitre III. La chair n’est pas cause de tous les péchés
Chapitre IV. Ce que c’est que vivre selon l’homme et que vivre selon Dieu
Chapitre V. L’opinion des platoniciens touchant la nature de l’âme et celle du corps est plus supportable que celle des manichéens ; toutefois nous la rejetons en ce point qu’elle fait venir du corps tous les désirs déréglés
Chapitre VI. Les mouvements de l’âme sont bons ou mauvais, selon que la volonté est bonne ou mauvaise
Chapitre VII. Les mots amour et dilection se prennent indifféremment en bonne et en mauvaise part dans les Saintes Lettres
Chapitre VIII. Des trois seuls mouvements que les stoïciens consentent à admettre dans l’âme du sage, à l’exclusion de la douleur ou de la tristesse, qu’ils croient incompatibles avec la vertu
Chapitre IX. Du bon usage que les gens de bien font des Passions
Chapitre X. Si les premiers hommes avant le péché étaient exempts de toute passion
Chapitre XI. De la chute du premier homme, en qui la nature a été créée bonne et ne peut être réparée que par son auteur
Chapitre XII. Grandeur du péché du premier homme
Chapitre XIII. Le péché d’Adam a été précédé d’une mauvaise volonté
Chapitre XIV. L’orgueil de la transgression dans le péché originel a été pire que la transgression elle-même
Chapitre XV. La peine du premier péché est très-juste
Chapitre XVI. Du danger du mal de la convoitise, à n’entendre ce mot que des mouvements impurs du corps
Chapitre XVII. Comment Adam et Ève connurent qu’ils étaient nus
Chapitre XVIII. De la honte qui accompagne, même dans le mariage, la génération des enfants
Chapitre XIX. Il est nécessaire d’opposer à l’activité de la colère et de la convoitise le frein de la sagesse
Chapitre XX. Contre l’infamie des cyniques
Chapitre XXI. La prévarication des premiers hommes n’a pas détruit la sainteté du commandement qui leur fut donné de croître et de multiplier
Chapitre XXII. De l’union conjugale instituée originairement par Dieu, qui l’a bénie
Chapitre XXIII. Comment on eût engendré des enfants dans le paradis sans aucun mouvement de concupiscence
Chapitre XXIV. Si les hommes fussent demeurés innocents dans le paradis, l’acte de la génération serait soumis à la volonté comme toutes nos autres actions
Chapitre XXV. On ne saurait être vraiment heureux en cette vie
Chapitre XXVI. Les hommes auraient rempli sans rougir, dans le paradis, l’office de la génération
Chapitre XXVII. Des hommes et des anges prévaricateurs, dont le péché ne trouble pas l’ordre de la divine providence
Chapitre XXVIII. Différence des deux cités
Livre quinzième
Chapitre premier De la séparation des hommes en deux sociétés, à partir des enfants d’Adam
Chapitre II. Des fils de la terre et des fils de promission
Chapitre III. De la stérilité de Sarra que Dieu féconda par sa grâce
Chapitre IV. De la paix et de la guerre dans la cité terrestre
Chapitre V. Du premier fondateur de la cité de la Terre, qui tua son frère ; en quoi il fut imité depuis par le fondateur de Rome
Chapitre VI. Des langueurs auxquelles sont sujets, en punition du péché, les citoyens mêmes de la cité de Dieu, et dont ils sont enfin délivrés par la Grâce
Chapitre VII. La parole de Dieu ne détourna point Caïn de tuer son frère
Chapitre VIII. Quelle raison porta Caïn à bâtir une ville dès le commencement du monde
Chapitre IX. Les hommes vivaient plus longtemps et étaient plus grands avant le déluge que depuis
Chapitre X. De la diversité qui se rencontre entre les livres hébreux et les septante quant au nombre des années des premiers hommes
Chapitre XI. Il faut, d’après l’âge de Mathusalem, qu’il ait encore vécu quatorze ans après le déluge
Chapitre XII. De l’opinion de ceux qui croient que les années des anciens n’étaient pas aussi longues que les nôtres
Chapitre XIII. Si, dans la supputation des années, il faut plutôt s’arrêter aux textes hébreux qu’à la traduction des septante
Chapitre XIV. Les années étaient autrefois aussi longues qu’à présent
Chapitre XV. S’il est présumable que les hommes du premier âge aient persévéré dans l’abstinence jusqu’à l’époque où l’on rapporte qu’ils ont eu des enfants
Chapitre XVI. Des mariages entre proches, permis autrefois à cause de la nécessité
Chapitre XVII. Des deux chefs de l’une et l’autre cité issus du même Père
Chapitre XVIII. Figure de Jésus-Christ et de son Église dans Adam, Seth et Énos
Chapitre XIX. Ce que figure le ravissement d’Énoch
Chapitre XX. Comment la postérité de Caïn est renfermée en huit générations, et pourquoi Noé appartient à la dixième depuis Adam
Chapitre XXI. L’écriture ne parle qu’en passant de la cité de la Terre, et seulement en vue de celle du Ciel
Chapitre XXII. Le mélange des enfants de Dieu avec les filles des hommes a causé le déluge qui a anéanti tout le genre humain, à l’exception de huit personnes
Chapitre XXIII. Les enfants de Dieu qui, suivant l’écriture, épousèrent les filles des hommes, dont naquirent les géants, étaient-ils des anges ?
