Chapitre 45 Identification des Tableaux Pathologiques Selon les Quatre Couches

L’identification des tableaux pathologiques selon les Quatre Couches nous vient de Ye Tian Shi dans son ouvrage « Étude des maladies de type Chaleur » (Wen Bing Lun, 1746).1 L’identification des tableaux pathologiques selon les Quatre Couches est, en pratique clinique, l’outil le plus utile pour interpréter les pathologies et élaborer le traitement des maladies infectieuses provenant d’une invasion de Vent-Chaleur.

Comme nous l’avons vu dans le chapitre 44, l’identification des tableaux pathologiques selon les Six Niveaux élaborée par Zhang Zhong Jing dans son « Traité sur les maladies dues au Froid » (Shang Han Lun, environ 200)2 a dominé la réflexion sur la pathologie et le traitement des pathologies d’origine externe pendant 14 siècles. Alors que, au cours de ces siècles, de nombreux patients souffraient clairement d’une invasion de Vent-Chaleur et que certaines voix discordantes se faisaient entendre sous les dynasties des Song et des Ming, il a fallu attendre la fin de la dynastie des Ming et le début de la dynastie des Qing pour que soit énoncée une théorie complète sur les maladies dues au Vent-Chaleur externe.

Plus précisément, certains médecins ont élaboré la théorie des « Maladies de type Chaleur » (Wen Bing) en tant que catégorie pathologique nouvelle et distincte, différente de celle des maladies dues au Vent externe, qui tombaient sous la coupe des maladies du Shang Han, c’est-à-dire les maladies dues à une invasion de Vent et de Froid. Comme nous l’avons dit dans le chapitre précédent, même les Maladies de type Chaleur étaient vues comme une transformation du Froid pathogène. Les médecins qui ont contribué à l’élaboration de cette théorie sont connus collectivement sous le nom de « l’École des maladies de type Chaleur ». Les trois principaux représentants en sont Wu You Ke (1582-1652), auteur des « Discussions sur les maladies épidémiques de type Chaleur » (Wen Yi Lun), Ye Tian Shi (1677-1746), auteur du « Traité sur les maladies de type Chaleur » (Wen Bing Lun) et Wu Ju Tong (1758-1836), auteur de « Différenciation systématique des maladies de type Chaleur » (Wen Bing Tiao Bian).3,4 Ye Tian Shi a énoncé la théorie des Quatre Couches alors que Wu Ju Tong a énoncé la théorie des Trois Réchauffeurs.

Incidemment, c’est Wu Ju Tong qui a élaboré cette préparation très utilisée au stade initial de l’invasion de Vent-Chaleur, qu’est la Poudre de chèvrefeuille et de forsythia (Yin Qiao San).

THÉORIE DES MALADIES DE TYPE CHALEUR

Nature des maladies de type Chaleur

La théorie des Maladies de type Chaleur représente un nouveau départ, important et révolutionnaire, de la médecine chinoise. Les Maladies de type Chaleur sont, par nature, provoquées par un Vent-Chaleur externe, mais elles possèdent des caractéristiques spécifiques que l’on peut résumer ainsi :

Les deuxième et troisième caractéristiques étaient particulièrement importantes et nouvelles dans la médecine chinoise. Jusqu’à l’apparition de l’École des Maladies de type Chaleur, on pensait que les facteurs pathogènes externes pénétraient dans le corps par la peau, d’où l’idée qu’il fallait faire transpirer le patient au stade initial de la maladie. D’après l’École des Maladies de type Chaleur, les facteurs pathogènes pénètrent par le nez et la bouche. Il s’agit-là d’une vision très profonde qui concorde avec celle de la médecine occidentale, car les bactéries et les virus qui engendrent des Maladies de type Chaleur pénètrent par les muqueuses du nez et de la bouche.

