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DU MÊME AUTEUR
Table des matières
CHAPITRE PREMIER Le pavé, le bordel, l’errance (1915-1930)
Une mère, vraie chanteuse, et moins « indigne » qu’on ne l’a dit
Un père qui roule sa bosse loin d’Édith et des tranchées
Dans la maison close de Bernay, cinq années d’enfance à huis clos
La légende d’une cécité d’Édith guérie par miracle
Sur la route ; l’émergence de « Miss Édith, phénomène vocal »
Un divorce et une ribambelle de « belles-mères »
CHAPITRE 2 La rue, l’ivresse, le deuil (1930-1935)
Une voix s’élève dans les cours des miracles…
Un bébé sur les bras et un « colonial » dans le cœur
Avec Momone, quatre cents coups et mille folies
« Cécelle », l’unique enfant, meurt à vingt-neuf mois
Le quotidien rugueux de la chanteuse des rues
CHAPITRE 3 Le miracle, le baptême, le soupçon (1935-1936)
Au Gerny’s, naissance de la Môme Piaf
La voix de la Môme s’envole sur Radio-Cité
Une formidable veine comique trop vite négligée
Un premier disque à vingt ans et un petit tour au cinéma
Du cirque Médrano à la rude découverte du « grand monde »
L’assassinat de « papa » Leplée : une ténébreuse affaire
Le commissaire Guillaume mène l’enquête
CHAPITRE 4 Le confident, le pygmalion, le succès (1936-1937)
Le Front populaire efface l’affront public
Mon amant de la Coloniale et Mon légionnaire, sujets d’une guéguerre
Entre « Piafou » et « Jacquot », le début d’une correspondance prodigieuse
Une jeune mangeuse d’hommes
Avec Raymond Asso, l’ex-chanteuse des rues devient une artiste
Raymond Asso façonne un répertoire et décroche l’abc
CHAPITRE 5 L’amie, la guerre, le poète (1937-1940)
Adieu la Môme, bonjour Édith Piaf !
Le « phénomène » Piaf enfin pris au sérieux par la critique
« La Terre n’est remplie que de saletés comme moi »
Marguerite Monnot, « la Guite », devient la collaboratrice et l’amie d’Édith
Asso, l’ancien spahi, repart sous les armes et perd sa protégée
Un certain Paul Meurisse en bel indifférent
Michel Émer émerveille Piaf avec son Accordéoniste
Jean Cocteau entre en scène et y propulse Piaf
CHAPITRE 6 L’Occupation, le Midi, le lupanar (1940-1942)
Paris occupé, Piaf dans la « béatitude »
La vraie naissance d’une parolière
Actrice de cinéma et chanteuse de blues dans Montmartre-sur-Seine
Zone libre et nouvel amour
Sous le soleil de la Côte d’Azur non occupée
Un nouvel amant et parolier, Henri Contet, et un nouveau domicile
Chez Madame Billy, un lupanar sulfureux
CHAPITRE 7 La propagande, l’Allemagne, l’inquiétude (1943-1944)
Yvon, le brun, et Rirou, le blond. L’un chante, l’autre écrit
Il faut sauver le pianiste Norbert Glanzberg
Fuyez le réalisme, il revient au galop…
Une première tournée en Allemagne
Une entrevue avec « Nono » dans la zone Sud occupée
Les encombrants voisins de la rue Lauriston
L’amie d’Henri Lafont
Piaf enfin admise à la SACEM
Un rendez-vous manqué avec Goebbels
Édith et sa secrétaire trafiquantes de faux papiers ?