Chapitre XXIV. Comment il faut entendre ce que Dieu dit à ceux qui devaient périr par le déluge : « ils ne vivront plus que cent vingt ans »
Chapitre XXV. La colère de Dieu ne trouble point son immuable tranquillité
Chapitre XXVI. Tout ce qui est dit de l’arche de Noé dans la genèse figure Jésus-Christ et l’Église
Chapitre XXVII. On ne doit pas plus donner les mains à ceux qui ne voient que de l’histoire dans ce que la genèse dit de l’arche de Noé et du déluge, et rejettent les allégories, qu’à ceux qui n’y voient que des allégories et rejettent l’histoire
Livre seizième
Chapitre premier Si, depuis Noé jusqu’à Abraham, il y a eu des hommes qui aient servi le vrai Dieu
Chapitre II. De ce qui a été figuré prophétiquement dans les enfants de Noé
Chapitre III. Généalogie des trois enfants de Noé
Chapitre IV. De Babylone et de la confusion des langues
Chapitre V. De la descente de Dieu pour confondre les langues
Chapitre VI. Comment il faut entendre que Dieu parle aux anges
Chapitre VII. Comment, depuis le déluge, toutes sortes de bêtes ont pu peupler les îles les plus éloignées
Chapitre VIII. Si les races d’hommes monstrueux dont parle l’histoire viennent d’Adam ou des fils de Noé
Chapitre IX. S’il y a des antipodes
Chapitre X. Généalogie de Sem, dans la race de qui le progrès de la cité de Dieu se dirige vers Abraham
Chapitre XI. La langue hébraïque, qui était celle dont tous les hommes se servaient d’abord, se conserva dans la postérité d’Héber, après la confusion des langues
Chapitre XII. Du progrès de la cité de Dieu, à partir d’Abraham
Chapitre XIII. Pourquoi l’Écriture ne parle point de Nachor, quand son père Tharé passa de Chaldée en Mésopotamie
Chapitre XIV. Des années de Tharé, qui mourut à Charra
Chapitre XV. Du temps de promission où Abraham sortit de Charra, d’après l’ordre de Dieu
Chapitre XVI. Des promesses que Dieu fit à Abraham
Chapitre XVII. Des trois monarchies qui florissaient du temps d’Abraham, et notamment de celle des Assyriens
Chapitre XVIII. De la seconde apparition de Dieu à Abraham, à qui il promit la terre de Chanaan pour lui et sa postérité
Chapitre XIX. De la pudicité de Sarra, que Dieu protège en Égypte, où Abraham la faisait passer, non pour sa femme, mais pour sa sœur
Chapitre XX. De la séparation d’Abraham et de Lot, qui eut lieu sans rompre leur union
Chapitre XXI. De la troisième apparition de Dieu à Abraham, où il lui réitère la promesse de la terre de Chanaan pour lui et ses descendants à perpétuité
Chapitre XXII. Abraham sauve Lot des mains des ennemis et est béni par Melchisédech
Chapitre XXIII. Dieu promet à Abraham que sa postérité sera aussi nombreuse que les étoiles, et la foi d’Abraham aux paroles de Dieu le justifie, quoique non circoncis
Chapitre XXIV. Ce que signifie le sacrifice que Dieu commanda à Abraham de lui offrir, quand ce patriarche le pria de lui donner quelque signe de l’accomplissement de sa promesse
Chapitre XXV. D’Agar, servante de Sarra, que Sarra donna pour concubine à son mari
Chapitre XXVI. Dieu promet à Abraham, déjà vieux, un fils de sa femme Sarra, qui était stérile ; il lui annonce qu’il sera le père des nations, et confirme sa promesse par la circoncision
Chapitre XXVII. De la réprobation portée contre tout enfant mâle qui n’avait point été circoncis le huitième jour, comme ayant violé l’alliance de Dieu
Chapitre XXVIII. Du changement de nom d’Abraham et de Sarra, lesquels n’étaient point en état, celle-ci à cause de sa stérilité, tous deux à cause de leur âge, d’avoir des enfants, quand ils eurent Isaac
Chapitre XXIX. Des trois anges qui apparurent à Abraham au chêne de mambré
Chapitre XXX. Destruction de Sodome ; délivrance de Lot ; convoitise infructueuse d’Abimélech pour Sarra
Chapitre XXXI. De la naissance d’Isaac, dont le nom exprime la joie éprouvée par ses parents
