Notes

1. Ci-dessous, pp. 245-251.

2. The Problem of Loki, pp. 37-41.

3. The Problem of Loki, pp. 62-63.

4. W. Mohr, « Thor im Fluss », PBB 64 (1940), pp. 209-229, estime que l’anecdote de la traversée du fleuve, racontée sous deux formes, l’une noble, l’autre assez crue, était primitivement étrangère à l’expédition contre Geirrøđr et qu’aucun compagnon de Þórr n’y figurait. On ne peut qu’être sceptique devant ces hardis émiettements du récit mythique par les procédés de la critique littéraire.

5. N° 2 a, b. V. maintenant J. de Vries. Altgerm. Rel.-geschichte II2, pp. 256-257, qui maintient l’essentiel de sa position.

6. Ci-dessus, pp. 43-46.

7. The Problem of Loki, pp. 71-74.

8. « Qui avait conseillé de marier Freyja au Pays des Géants et de gâter l’air et le ciel au point d’enlever le soleil et la lune ? »

9. « Qui avait mélangé tout l’air de malheur et, à la race du géant, donné la jeune femme d’Óđr ? »

10. « Alors les divinités souveraines allèrent sur les chaires de décision, les très saints dieux, et voici ce qu’ils examinèrent... »

11. Même racine que dans l’allemand Leid, « souffrance » (et dans le français laid) ; on rapproche les mots grecs loi-mos, loi-gos, etc. Le vieux dictionnaire islandais de B. Haldorson (éd. par Rask, Copenhague, 1814), s. v. donne les deux sens : 1) fraus, vafrities  ; 2) periculum  ; læ´blandinn vaut « unheilvoll, verderblich ».

12. Cette réponse à l’objection se trouve formulée d’avance dans F. Jónsson, Völuspá (1911), p. 46 : gefa peut signifier, dit-il, « promettre de livrer ».

13. Énéide V, vv. 859 et 868 ; on a supposé, bien entendu, que le vaisseau avait un gouvernail de rechange.

14. N° 3 b.

15. N° 3 a.

16. The Problem of Loki, pp. 64-65.

17. N° 4.

18. N° 4 : st. 1, 2, 3, 6, 7, 10, 13, 17, 30, 31, 32 ; le vol du marteau, l’intention de Þórr sont constamment rappelés.

19. N° 6.

20. J. de Vries, The Problem of Loki, pp. 90-96, après F. Ohrt, « Hammerens lyde – Jærnets last » dans la Festskrift Finnur Jónsson (1928), pp. 294-298.

21. Dans The Problem of Loki. Pourquoi vouloir, à tout prix, ramener à l’unité (p. 38 et n. 2, p. 39) ou du moins à deux (p. 41) les trois dieux qui figurent dans l’histoire de Þjazi (no 1) ? Que dire de l’exégèse faite (pp. 91-92) de l’histoire des trésors des dieux (no 6) ? « Les cheveux de Sif » seraient une désignation poétique de la végétation (d’après Weinhold, 1849 !) ; celui qui « coupe » les cheveux de Sif ainsi compris ne peut être qu’une « divinité chthonienne » ; comme Loki n’est « chthonien » dans aucun autre mythe, c’est que « ... Loki originally has nothing to do with the myth of Sif’s hair, but has been introduced afterwards to achieve the combination with the contest of the dwarfs ».