CHAPITRE 8 Les Compagnons, l’épuration, le Marseillais (1944-1945)
Décès de Louis Gassion, l’acrobate de « la vie en rosse »
Une vente aux enchères de bienfaisance avec Sacha Guitry
Avec la Libération, sonne l’heure de « l’épuration »
Une défense basée sur des faits souvent invérifiables
Yves Montand, le bel amour
Comment Piaf, la magicienne, métamorphose Montand
Deux étoiles au firmament de L’Étoile
CHAPITRE 9 L’overdose, l’imprésario, la relaxe (1945-1946)
Annetta, la mère d’Édith, meurt dans la misère
À Marseille, Montand prend sa revanche
Édith et Yves font du cinéma
Turbulences inédites dans la liaison Piaf-Montand
Trois nouveaux collaborateurs à vie
Les comptes indiscrets d’une gestionnaire fantaisiste
« Pas de sanction et félicitations », décrète le Comité d’épuration
« Partout où je passe je suis reçue comme une petite reine »
CHAPITRE 10 Les anciens, le nouveau, la mission (1946-1947)
Neuf garçons et « Trois cloches » au Club des Cinq
Jean Cocteau proclame : « Mme Édith Piaf a du génie »
Exit Yves Montand, inconsolable
La soirée des « hommes de Piaf » réunit Luc Barney, Yves Montand et les Compagnons
Escapade amoureuse au pied de l’Acropole
La Vie en rose illumine L’Étoile
Avec Bourgeat, deux sujets de contrariété
Un certain Charles Aznavour entre dans la valse
Triomphes, pique-niques et bière à gogo en Scandinavie
Un film sur mesure pour Piaf et les Compagnons : Neuf garçons et un cœur
CHAPITRE 11 La conquête, le boxeur, l’Américain (1947-1948)
À nous deux l’Amérique !
Dès le premier round, Piaf tombe k-o face à Cerdan
La légende Piaf exportée aux USA par un dossier de presse
Piaf et Cerdan, un couple de « légendes »
Le succès sonne toujours deux fois
Début d’une amitié « idyllique » avec Marlene Dietrich
La petite Piaf séduit un géant d’Hollywood : John Garfield
CHAPITRE 12 La clandestinité, le championnat, la méforme (1948-1949)
À Paris, Édith et Marcel cohabitent clandestinement
Neuf garçons, un cœur et un bide
Une entrevue avec la future reine Élisabeth II
Règlements de comptes musclés avec les journalistes
« Pourrons-nous continuer longtemps à cacher notre bonheur ? »
Deux clandestines dans le camp d’entraînement de Loch Sheldrake
Cerdan champion du monde !
Aznavour en rétention sur Ellis Island
Cerdan, accueilli à Paris comme un roi, rend Piaf jalouse
Momone séquestrée quatre jours pour avoir fait « chanter » Piaf et Cerdan
Momone dépose une plainte puis la retire…
La chanteuse et le boxeur en petite forme
CHAPITRE 13 Les doutes, la déception, la tragédie (1949)
« Mon gosse », « Oh ! Chérie », fragments d’une correspondance amoureuse
Comment l’incendiaire Mae West provoque une crise de jalousie
Édith écrit son Hymne à l’amour pour… Yvette Giraud
La Motta, « le taureau du Bronx », encorne Cerdan
Édith ose envisager l’avenir sans Marcel
« Je croyais que Marcel m’aimait par-dessus tout et je m’aperçois que je ne suis que sa maîtresse… »
« Si un jour la vie t’arrache à moi… »
CHAPITRE 14 Le spiritisme, l’intérimaire, le Yankee (1950-1951)
Retrouvailles avec le Chanteur sans nom
Une table tournante qui cause effrontément
Tony, l’amant oublié des mois d’avril et mai
Eddie Constantine, un Américain très tranquille, entre en scène
Charles et Eddie embarqués à New York
La P’tite Lili emballe Paris
Fin de l’idylle d’Édith et d’Eddie
CHAPITRE 15 La morphine, l’apollon, le mariage (1951-1952)
Deux accidents de voiture en trois semaines et des piqûres de morphine…
Sur la piste des amours de Piaf, Toto pousse Pousse
Parmi une brassée de nouvelles chansons, un tube : Padam… padam
Une perquisition policière chez Édith
« Je t’appartiens de tout moi, tu es ma vie ! »
Piaf prête à tout sacrifier : Loulou, Momone, Ginou, Avellis et Aznavour
Où Édith envisage de faire un enfant avec Toto
Avec Pills, Toto perd la face
CHAPITRE 16 La noce, le voyage, l’appartement (1952-1953)
Aznavour et Bécaud, une rencontre productive
À Manhattan, la mariée était en bleu
Hollywood nous voilà !