Chapitre XXXII. Obéissance et foi d’Abraham éprouvées par le sacrifice de son fils ; mort de Sarra
Chapitre XXXIII. Isaac épouse Rébecca, petite-fille de Nachor
Chapitre XXXIV. Ce qu’il faut entendre par le mariage d’Abraham avec Céthura, après la mort de Sarra
Chapitre XXXV. Des deux jumeaux qui se battaient dans le ventre de Rébecca
Chapitre XXXVI. Dieu bénit Isaac, en considération de son père Abraham
Chapitre XXXVII. Ce que figuraient par avance Ésaü et Jacob
Chapitre XXXVIII. Du voyage de Jacob en Mésopotamie pour s’y marier, de la vision qu’il eut en chemin, et des quatre femmes qu’il épousa, bien qu’il n’en demandât qu’une
Chapitre XXXIX. Pourquoi Jacob fut appelé Israël
Chapitre XL. Comment on doit entendre que Jacob entra, lui soixante-quinzième, en Égypte
Chapitre XLI. Bénédiction de Juda
Chapitre XLII. Bénédiction des deux fils de Joseph par Jacob
Chapitre XLIII. Des temps de Moïse, de Jésus Navé, des juges et des rois jusqu’à David
Livre dix-septième
Chapitre premier Du temps des prophètes
Chapitre II. Ce ne fut proprement que sous les rois, que la promesse de Dieu touchant la terre de Chanaan fut accomplie
Chapitre III. Les trois sortes de prophéties de l’Ancien Testament se rapportent tantôt à la Jérusalem terrestre, tantôt à la Jérusalem céleste, et tantôt à l’une et à l’autre
Chapitre IV. Figure du changement de l’empire et du sacerdoce d’Israël, et prophéties d’Anne, mère de Samuel, laquelle figurait l’Église
Chapitre V. Abolition du sacerdoce d’Aaron prédite à Héli
Chapitre VI. De l’éternité promise au sacerdoce et au royaume des Juifs, afin que, les voyant détruits, on reconnût que cette promesse concernait un autre royaume et un autre sacerdoce dont ceux-là étaient la figure
Chapitre VII. De la division du royaume d’Israël prédite par Samuel à Saül, et de ce qu’elle figurait
Chapitre VIII. Les promesses de Dieu à David touchant Salomon ne peuvent s’entendre que de Jésus-Christ
Chapitre IX. De la prophétie du psaume quatre-vingt-huitième, laquelle est semblable à celle de Nathan dans le second livre des rois
Chapitre X. La raison de la différence qui se rencontre entre ce qui s’est passé dans le royaume de la Jérusalem terrestre et les promesses de Dieu, c’est de faire voir que ces promesses regardaient un autre royaume et un plus grand roi
Chapitre XI. De la substance du peuple de Dieu, laquelle se trouve en Jésus-Christ fait homme, seul capable de délivrer son âme de l’enfer
Chapitre XII. Comment il faut entendre ces paroles du psaume quatre-vingt-huitième : « où sont, Seigneur, les anciennes miséricordes, etc. »
Chapitre XIII. La paix promise à David par Nathan n’est point celle du règne de Salomon
Chapitre XIV. Des psaumes de David
Chapitre XV. S’il convient d’entrer ici dans l’explication des prophéties contenues dans les psaumes touchant Jésus-Christ et son Église
Chapitre XVI. Le psaume quarante-quatre est une prophétie, tantôt expressive et tantôt figurée, de Jésus-Christ et de son Église
Chapitre XVII. Du sacerdoce et de la Passion de Jésus-Christ prédits aux cent neuvième et vingt-unième psaumes
Chapitre XVIII. De la mort et de la résurrection du Sauveur prédites dans les psaumes trois, quarante, quinze et soixante-sept
Chapitre XIX. Le psaume soixante-huit montre l’obstination des Juifs dans leur infidélité
Chapitre XX. Du règne et des vertus de David, et des prophéties sur Jésus-Christ qui se trouvent dans les livres de Salomon
Chapitre XXI. Des rois de Juda et d’Israël après Salomon
Chapitre XXII. Idolâtrie de Jéroboam
Chapitre XXIII. De la captivité de Babylone et du retour des Juifs
Chapitre XXIV. Des derniers prophètes des Juifs
Livre dix-huitième
Chapitre premier Récapitulation de ce qui a été traité dans les livres précédents
Chapitre II. Quels ont été les rois de la cité de la Terre pendant que se développait la suite des saints depuis Abraham