22. Voir comment J. de Vries (op. cit.) discute : les combinaisons diverses fondées sur Lóđurr (Wisén, Noréen, Blankenstein-Olrik-Mogk, v. d. Leyen, etc. et surtout Grüner-Nielsen et A. Olrik), pp. 50-55 ; la seconde source hypothétique attribuée par E. Mogk à Snorri pour sa rédaction de l’histoire de Geirrøđr, p. 57 ; le schéma de C. W. von Sydow pour l’histoire du « Baumeister », pp. 66-76 ; l’interprétation de Völuspá 21-24 par van Hamel, p. 79, n. 3 ; les artificielles répartitions géographiques de Loki et de Þjálfi comme « valet du dieu du tonnerre » faites par Axel Olrik dans un article célèbre des DS (1905), pp. 115-120 ; l’artificiel classement, par le même Axel Olrik (Festskrift Feilberg) des modes d’action de Loki, pp. 142-144 (mais auquel J. de Vries substitue un classement aussi critiquable, pp. 145-150) ; les rapprochements acrobatiques entre l’histoire de Loki pris au filet et un runo magique finnois sur l’origine du feu, pp. 152-161 ; quelques excès de E.N. Satälä dans son rapprochement de Loki et de sa famille avec « Louhi und ihre Verwandten », pp. 190-193 ; l’étrange signalement que Finnur Jónsson a donné de Loki, pp. 201-202 ; les arguments par lesquels Olrik fait de Loki un ildvætte, pp. 204-210 ; les improvisations de L. von Schrœder (Mysterium und Mimus im Regveda, p. 219) sur Loki-Agni, p. 208, n. 1 ; la critique de quelques excès de la thèse « Loki-gobelin » de Celander, p. 223 (mais J. de Vries sous-estime le « folkloristic material », pp. 239-258). Cf. l’intrépide hypothèse Hoag-Cawley, PBB 63 (1939), pp. 457-464.

23. V. le dernier état de la pensée de J. de Vries dans Altgermanische Rel.-geschichte II2 (1957), p. 217-219.

24. Pour les discussions du XIXe siècle, bon exposé dans Fr. Kauffmann, Balder, Mythus und Sage (1902). Depuis, nombreux, très nombreux travaux, parmi lesquels – outre ceux de Mogk, de J. de Vries déjà mentionnés et le « Balder the Beautiful » de Frazer – je citerai seulement G. Neckel, Die Ueberlieferungen vom Gotte Balder dargestellt und vergleichend untersucht (1920) et F.R. Schröder, Germanentum und Hellenismus, Untersuchungen zur german, Religionsgeschichte (1924), chap. III et IV.

25. Novellistische Darstellung... (FFC, 51), pp. 12-15 ; Lokis Anteil... (FFC, 57). Après de saines critiques de la thèse générale de Mogk (Heimdalls Horn und Odins Auge, pp. 161-163), on est surpris de voir M. Ohlmarks adhérer, de façon brève et tranchante, p. 165, à l’un des arguments (a, 1) par lesquels Mogk élimine Loki de la forme « primitive » de la mort de Baldr.

26. Un manuscrit ajoute ici quatre vers (dont trois proviennent de la st. 11 des Baldrs draumar, v. ci-dessous, p. 131), ce qui donne deux strophes au lieu d’une (il s’agit du vengeur de Baldr, son frère Váli) : 33. « Il sortait de l’arbre, paraissant menu, dangereux javelot de douleur. (Le frère de Baldr était à peine né ; le fils d’Óđinn, âgé d’une nuit, entreprit de combattre. – 34. Il ne se lava pas les mains, il ne se prépara pas les cheveux avant qu’il eût porté sur le bûcher funéraire le meurtrier de Baldr.) Et Frigg pleura, etc. » Il s’agit incontestablement d’une interpolation sans valeur.

27. Ci-dessus, no 11 c.

28. Vers difficile ; mais il s’agit incontestablement de Loki.

29. N° 10 a.

30. N° 11 a, b.

31. « Vituđ enn eđa hvat ? »

32. On ne peut admettre la réflexion de J. de Vries, The Problem of Loki, p. 168 : « In fact here is no place at all for Loki, he is not mentioned either in the perpetration of the crime or in the revenge for this odious murder. To the mind of a heathen Scandinavian the act counterbalanced by the revenge was in itself complete. »

33. Cf. note 2, p. 133.

34. Il en est autrement dans la « Petite Völuspá » où le refrain, d’ailleurs fort élargi, marque bien des coupures (Hyndluljóđ, st. 33 = 36 = 41) ; mais la « Petite Völuspá » est un poème plus tardif.

