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Couverture
Titre
Note des éditeurs
À l’occasion du centième anniversaire de la naissance de Jean Arthur Rimbaud
L’œuvre de Josef Weinheber
Soleils noirs et humeur joyeuse Petit tour des expositions salzbourgeoises
Salzbourg : Kokoschka et Manzù
Salzbourg attend une pièce de théâtre
Un mot aux jeunes écrivains
Des poètes s’expriment sur Georg Trakl
Nouvelles têtes Thomas Bernhard
Théâtre au Tonhof
= POURQUOI SEULEMENT DEUX GIFLES ?…
Le froid augmente avec la clarté
Oraison politique du matin
L’immortalité est impossible
Le passé est inexploré
Merci de ne pas trop vous fatiguer…
Monsieur le ministre, Mesdames et Messieurs…
Sur les traces de la vérité et de la mort
Rien n’a changé en Autriche
Ne jamais en finir de rien
Grand Hôtel Impérial Dubrovnik…
Un télégramme de Bernhard à Kaut
Depuis Lisbonne…
Hier à Augsbourg : Bernhard rend visite à l’Augsburger Allgemeine Zeitung L’auteur controversé du « cloaque au bord du Lech » se prête à l’interrogatoire par notre rédactrice Thea Lethmair
Thomas Bernhard : « Je n’ai pas besoin du Festival » Une fin de non-recevoir adressée au directeur du festival de Salzbourg
« On ne crée rien à partir de crème Chantilly »
Bernhard Minetti
Thomas Bernhard s’exprime
Le métier d’écrivain aujourd’hui La comédie des vanités
« Un type affreux et destructeur »
L’expérience lisboète de Thomas Bernhard
Demain, Salzbourg !
Le théâtre n’est-il plus ce qu’il était ? Une contribution à la disette
Les récipiendaires du prix de littérature de Brême répondent à trois questions
Chère assistance…
au sujet de chasse aux sorcières à la souabe…
À l’occasion de la fête nationale autrichienne 1977 Ce que l’Autriche ne devrait pas lire Les petits-bourgeois sur l’échelle de l’hypocrisie
Tout cela n’est au fond qu’une plaisanterie
Je remplis le vide avec des phrases
Chère Annelore Lucan-Stood…
La forêt est grande, l’obscurité aussi
Thomas Bernhard : une lettre à Die Zeit
Chère Zeit…
À monsieur le président…
Cher Peymann, grand vizir des cages de scène…
À propos de ma démission
Sur le papier, je pourrais tuer quelqu’un
Cher monsieur Ruiss…
Le salonnard socialiste à la retraite
Cher monsieur Ruiss, je n’ai pas de secrets…
Grandiloquence
Des membres du parti socialiste autrichien…
Manie de la persécution ?
Moi et mon travail…
Tous les êtres sont des monstres à partir du moment où vous soulevez leur carapace
De toute façon j’ai pratiquement tout le monde contre moi
Interdiction
Le plaidoyer de Bernhard Dans le cadre du procès à Vienne concernant Des arbres à abattre
Je ne suis pas un auteur à scandale
Alors qu’on revient à l’instant d’un voyage à l’étranger…
Vranitzky. Une réplique
Réponse
« D’une stèle funéraire à l’autre » Les débuts littéraires de Thomas Bernhard
Cher monsieur Temnitschka…
Voici ma contribution pour juguler l’inflation de professeurs en Autriche…
Ceux qui veulent mener une conversation sont déjà suspects à mes yeux
Cher Claus Peymann…
D’une catastrophe à l’autre
… uniquement en tant que chef de pupitre des basses, toutefois Une lettre de Thomas Bernhard à la Süddeutsche Zeitung , concernant sa carrière de chanteur
Bernhard contre Europalia Pas de représentations du Faiseur de théâtre à Bruxelles ?
Monsieur le ministre fédéral…
Mon Heureuse Autriche Protestation contre le Tartuffe de monsieur Peymann — courrier d’un lecteur en colère
Un tramway est un trésor
Appendice
Copyright
Présentation
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