Chapitre III. Sous quels rois des Assyriens et des Sicyoniens naquit Isaac, Abraham étant alors âgé de cent ans, et à quelle époque de ces mêmes empires Isaac, âgé de soixante ans, eut de Rébecca deux fils, Ésaü et Jacob
Chapitre IV. Des temps de Jacob et de son fils Joseph
Chapitre V. D’Apis, troisième roi des Argiens, dont les Égyptiens firent leur dieu Sérapis
Chapitre VI. Sous quels rois argiens et assyriens Jacob mourut en Égypte
Chapitre VII. Sous quels rois mourut Joseph en Égypte
Chapitre VIII. Des rois sous lesquels naquit Moïse, et des dieux dont le culte commença à s’introduire en ce même temps
Chapitre IX. Origine du nom de la ville d’Athènes, fondée ou rebâtie sous Cécrops
Chapitre X. Origine du nom de l’aréopage selon Varron, et déluge de Deucalion sous Cécrops
Chapitre XI. Sous quels rois arrivèrent la sortie d’Égypte dirigée par Moïse et la mort de Jésus Navé, son successeur
Chapitre XII. Du culte des faux dieux établi par les rois de la Grèce, depuis l’époque de la sortie d’Égypte jusqu’à la mort de Jésus Navé
Chapitre XIII. Des superstitions répandues parmi les gentils à l’époque des juges
Chapitre XIV. Des poëtes théologiens
Chapitre XV. Fin du royaume des Argiens et naissance de celui des Laurentins
Chapitre XVI. De Diomède et de ses compagnons, changés en oiseaux après la ruine de Troie
Chapitre XVII. Sentiment de Varron sur certaines métamorphoses
Chapitre XVIII. Ce qu’il faut croire des métamorphoses
Chapitre XIX. Énée est venu en Italie au temps où Labdon était juge des Hébreux
Chapitre XX. Succession des rois des Juifs après le temps des juges
Chapitre XXI. Des rois du Latium, dont le premier et le douzième, c’est-à-dire Énée et Aventinus, furent mis au rang des dieux
Chapitre XXII. Fondation de Rome à l’époque ou l’empire d’Assyrie prit fin et où Ézéchias était roi de Juda
Chapitre XXIII. De la sibylle d’Érythra, bien connue entre toutes les autres sibylles pour avoir fait les prophéties les plus claires touchant Jésus-Christ
Chapitre XXIV. Les sept sages ont fleuri sous le règne de Romulus, dans le temps où les dix tribus d’Israël furent menées captives en Chaldée
Chapitre XXV. Des philosophes qui se sont signalés sous le règne de Sédéchias, roi des Juifs, et de Tarquin l’ancien, roi des Romains, au temps de la prise de Jérusalem et de la ruine du Temple
Chapitre XXVI. Fin de la captivité de Babylone et du règne des rois de Rome
Chapitre XXVII. Des prophètes qui s’élevèrent parmi les Juifs au commencement de l’empire Romain
Chapitre XXVIII. Vocation des gentils prédite par Osée et par Amos
Chapitre XXIX. Prophéties d’Isaïe touchant Jésus-Christ et son Église
Chapitre XXX. Prophéties de Michée, Jonas et Joel qui regardent Jésus-Christ
Chapitre XXXI. Salut du monde par Jésus-Christ prédit par Abdias, Nahum et Habacuc
Chapitre XXXII. Prophéties du cantique d’Habacuc
Chapitre XXXIII. Prophéties de Jérémie et de Sophonias touchant Jésus-Christ et la vocation des Gentils
Chapitre XXXIV. Prédictions de Daniel et d’Ézéchiel sur le même sujet
Chapitre XXXV. Prédictions d’Aggée, de Zacharie et de Malachie touchant Jésus-Christ
Chapitre XXXVI. D’Esdras et des livres des Macchabées
Chapitre XXXVII. Nos prophètes sont plus anciens que les philosophes
Chapitre XXXVIII. Pourquoi l’Église rejette les Écrits de quelques prophètes
Chapitre XXXIX. La langue hébraïque a toujours eu des caractères
Chapitre XL. Folie et vanité des Égyptiens, qui font leur science ancienne de cent mille ans
Chapitre XLI. Les écrivains canoniques sont autant d’accord entre eux que les philosophes le sont peu
Chapitre XLII. Par quel conseil de la divine Providence l’Ancien Testament a été traduit de l’hébreu en grec pour être connu des Gentils
Chapitre XLIII. Prééminence de la version des Septante sur toutes les autres