Plus importante encore est la découverte des maladies infectieuses en tant que telles. Ce concept, formulé avant l’introduction de la médecine occidentale en Chine, était révolutionnaire car auparavant, on pensait que les facteurs responsables des invasions étaient à rechercher dans le déséquilibre relatif entre le facteur pathogène externe et le Qi du corps. Bien que ce déséquilibre joue toujours un rôle dans l’apparition des Maladies de type Chaleur, l’École des Maladies de type Chaleur reconnaît que certains facteurs pathogènes externes responsables des Maladies de type Chaleur peuvent effectivement être très forts et très « virulents »,pour utiliser une expression de médecine occidentale, et que bon nombre de personnes vont y succomber, même si leur Qi est relativement fort. De plus, les médecins de l’École des Maladies de type Chaleur ont perçu la nature parfois épidémique de certaines de ces pathologies et ont clairement vu que, à l’occasion, des villages entiers ou des zones entières pouvaient êtres décimés par une épidémie de maladie infectieuse.

Les Quatre Couches

L’interprétation des manifestations cliniques des Maladies de type Chaleur selon les Quatre Couches a été énoncée par Ye Tian Shi. Il s’agit d’une théorie brillante qui fournit des outils cliniques extrêmement utiles au diagnostic, à l’interprétation et au traitement des maladies engendrées par le Vent-Chaleur externe, ainsi que de leurs complications, qu’il s’agisse ou non de Maladies de type Chaleur. La théorie des Quatre Couches est, au niveau clinique, plus pertinente que celle des Six Niveaux. Par exemple, une des conséquences les plus fréquentes de l’invasion de Vent-Chaleur est la transformation du Vent-Chaleur externe en Glaires-Chaleur dans le Poumon qui engendrent une infection pulmonaire ; cette situation est exposée dans la théorie des Quatre Couches (elle correspond à la Chaleur du Poumon dans la couche du Qi), mais non dans la théorie des Six Niveaux.

La couche du Qi envisage le tableau de Chaleur-Humidité dans l’Estomac et la Rate comme conséquence d’une invasion de Vent-Chaleur ; c’est une réalité clinique très courante qui, là encore, n’est pas évoquée dans la théorie des Six Niveaux.

La couche du Sang comprend les tableaux qui se caractérisent par des convulsions dues à l’évolution du Vent interne et qui sont caractéristiques des complications, chez les enfants, de certaines maladies comme la méningite. Ces tableaux ne sont pas non plus évoqués dans la théorie des Six Niveaux.

Les Quatre Couches sont la couche du Qi protecteur, la couche du Qi, la couche du Qi Nourricier et la couche du Sang (Wei, Qi, Ying, Xue ).

La première des Quatre Couches est la seule qui concerne l’Extérieur et elle se caractérise par la présence d’un Vent-Chaleur externe dans la couche énergétique superficielle du corps. Les trois autres couches sont toutes internes et se caractérisent par une Chaleur interne. Toutefois, c’est l’identification des trois degrés de profondeur de pénétration de la Chaleur pathogène interne qui fait que cette théorie est brillante (Fig. 45.1). Chacun de ces niveaux a sa propre pathologie et son propre traitement.

Avant de donner la liste des manifestations cliniques de chaque tableau pathologique, je vais présenter les Quatre Couches de façon générale.

Couche du Qi (Qi)

La couche du Qi est interne, c’est-à-dire que le facteur pathogène a pénétré à l’Intérieur et qu’il s’est aussi transformé en Chaleur. Toutefois, c’est la couche du Qi qui est la plus superficielle des trois couches internes. On dit, à propos de la couche du Qi « Personne ne meurt au niveau de la couche du Qi », ce qui signifie que, dans le contexte des maladies fébriles aiguës, et contrairement aux pathologies situées dans les couches du Qi Nourricier et du Sang, les pathologies situées dans la couche du Qi ne mettent jamais la vie de la personne en danger.

La couche du Qi se caractérise par une Chaleur-Plénitude avec, comme symptômes, de la fièvre, de la soif, une sensation de chaleur, une agitation mentale, une langue Rouge avec un enduit jaune et épais et un pouls Rapide et Plein. Ce ne sont-là que les symptômes généraux car les autres manifestations cliniques dépendent du tableau impliqué parmi les cinq possibles, à savoir : la Chaleur du Poumon (Chaleur dans la poitrine et le diaphragme), la Chaleur de l’Estomac, la Chaleur-Sécheresse des Intestins, la Chaleur de la Vésicule Biliaire et la Chaleur-Humidité dans l’Estomac et la Rate.

