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Couverture
LE DORMEUR DU VAL
LE BATEAU IVRE
LES ETRENNES DES ORPHELINS
I. «La chambre est pleine d’ombre; on entend vaguement...»
II. «Or les petits enfants, sous le rideau flottant,..»
III. «Votre cœur l’a compris: — ces enfants sont sans mère...»
IV. «Ah! c’était si charmant, ces mots dits tant de fois!..»
V. «Maintenant, les petits sommeillent tristement:..»
SENSATION
SOLEIL ET CHAIR
I. «Le Soleil, le foyer de tendresse et de vie,..»
II. «Je crois en toi! je crois en toi! Divine mère,..»
III. «Si les temps revenaient, les temps qui sont venus!..»
IV. «ô splendeur de la chair! ô splendeur idéale!..»
OPHELIE
I. «Sur l’onde calme et noire où dorment les étoiles...»
II. «ô pâle Ophélia! belle comme la neige!..»
III. «— Et le Poète dit qu’aux rayons des étoiles...»
BAL DES PENDUS
LE CHATIMENT DE TARTUFE
LE FORGERON
A LA MUSIQUE
«Morts de Quatre-vingt-douze et de Quatre-vingt-treize,..»
VENUS ANADYOMENE
PREMIERE SOIREE
LES REPARTIES DE NINA
LES EFFARES
ROMAN
I. «On n’est pas sérieux, quand on a dix-sept ans...»
II. «— Voilà qu’on aperçoit un tout petit chiffon...»
III. «Le cœur fou Robinsonne à travers les romans,..»
LE MAL
REVE POUR L’HIVER
AU CABARET-VERT
LA MALINE
L’ECLATANTE VICTOIRE DE SARREBRUCK REMPORTEE AUX CRIS DE VIVE L’EMPEREUR!
LE BUFFET
MA BOHEME
LES CORBEAUX
LES ASSIS
TETE DE FAUNE
LES DOUANIERS
ORAISON DU SOIR
CHANT DE GUERRE PARISIEN
MES PETITES AMOUREUSES
ACCROUPISSEMENTS
LES POETES DE SEPT ANS
L’ORGIE PARISIENNE OU PARIS SE REPEUPLE
LE CŒUR DU PITRE
LES PAUVRES A L’EGLISE
LES MAINS DE JEANNE-MARIE
LES SŒURS DE CHARITE
VOYELLES
«L’étoile a pleuré rose au cœur de tes oreilles,..»
«Le Juste restait droit sur ses hanches solides:..»
CE QU’ON DIT AU POETE A PROPOS DE FLEURS
I. «Ainsi, toujours, vers l’azur noir...»
II. «ô Poètes, quand vous auriez...»
III. «blanc Chasseur qui cours sans bas...»
IV. «Dis, non les pampas printaniers...»
V. «Quelqu’un dira le grand Amour,..»
LES PREMIERES COMMUNIONS
I. «Vraiment, c’est bête, ces églises des villages...»
II. «Le Prêtre a distingué parmi les catéchistes,..»
III. «La veille du grand Jour l’enfant se fait malade...»
IV. «Puis la Vierge n’est plus que la vierge du livre...»
V. «À son réveil, — minuit, — la fenêtre était blanche...»
VI. «Elle passa sa nuit sainte dans les latrines...»
VII. «Qui dira ces langueurs et ces pitiés immondes,..»
VIII. «Et quand, ayant rentré tous ses nœuds d’hystéries,..»
IX. «Alors l’âme pourrie et l’âme désolée...»
LES CHERCHEUSES DE POUX
VERS NOUVEAUX
LARME
LA RIVIERE DE CASSIS
COMEDIE DE LA SOIF
1. LES PARENTS
2. L’ESPRIT
3. LES AMIS
4. LE PAUVRE SONGE
5. CONCLUSION
BONNE PENSEE DU MATIN
FETES DE LA PATIENCE
BANNIERES DE MAI
CHANSON DE LA PLUS HAUTE TOUR
L’ETERNITE
AGE D’OR
JEUNE MENAGE
BRUXELLES
FETES DE LA FAIM
MICHEL ET CHRISTINE
HONTE
MEMOIRE
I. «L’eau claire; comme le sel des larmes d’enfance,..»
II. «Eh! l’humide carreau tend ses bouillons limpides!..»
III. «Madame se tient trop debout dans la prairie...»
IV. «Regret des bras épais et jeunes d’herbe pure!..»
V. «Jouet de cet œil d’eau morne, je n’y puis prendre,..»
«ô saisons, à châteaux,..»
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