« Pépère » et « Mémère » de retour au (grand) bercail
Installation boulevard Lannes pour un bail de dix ans
Au Théâtre Marigny : un parterre de princesses, de comtesses et de ducs
Une première cure de désintoxication
CHAPITRE 17 La désintoxication, la spiritualité, la Californie (1953-1955)
Une deuxième cure de désintoxication et une admirable goualante
Une « Joie de vivre » surexcitée et une tournée de cirque
D’une clinique l’autre
Un premier tour à l’Olympia avec C’est à Hambourg
« Idiss » et Mr Peals en Californie
Piaf adhère au mouvement des Rose-Croix
Mr Dréjac et Dr Denis
Des noms d’oiseaux pour le Chanteur sans nom
Piaf plutôt alerte à Malibu
Une mission d’essence « divine » et une brève rencontre avec Grace Kelly
CHAPITRE 18 Le divorce, l’espagnol, le spiritisme (1956-1957)
Miracle au Carnegie Hall
Cuba, Mexico, Rio… et un nouvel homme, viva la vida !
Après quatorze mois d’absence, Piaf retrouve Paname
À l’Olympia, Piaf brise un verre pour Les Amants d’un jour
Baudelaire… Ah non ! C’est sacré !
Un divorce annoncé et une gifle impromptue
Au Carnegie Hall, le retour de l’oiseau-Phénix
En Amérique latine, une nouvelle passion ésotérique
Transportée par La Foule…
Pierre Brasseur et Michel Simon, deux copains d’exception et de beuveries
CHAPITRE 19 Les médicaments, l’alcool, la superstition (1957-1958)
Félix Marten mène la danse, Jacky Liébrard s’éclipse
Un nouvel Olympia au bord de la crise de nerfs
Comment Georges Moustaki détrône Félix Marten
Les prescriptions ahurissantes d’un docteur Diafoirus
Un avion privé pour un rapatriement « sanitaire » depuis Stockholm
Une « autobiographie » truffée d’inventions et de non-dits
Allez, venez, Milord…
À la grâce de Dieu…
CHAPITRE 20 Le tourbillon, le bouffon, le foie (1959-1960)
Au Waldorf Astoria, Piaf s’écroule sur scène
Moustaki prend le large sur le Liberté
« Je vous rapporte un Américain ! »
Doug craque, Édith aussi
La Tournée suicide
« Plus personne ne veut vivre avec moi ! »
Un nouveau « fou de la reine » : Claude Figus
Un nouveau disque et une hospitalisation de trois mois
CHAPITRE 21 La renaissance, le miracle, la rechute (1960-1961)
Je repars à zéro…
Marguerite Monnot délaissée au profit de Charles Dumont
Trois mois de triomphe qui sauvent l’Olympia
Opération, convalescence, rechute, nouvelle opération…
Un immense déballage où rivalisent l’invention, le grotesque et le sordide
CHAPITRE 22 Le coiffeur, la jeunesse, la provocation (1962-1963)
Et Théophanis vint…
« Mais toi, t’es le premier ! Avant toi, y avait rien »
Doug Davis reparaît et meurt en avion… comme Cerdan
« Pour une fois que je tombe amoureuse d’un garçon coiffeur »
De la tour Eiffel à l’Olympia, avec Théo
Un mariage orthodoxe aux allures de pied de nez
Piaf et Bardot, un lugubre dîner pour deux figures mythiques
L’aile de Piaf sur la cuisse de Johnny ?
À Bobino, l’adieu à Paris
À Lille, le dernier tour de chant
CHAPITRE 23 L’agonie, la mort, l’éternité (1963)
La sarabande des « parasites »
Claude Figus se suicide à Saint-Tropez, Édith ne le saura jamais
Du lit à la fenêtre, puis du lit au fauteuil…
Piaf valait bien une messe
Épilogue
Remerciements
Crédits photographiques
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