Le tableau 45.1 compare la couche du Qi Protecteur et la couche du Qi.

Avec la couche du Qi, on a en fait deux types de Chaleur, l’une que l’on appelle « Chaleur », et l’autre que l’on appelle « Feu ». Le tableau de Chaleur-Sécheresse dans les Intestins se caractérise par du Feu, alors que les quatre autres tableaux se caractérisent par de la Chaleur. Le Feu est de même nature que la Chaleur, mais il s’en distingue par les caractéristiques suivantes :

Le tableau de Chaleur de l’Estomac représente la présence de la Chaleur dans l’Estomac (et il correspond au tableau de méridien Yang Ming dans le cadre de l’identification des tableaux pathologiques selon les Six Niveaux), alors que le tableau de Chaleur-Sécheresse des Intestins représente la présence du Feu (et il correspond au tableau d’organe Yang Ming).

Le tableau 45.2 compare la Chaleur et le Feu dans le cadre de la couche du Qi.

Tableau 45.2 Comparaison entre la Chaleur et le Feu dans la couche du Qi

  Chaleur de l’estomac (Chaleur) Chaleur-Sécheresse des Intestins (Feu)
Manifestations communes Fièvre, sensation de chaleur, soif, langue Rouge avec un enduit jaune, pouls Rapide
Différences Transpirations profuses, pouls Vaste, enduit lingual pas trop sec Constipation, plénitude et douleur abdominales, agitation mentale, bouche sèche, pouls Profond et Plein, enduit lingual sec et épais

Maladies de type Chaleur et maladies de la peau

Bon nombre de maladies de type Chaleur se traduisent par une éruption cutanée. La rougeole, la rubéole et la varicelle sont des exemples de maladies exanthémateuses (c’est-à-dire qui se traduisent par une éruption cutanée). Il faut distinguer les vésicules, les papules et les macules (Tableau 45.5).

Les vésicules sont des petites cloques remplies d’un liquide clair et elles traduisent toujours la présence d’Humidité. Les papules sont des boutons rouges et solides ; elles traduisent généralement la présence de Chaleur dans la couche du Qi (et particulièrement dans le Poumon et l’Estomac). Les macules sont des taches situées sous la peau qui, contrairement aux vésicules et aux papules ne peuvent pas se sentir au toucher ; elles traduisent toujours une Chaleur dans la couche du Qi Nourricier ou dans la couche du Sang.

Les tableaux pathologiques liés aux Quatre Couches sont les suivants :

COUCHE DU QI PROTECTEUR (WEI)

Vent-Chaleur

Traitement

Principe de traitement : libérer l’Extérieur, chasser le Vent-Chaleur, rétablir la diffusion et la descente du Qi du Poumon.

Préparations

Yin Qiao San Poudre de chèvrefeuille et de forsythia.

Le tableau 45.6 compare les manifestations du Vent-Froid (Six Niveaux) et du Vent-Chaleur (Quatre Couches).
Le cadre 45.1 résume le Vent-Chaleur.

Tableau 45.6 Comparaison de l’invasion de Vent-Froid (Six Niveaux) et de l’invasion de Vent-Chaleur (Quatre Couches)

  Vent-Froid (Six Niveaux) Vent- Chaleur (Quatre Couches)
Pathologie Vent-Froid à l’Extérieur qui bloque
Qi Protecteur
Vent-Chaleur qui lèse le Qi Protecteur et altère la fonction de descente du
Qi du Poumon
Voie de pénétration À travers la peau Par la bouche et le nez
Fièvre Légère ou absente Plus forte
Frissons Intenses Légers
Courbatures Intenses Légères
Céphalée Occipitale Profonde et intense
Transpirations Pas de transpirations en cas de prédominance du Froid ; transpirations uniquement sur la partie supérieure du corps en cas de prédominance du Vent Transpirations légères
Soif Non Légère
Urines Claires Légèrement foncées
Langue Corps de couleur normale, enduit blanc et mince Rouge sur les bords ou à l’avant, enduit blanc et mince
Pouls Flottant et Serré Flottant et Rapide
Traitement Plantes chaudes et piquantes qui provoquent des transpirations Plantes fraîches et piquantes qui libèrent l’Extérieur