Chapitre XLIV. Conformité de la version des Septante et de l’hébreu
Chapitre XLV. Décadence des Juifs depuis la captivité de Babylone
Chapitre XLVI. Naissance du sauveur et dispersion des juifs par toute la terre
Chapitre XLVII. Si, avant l’incarnation de Jésus-Christ, d’autres que les Juifs ont appartenu à la Jérusalem céleste
Chapitre XLVIII. La prophétie d’Aggée touchant la seconde maison de Dieu, qui doit être plus illustre que la première, ne doit pas s’entendre du temple de Jérusalem, mais de l’Église
Chapitre XLIX. Les élus et les réprouvés sont mêlés ensemble ici-bas
Chapitre L. De la prédication de l’Évangile, devenue plus éclatante et plus efficace par la passion de ceux qui l’annonçaient
Chapitre LI. Les hérétiques sont utiles à l’Église
Chapitre LII. S’il n’y aura point de persécution contre l’Église jusqu’à l’Antechrist
Chapitre LIII. On ne sait point quand la dernière persécution du monde arrivera
Chapitre LIV. De ce mensonge des païens, que le christianisme ne devait durer que trois cent soixante-cinq ans
Livre dix-neuvième
Chapitre premier Il peut y avoir, selon varron, deux cent quatre-vingt-huit systèmes philosophiques touchant le souverain bien
Chapitre II. Comment Varron réduit toutes ces sectes à trois, parmi lesquelles il faut choisir la bonne
Chapitre III. Quel est, entre les trois systèmes sur le souverain bien, celui qu’il faut préférer, selon Varron, qui se déclare disciple d’Antiochus et de l’ancienne Académie
Chapitre IV. Ce que pensent les Chrétiens sur le souverain bien, contre les philosophes qui ont cru le trouver en eux-mêmes
Chapitre V. De la vie sociale et des maux qui la traversent, toute désirable qu’elle soit en elle-même
Chapitre VI. De l’erreur des jugements humains, quand la vérité est cachée
Chapitre VII. De la diversité des langues qui rompt la société des hommes, et de la misère des guerres, même les plus justes
Chapitre VIII. Il ne peut y avoir pleine sécurité, même dans l’amitié des honnêtes gens, à cause des dangers dont la vie humaine est toujours menacée
Chapitre IX. Nous ne pouvons être assurés en cette vie de l’amitié des saints anges, à cause de la fourberie des démons, qui ont su prendre dans leurs piéges les adorateurs des faux dieux
Chapitre X. Quelle récompense est préparée aux saints qui ont surmonté les tentations de cette vie
Chapitre XI. Du bonheur de la paix éternelle, fin suprême et véritable perfection des saints
Chapitre XII. Que les agitations des hommes et la guerre elle-même tendent à la paix, terme nécessaire où aspirent tous les êtres
Chapitre XIII. La paix universelle, fondée sur les lois de la nature, ne peut être détruite par les plus violentes passions, le juge équitable et souverain faisant parvenir chacun à la condition qu’il a méritée
Chapitre XIV. De l’ordre à la fois divin et terrestre qui fait que les maîtres de la société humaine en sont aussi les serviteurs
Chapitre XV. La première cause de la servitude, c’est le péché, et l’homme, naturellement libre, devient, par sa mauvaise volonté, esclave de ses passions, alors même qu’il n’est pas dans l’esclavage d’autrui
Chapitre XVI. De la juste damnation
Chapitre XVII. D’où viennent la paix et la discorde entre la cité du ciel et celle de la terre
Chapitre XVIII. Combien la foi inébranlable du chrétien diffère des incertitudes de la nouvelle académie
Chapitre XIX. De la vie et des mœurs du peuple chrétien
Chapitre XX. Les membres de la cité de Dieu ne sont heureux ici-bas qu’en espérance
Chapitre XXI. D’après les définitions admises dans la « république » de Cicéron, il n’y a jamais eu de république parmi les Romains
Chapitre XXII. Le Dieu des Chrétiens est le vrai Dieu et le seul à qui l’on doive sacrifier
Chapitre XXIII. Des oracles que Porphyre rapporte touchant Jésus-Christ