35. « Höđr amène ici [= au monde des morts] le noble arbre de gloire [= héros] ; il sera le meurtrier de Baldr (hann mun Baldri at bana verđa) et privera de vie le fils d’Óđinn. »

36. Balder, p. 28.

37. N° 10, c, d. V. maintenant Balderus et Hotherus, appendice de mon livre DMAR2, 1983, pp. 159-172.

38. N° 8.

39. N° 3, début.

40. N° 10 d.

41. Cette remarque renforce ce qui a été dit p. 129.

42. N° 10 b.

43. V. no 10 a, fin.

44. The Problem of Loki, pp. 170-171.

45. « It is my fault that you do not see him riding towards the hall. »

46. Il est exact en revanche qu’il ne faut pas, comme Neckel et Schröder, tirer argument contre Mogk du verbe ráđa qui ne signifie pas ici « conseiller » ; ek því réđ, at… est à traduire très généralement : « Je suis cause que... » (v. J. de Vries, The Problem of Loki, p. 171, n. 1).

47. Même non aveugle, Höđr aurait aussi bien pu recevoir de Loki la branche de gui et s’en servir comme arme ou projectile de jeu, en la croyant inoffensive.

48. Aus dem Gebiet der Lehnbeziehungen, Louhi und ihre Verwandten, dans les FUF 12 (1912), pp. 210-264. M. Kuusi, « Arvoitukset ja muinaisusko », Viríttäjä 60 (1956), pp. 185-186, étudie des devinettes finnoises où survit peut-être, déformé, le nom de Loki (v. ci-dessous, note 7, p. 255).

49. Art. cit., p. 221 : Ruho nualia tekee / rampa jousta jännittä / ampuu perisokea.

Le mot peri-sokea, « tout-aveugle », rappelle à Setälä le nom d’un des deux frères de Loki, Helblindi, qu’il traduit aussi « tout-aveugle » (mais Hel est plutôt ici la déesse de l’autre monde, la mort, etc.).

50. Art. cit., p. 235.

51. Et pour laquelle il y a sans doute lieu de faire une réflexion analogue : il s’agit de la « bisexualité » et de Loki et d’Óđinn lui-même ; Frigg les invite à ne pas parler de ces choses (st. 25) ; cf. ci-dessous, p. 242.

52. Nos 1 a et 2 a.

53. N° 6.

54. The Problem of Loki, p. 176.

55. Les lèvres de Loki sont cousues par le nain Brokkr : ce ne peut être avant les événements de la Lokasenna, avant les sarcasmes, puisque, ce jour-là, Loki a les lèvres bien ouvertes. Mais ce ne peut être non plus après ces événements, car il n’y a plus de possibilité de rencontre des dieux et de Loki entre la fin de la Lokasenna et la capture de Loki pour son « grand » supplice. En réalité, il ne faut pas chercher dans tout cela de succession, de chronologie.

56. The Problem of Loki, pp. 164-166, 181-185.

57. Ci-dessous, pp. 224-226.

58. Pour mémoire, je rappelle aussi l’amusant paradoxe de Hermann Schneider, Die Götter der Germanen (1938), pp. 225-232 : le « vrai » Loki serait le dieu infernal ; le Loki farceur serait une invention, artificielle et concertée, des scaldes, « ein Geschöpf der Dichter ».

59. V. ci-dessus, no 10, p. 60 sq.

60. Toledôth Jeschu, dans Johann Andreæ Eisenmenger, Entdecktes Judentum, Königsberg (1700), pp. 179-180 ; cf. Konrad Hofmann, dans Germania, II, p. 48. C’est un pamphlet injurieux contre Jésus, à qui toutes sortes d’infamies sont attribuées. F. von der Leyen. Das Märchen in den Göttersagen der Edda, p. 24, a rappelé qu’on y trouve des « motifs de contes », naturellement.