Chaleur de l’Été

Chaleur-Humidité

Chaleur-Sécheresse

LA COUCHE DU QI

Chaleur du Poumon (Chaleur dans la poitrine et le diaphragme)

Pathologie

Il s’agit d’une Chaleur interne dans la couche du Qi du Poumon. Comme dans tous les tableaux de la couche du Qi, on trouve de la fièvre, une sensation de chaleur, de la soif et des transpirations.

La descente du Qi du Poumon est altérée par la Chaleur, ce qui engendre de la toux et un souffle court.

Ce tableau peut s’accompagner de Glaires, auquel cas on a des expectorations de crachats jaunes, abondants et collants.

Chaleur de la Vésicule Biliaire

Chaleur-Humidité dans l’Estomac et la Rate

LA COUCHE DU QI NOURRICIER (YING)

Chaleur dans la couche du Qi Nourricier

Chaleur dans le Maître du Cœur

LA COUCHE DU SANG

La Chaleur victorieuse agite le Sang

La Chaleur victorieuse agite le Vent

Le Vent-Vide s’agite à l’Intérieur

Collapsus du Yang

LA CHALEUR LATENTE

Le concept de Chaleur latente est un très vieux concept en médecine chinoise. Il est mentionné pour la première fois dans le « Classique de médecine interne de l’Empereur Jaune ». La Chaleur Latente survient lorsqu’un facteur pathogène externe comme le Froid pénètre dans le corps sans provoquer de symptômes apparents à ce moment-là ; par contre, le facteur pathogène pénètre à l’Intérieur, y « incube » et se transforme en Chaleur interne. Cette Chaleur se manifeste plus tard sous forme de symptômes aigus de Chaleur. Lorsque celle-ci se manifeste, on l’appelle « Chaleur Latente ».

Le fait qu’un facteur pathogène envahisse le corps sans symptômes aigus s’explique généralement par un vide du Rein. C’est pourquoi l’apparition d’une Chaleur Latente traduit un vide du Rein préexistant qui provoque un affaiblissement des réponses immunitaires à l’invasion d’un facteur pathogène externe.

Les principales manifestations cliniques de l’émergence de la Chaleur latente sont les suivantes :

Les autres signes et symptômes varient en fonction du type de Chaleur Latente impliqué, comme on va le voir plus bas. Il faut noter que le fait que la Chaleur Latente « émerge » après une période d’incubation ne signifie pas qu’elle est « expulsée » par le corps, mais simplement qu’elle se déplace vers l’extérieur et qu’elle se manifeste.

La figure 45.2 illustre le concept de Chaleur Latente tel qu’il figure dans le « Classique de médecine interne de l’Empereur Jaune », et la figure 45.3 compare le mouvement du facteur pathogène lors d’une invasion de Vent-Chaleur avec le mouvement de ce même facteur en cas de Chaleur Latente. Les figures 45.4 à 45.6 illustrent les types de Chaleur Latente et les tableaux pathologiques qui en découlent.

Le tableau 45.7 compare les manifestations cliniques du Vent-Chaleur et de la Chaleur Latente.

Tableau 45.7 Comparaison entre le Vent-Chaleur et la Chaleur Latente

  Vent-Chaleur Chaleur Latente
Symptômes Crainte du froid, transpirations, fièvre Absence de crainte du froid (sauf en cas d’association avec une nouvelle infection)
Toux Toux Absence de toux
Pouls Flottant et Rapide Rapide, ou aussi en Corde ou Intermittent
Langue Enduit blanc et mince Rouge dès le début
Pathologie Facilités pour une transmission anormale au Maître du Cœur Facilités pour que le Yin se consume et que les liquides s’assèchent

La Chaleur Latente peut se manifester dans la couche du Qi ou dans la couche du Sang. On note trois principaux tableaux pathologiques, deux dans la couche du Qi et un dans la couche du Sang, à savoir :

Couche du Qi : tableau de type Shao Yang ; tableau de type Yang Ming

Couche du Sang : tableau de type Shao Yin.