Chapitre XXIV. Suivant quelle définition l’empire romain, ainsi que les autres états, peuvent s’attribuer justement les noms de peuple et de république
Chapitre XXV. Il n’y a point de vraies vertus où il n’y a point de vraie religion
Chapitre XXVI. Le peuple de Dieu, en son pèlerinage ici-bas, fait servir la paix du peuple séparé de Dieu aux intérêts de la piété
Chapitre XXVII. La paix des serviteurs de Dieu ne saurait être parfaite en cette vie mortelle
Chapitre XXVIII. De la fin des méchants
Livre vingtième
Chapitre premier On ne traitera proprement dans ce livre que du jugement dernier, bien que Dieu juge en tout temps
Chapitre II. Du spectacle des choses humaines, où l’on ne peut nier que les jugements de Dieu ne se fassent sentir, bien qu’ils se dérobent souvent à nos regards
Chapitre III. Du sentiment de Salomon, dans le livre de l’Ecclésiaste, sur les choses qui sont communes aux bons et aux méchants
Chapitre IV. Il convient, pour traiter du jugement dernier, de produire d’abord les passages du Nouveau Testament, puis ceux de l’Ancien
Chapitre V. Paroles du divin Sauveur qui annoncent qu’il y aura un jugement de Dieu à la fin des temps
Chapitre VI. De la première résurrection et de la seconde
Chapitre VII. Ce qu’il faut entendre raisonnablement par les deux résurrections et par le règne de mille ans dont saint Jean parle dans son Apocalypse
Chapitre VIII. Du diable enchaîné et délié de ses chaînes
Chapitre IX. En quoi consiste le règne des saints avec Jésus-Christ, pendant mille ans, et en quoi il diffère du règne éternel
Chapitre X. Ce qu’il faut répondre à ceux qui pensent que la résurrection regarde seulement les corps, et non les âmes
Chapitre XI. De Gog et de Magog que le diable, délié à l’approche de la fin des siècles, suscitera contre l’Église
Chapitre XII. Si le feu que saint Jean vit descendre du ciel et dévorer les impies doit s’entendre du dernier supplice
Chapitre XIII. Si le temps de la persécution de l’Antechrist doit être compris dans les mille ans
Chapitre XIV. De la damnation du diable et des siens, et récapitulation de ce qui a été dit sur la résurrection des corps et le jugement dernier
Chapitre XV. Des morts que vomit la mer pour le jugement, et de ceux que la mort et l’enfer rendirent
Chapitre XVI. Du nouveau ciel et de la nouvelle terre
Chapitre XVII. De la glorification éternelle de l’Église, à la fin du monde
Chapitre XVIII. Ce qu’annonce saint Pierre touchant le jugement dernier
Chapitre XIX. De l’épître de saint Paul aux habitants de Thessalonique sur l’apparition de l’Antechrist, après lequel viendra le jour du Seigneur
Chapitre XX. Ce que saint Paul a enseigné sur la résurrection des morts dans sa première épître aux habitants de Thessalonique
Chapitre XXI. Preuves de la résurrection des morts et du jugement dernier, tirées du prophète Isaïe
Chapitre XXII. Comment il faut entendre que les bons sortiront pour voir le supplice des méchants
Chapitre XXIII. Prophétie de Daniel sur la persécution de l’Antechrist, sur le jugement dernier et sur le règne des saints
Chapitre XXIV. Prophéties tirées des psaumes de David sur la fin du monde et sur le dernier jugement de Dieu
Chapitre XXV. Prophétie de Malachie annonçant le dernier jugement de Dieu et la purification de quelques-uns par les peines du purgatoire
Chapitre XXVI. Des sacrifices que les saints offriront à Dieu, et qui lui seront agréables, comme aux anciens jours, dans les premières années du monde
Chapitre XXVII. De la séparation des bons et des méchants au jour du jugement dernier
Chapitre XXVIII. Il faut interpréter spirituellement la loi de Moïse pour prévenir les murmures damnables des âmes charnelles
Chapitre XXIX. De la venue d’Élie avant le jugement, pour dévoiler le sens caché des Écritures et convertir les juifs à Jésus-Christ