61. Ce mensonge se trouve aussi, dit Eisenmenger, « in dem alten Nizzachon », p. 137.

62. Op. cit., p. 25.

63. Op. cit., pp. 25-26 : « So auffallend diese Aehnlichkeiten scheinen, ihnen stehen doch beträchtliche Unterschiede gegenüber, und sie bestehen nicht eigentlich für sich, sie ergeben sich um aus der Situation, das aber wie von selbst. Ein Zusammenhang zwischen der jüdischen Schmähschrift und dem nordischen Göttermärchen braucht aus ihnen nicht gefolgert zu werden. »

64. Matthieu, XXVII, 62-65.

65. Qu’il ne faut pas exagérer : dans les Toledôth Jeschu, Jésus n’a pas « oublié » le choi ; et il s’agit, dit W. Schwartz. Indogermanischer Volksglaube (1881), p. 267, d’un bon jeu rabbinique. Von der Leyen ramène aux mêmes proportions cette autre analogie qu’avait relevée Sophus Bugge : les pleurs de toute la nature (moins Loki) sur la mort de Baldr, et la plainte de l’univers sur la mort du Christ.

66. Sur le gui comme arme pour tuer Baldr, voir encore la discussion entre Arild Hvidtfeldt, « Mistilteinn og Baldrs død », Aarbøger for nord. Oldkyndighed og Historia, 1941, pp. 169-175, et M. Boberg. « Baldr og Mistilteinn », ibid., 1943, pp. 103-106.

67. Cf. B. Pering, Heimdall (1941), pp. 88-89.

68. V. no 11 b.

69. On ne voit pas en quoi la raison donnée à la st. 19 (« blood convenant » avec Óđinn) mérite d’être appelée « the poor pretext of the poet » (J. de Vries, The Problem of Loki, p. 173) : elle est bien suffisante.

70. Ainsi Byggvir.

71. « A highly amusing scene in the family of the gods (not unlikely similar ones on the venerable Olympus) », dit bien J. de Vries, The Problem of Loki, p. 175. Encore F. Ström, Loki, pp. 17-18. F.R. Schröder, « Das Symposion der Lokasenna », ANF 67 (1952), pp. 1-29, admettant que le poème est une œuvre tardive du XIIe siècle, va jusqu’à penser que l’auteur a connu et imité des exemples antiques d’assemblées divines comme celles de Sénèque, de Julien, de Lucien.

72. En ce sens, une juste remarque dans F.R. Schröder, « Das Symposion... Loki », ANF 67 (1952), p. 10.

73. Ci-dessous, pp. 153-156.

74. Pamj. 2 (1927) [v. l’explication de ce sigle p. 159], pp. 42-52 no 17, Uadzæftana fille d’Adaken. Cette jeune fille repousse tous les prétendants : à Uryzmæg, elle reproche d’être vieux et de « ne plus tenir ses mâchoires » ; à Xæmyc, que ses dents se fendent ; à Soslan, qu’il est faux et ne tient pas parole ; à Ajsar, qu’il est efféminé et sans renom ; à Batradz, qu’il se change l’hiver en renard et mange les petits enfants ; à Šauaj, que sa mère est une ogresse. Seul Acamaz trouve grâce à ses yeux. – Cf. Pamj. 1 (1925), no 13, « La querelle des Nartes pour l’Amongæ » : Uryzmæg, Soslan, Sosryko prétendent successivement à la possession de la Coupe magique ; mais chaque fois le héros Batradz remet l’imprudent à sa place en lui rappelant une circonstance ridicule ou honteuse de sa vie : à Uryzmæg, il rappelle qu’il a été enlevé en pleine assemblée des Nartes par un vautour qui l’a posé dans la mer ; à Soslan, que, un jour qu’il servait de pont à l’armée des Nartes, il a fléchi sous le poids des chevaux ; à Sozryko, qu’il a cligné des yeux quand la Roue Magique lui a frappé le front.