RELATIONS ENTRE LES QUATRE COUCHES, LES SIX NIVEAUX ET LES TROIS RÉCHAUFFEURS

Bien que l’identification des tableaux pathologiques selon les Six Niveaux remonte à la dynastie des Han et celles selon les Quatre Couches et les Trois Réchauffeurs à la dynastie des Qing, il existe de nombreux points communs entre ces trois méthodes. Tout d’abord, toutes trois décrivent les symptômes d’une invasion de Vent externe lorsque celui-ci est à l’Extérieur, au stade initial, et lorsqu’il est à l’Intérieur, à des stades plus avancés.

Le niveau Tai Yang des Six Niveaux est semblable à la couche du Qi Protecteur dans le cadre des Quatre Couches car ils traitent tous deux des invasions de Vent externe : le premier de Vent-Froid, le second de Vent-Chaleur.

Le « tableau de méridien Yang Ming » du niveau Yang Ming des Six Niveaux est presque identique aux « tableaux de Chaleur dans le Yang Ming » des Trois Réchauffeurs et au « tableau de Chaleur-Sécheresse dans l’Estomac » des Quatre Couches, et le « tableau d’organe Yang Ming » est identique au « tableau de Chaleur-Sécheresse dans les Intestins » des Quatre Couches. En fait, on peut prescrire les mêmes préparations phytothérapiques. Le niveau Shao Yang des Six Niveaux est presque le même que celui de Chaleur dans la Vésicule Biliaire dans la couche du Qi, le premier se caractérisant par la prédominance du Froid et le second par celle de la Chaleur.

L’identification des tableaux pathologiques selon les Trois Réchauffeurs est fort semblable à celle selon les Quatre Couches.

De nombreux tableaux pathologiques sont fondamentalement les mêmes que ceux des Quatre Couches, sauf qu’ils sont vus en fonction des Trois Réchauffeurs, (c’est-à-dire, tableaux pathologiques du Réchauffeur Supérieur, du Réchauffeur Moyen et du Réchauffeur Inférieur). Les tableaux pathologiques du Réchauffeur Moyen correspondent à la couche du Qi et ceux du Réchauffeur Inférieur correspondent à la couche du Qi Nourricier et à la couche du Sang. Par contre, les tableaux pathologiques du Réchauffeur Supérieur englobent les couches du Qi Protecteur, du Qi et du Qi Nourricier.

D’autres correspondances entre ces trois méthodes d’identification des tableaux pathologiques sont illustrées par une série de figures (Fig. 45.7 à 45.9).

Ce Que Vous Avez Appris

Dans ce chapitre, vous avez vu :

1. Collège de médecine traditionnelle chinoise de Nanjing 1978 Étude sur les maladies de type Chaleur (Wen Bing Xue image), Shanghai Science Publishing House, Shanghai. Ye Tian Shi a écrit l’Étude sur les maladies de type Chaleur en 1746.

2. Collège de médecine traditionnelle chinoise de Nanjing Groupe de recherche sur le Shan Han Lun 1980 Une explication du traité sur les maladies dues au Froid (Shang Han Lun Shi image), Shanghai Science Publishing House, Shanghai, première publication aux environs de 220.

3. Groupe de recherche sur la médecine chinoise de la province du Zhejiang 1985 Traité sur les maladies épidémiques de type Chaleur avec notes et commentaires (Wen Yi Lun Ping Zhu image), People’s Health Publishing House, Beijing. Le Traité sur les maladies épidémiques de type Chaleur a été écrit par Wu You Ke en 1642.

4. Wang Zhen Kun 1995 Nouvelle explication de la différenciation systématique des Maladies de type Chaleur (Wen Bing Tiao Bian Xin Jie image), Xue Yuan Publishing House, Beijing. Le Traité sur la différenciation systématique des Maladies de type Chaleur a été écrit par Wu Ju Tong en 1798.