Chapitre XXX. Malgré l’obscurité de quelques passages de l’ancien testament, où la personne du Christ ne paraît pas en toute évidence, il faut, quand il est dit que Dieu viendra juger, entendre cela de Jésus-Christ
Livre vingt et unième
Chapitre premier L’ordre de la discussion veut que l’on traite du supplice éternel des damnés avant de parler de l’éternelle félicité des saints
Chapitre II. Si des corps peuvent vivre éternellement dans le feu
Chapitre III. La souffrance corporelle n’aboutit pas nécessairement à la dissolution des corps
Chapitre IV. Exemples tirés de la nature
Chapitre V. Il y a beaucoup de choses dont nous ne pouvons rendre raison et qui n’en sont pas moins très-certaines
Chapitre VI. Tous les miracles qu’on cite ne sont pas des faits naturels, mais la plupart sont des imaginations de l’homme ou des artifices des démons
Chapitre VII. La toute-puissance de Dieu est la raison suprême qui doit faire croire aux miracles
Chapitre VIII. Ce n’est point une chose contre nature que la connaissance approfondie d’un objet fasse découvrir en lui des propriétés opposées à celles qu’on y avait aperçues auparavant
Chapitre IX. De la Géhenne de feu et de la nature des peines éternelles
Chapitre X. Comment le feu de l’enfer, si c’est un feu corporel, pourra brûler les malins esprits, c’est-à-dire les démons qui n’ont point de corps
Chapitre XI. S’il y aurait justice à ce que la durée des peines ne fût pas plus longue que la vie des pécheurs
Chapitre XII. De la grandeur du premier péché, qui exigeait une peine éternelle pour tous les hommes, abstraction faite de la grâce du sauveur
Chapitre XIII. Contre ceux qui croient que les méchants, après la mort, ne seront punis que de peines purifiantes
Chapitre XIV. Des peines temporelles de cette vie, qui sont une suite de l’humaine condition
Chapitre XV. La grâce de Dieu, qui nous fait revenir de la profondeur de notre ancienne misère, est un acheminement au siècle futur
Chapitre XVI. Des lois de grâce qui s’étendent sur toutes les époques de la vie des hommes régénérés
Chapitre XVII. De ceux qui pensent que nul homme n’aura à subir des peines éternelles
Chapitre XVIII. De ceux qui croient qu’aucun homme ne sera damné au dernier jugement, à cause de l’intercession des saints
Chapitre XIX. De ceux qui promettent l’impunité de tous leurs péchés, même aux hérétiques, à cause de leur participation au corps de Jésus-Christ
Chapitre XX. De ceux qui promettent l’indulgence de Dieu, non à tous les pécheurs, mais à ceux qui se sont faits catholiques, dans quelques crimes et dans quelques erreurs qu’ils soient tombés par la suite
Chapitre XXI. De ceux qui croient au salut des Catholiques qui auront persévéré dans leur foi, bien qu’ils aient très-mal vécu et mérité par là le feu de l’enfer
Chapitre XXII. De ceux qui pensent que les fautes rachetées par des aumônes ne seront pas comptées au jour du jugement
Chapitre XXIII. Contre ceux qui prétendent que ni les supplices du diable, ni ceux des hommes pervers ne seront éternels
Chapitre XXIV. Contre ceux qui pensent qu’au jour du jugement Dieu pardonnera à tous les méchants sur l’intercession des saints
Chapitre XXV. Si ceux d’entre les hérétiques qui ont été baptisés, et qui sont devenus mauvais par la suite en vivant dans le désordre, et ceux qui, régénérés par la foi catholique, ont passé ensuite à l’hérésie et au schisme, et enfin ceux qui, sans renier la foi catholique, ont persisté dans le désordre, si tous ceux-là pourront échapper au supplice éternel par l’effet des sacrements
Chapitre XXVI. Ce qu’il faut entendre par ces paroles : être sauvé comme par le feu et avoir Jésus-Christ pour fondement
Chapitre XXVII. Contre ceux qui croient qu’ils ne seront pas damnés, quoiqu’ayant persévéré dans le péché, parce qu’ils ont pratiqué l’aumône
Livre vingt-deuxième
Chapitre premier De la condition des anges et des hommes
Chapitre II. De l’éternelle et immuable volonté de Dieu
Chapitre III. De la promesse d’une béatitude éternelle pour les saints et d’un supplice éternel pour les impies
Chapitre IV. Contre les sages du monde qui pensent que les corps terrestres des hommes ne pourront être transportés dans le ciel
Chapitre V. De la résurrection des corps, que certains esprits ne veulent pas admettre, bien que proclamée par le monde entier
Chapitre VI. Rome a fait un Dieu de Romulus, parce qu’elle aimait en lui son fondateur ; au lieu que l’Église a aimé Jésus-Christ, parce qu’elle l’a cru Dieu
Chapitre VII. Si le monde a cru en Jésus-Christ, c’est l’ouvrage d’une vertu divine, et non d’une persuasion humaine
Chapitre VIII. Des miracles qui ont été faits pour que le monde crût en Jésus-Christ et qui n’ont pas cessé depuis qu’il y croit
Chapitre IX. Tous les miracles opérés par les martyrs au nom de Jésus-Christ sont autant de témoignages de la foi qu’ils ont eue en Jésus-Christ
Chapitre X. Combien sont plus dignes d’être honorés les martyrs qui opèrent de tels miracles pour que l’on adore Dieu, que les démons qui ne font certains prodiges que pour se faire eux-mêmes adorer comme des dieux
Chapitre XI. Contre les platoniciens qui prétendent prouver, par le poids des éléments, qu’un corps terrestre ne peut demeurer dans le ciel
Chapitre XII. Contre les calomnies et les railleries des infidèles au sujet de la résurrection des corps
Chapitre XIII. Si les enfants avortés, étant compris au nombre des morts, ne le seront pas au nombre des ressuscités
Chapitre XIV. Si les enfants ressusciteront avec le même corps qu’ils avaient à l’âge où ils sont morts
Chapitre XV. Si la taille de Jésus-Christ sera le modèle de la taille de tous les hommes, lors de la résurrection
Chapitre XVI. Comment il faut entendre que les saints seront rendus conformes à l’image du fils de Dieu
Chapitre XVII. Si les femmes, en ressuscitant, garderont leur sexe
Chapitre XVIII. De l’homme parfait, c’est-à-dire de Jésus-Christ, et de son corps, c’est-à-dire de l’Église, qui en est la plénitude
Chapitre XIX. Tous les défauts corporels, qui, pendant cette vie, sont contraires à la beauté de l’homme, disparaîtront à la résurrection, la substance naturelle du corps terrestre devant seule subsister, mais avec d’autres proportions d’une justesse accomplie
Chapitre XX. Au jour de la résurrection, la substance de notre corps, de quelque manière qu’elle ait été dissipée, sera réunie intégralement
Chapitre XXI. Du corps spirituel en qui sera renouvelée et transformée la chair des bienheureux
Chapitre XXII. Des misères et des maux de cette vie, qui sont des peines du péché du premier homme, et dont on ne peut être délivré que par la grâce de Jésus-Christ
Chapitre XXIII. Des misères de cette vie qui sont propres aux bons indépendamment de celles qui leur sont communes avec les méchants
Chapitre XXIV. Des biens dont le créateur a rempli cette vie, toute exposée qu’elle soit à la damnation
Chapitre XXV. De l’obstination de quelques incrédules qui ne veulent pas croire à la résurrection de la chair, admise aujourd’hui, selon les prédictions des livres saints, par le monde entier
Chapitre XXVI. Opinion de porphyre sur le souverain bien
Chapitre XXVII. Des opinions contraires de Platon et de Porphyre, lesquelles les eussent conduits à la vérité, si chacun d’eux avait voulu céder quelque chose à l’autre
Chapitre XXVIII. Comment Platon, Labéon et même Varron auraient pu voir la vérité de la résurrection de la chair, s’ils avaient réuni leurs opinions en une seule
Chapitre XXIX. De la nature de la vision par laquelle les saints connaîtront Dieu dans la vie future
Chapitre XXX. De l’éternelle félicité de la cité de Dieu et du sabbat éternel
Index général
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