75. V. mes Mythes et dieux des Germains (1939), p. 126 ; cf. les sages réflexions de I. Lindquist, Svensk Uppslagsbok, art. Nordisk mytologi, résumées par B. Pering, Heimdall (1941), p. 33. On fera des réflexions analogues sur l’esprit des Hárbarđsljóđ où Þórr et Óđinn échangent des souvenirs et allusions injurieux.

76. Des arguments de critique littéraire pourraient au contraire recommander une datation tardive, mais la démonstration de E. Norren, à laquelle on se réfère volontiers (« Några anteckningar om ljøttaháttr », UUĀ 1915 ; Denr norsk-isländska Poesien, 1926, pp. 69-70), est plus abondante que probante. En particulier, la dépendance par rapport aux Skírnismál, considérés comme un des plus récents poèmes de l’Edda, n’est pas assurée.

77. The Problem of Loki, p. 176 : « If we place ourselves on the standpoint of the poem (without the prose-frame), we only see the flyting scene of Loki ; it supposes all kind of wicked deeds committed by the different gods. But it does not consider them in any chronological order ; it does not show us Loki on a particular point of his carreer, when he has committed a serie of crimes and revenge is awaiting him. If we accept such a chronological order, we are again under the impression of Snorri’s systematisation. Then we suppose that for a poet the different myths about the gods are linked together by their mutual relation. This is not necessary ; it is even very improbable. » Tout cela est excellent, sauf le coup d’épingle à Snorri : dans les lignes suivantes, J. de Vries montre justement que Snorri n’a pas tellement systématisé (à propos de l’épisode de Brokkr, qu’il est seul à raconter, et qui ne se laisse accorder chronologiquement à aucune version du meurtre de Baldr ni du supplice de Loki, v. ci-dessus, note 5, p. 137).

78. Dans les Danske Studier, 1913 ; traduction allemande de W. Ranisch, Ragnarök, die Sagen vom Weltuntergang, 1922. Axel Olrik est mort en 1917.

79. « Weltuntergangsvorstellungen, eine Studie zur vergleichenden Religions-geschichte », Kyrkohistorisk Årsskrift, 24 (1920), pp. 129-212. Reitzenstein s’est proposé d’améliorer Olrik. Je ne pense pas qu’il ait apporté d’argument décisif.

80. Tel est le sens de ragna-rök (Völuspá, 44 ; Baldrs draumar, 14 ; Vafþrúdnismál, 55, etc.). Plus tard, l’expression a été changée en ragna rœkr, « les ténèbres des dieux » (Lokasenna, 39), que les Français ont rendu dès le XVIIIe siècle par « Crépuscule des dieux » et Simrock par « Götterdämmerung ». Rök (neutre pluriel) veut dire, entre autres choses, « sort » et a même radical que regin, rögn, nom collectif des dieux en tant que souverains ; rœkr (masculin) est apparenté au grec erebos, au sanscrit rajas, « ténèbres », à l’arménien erek, « soir ». Cf. Maurice Cahen, Le Mot « dieu » en vieux-scandinave (1921), p. 21.

81. N° 11 a.

82. Le Serpent du Miđgarđr, p. ex., peut être le monstre Léviathan.

83. V. ci-dessus, no 13 a) ; cf. J. de Vries, The Problem of Loki, pp. 198-260.

84. Op. cit., p. 199 : « Loki could never have adopted the character of Satan, if he had not been predisposed to it. »

85. Folke Ström, Loki, pp. 6-7, se scandalise de ce refus. Son livre, fondé sur une « histoire du développement » de la religion scandinave entièrement artificielle, supposant des émanations d’hypostases de toutes sortes, ne me fait pas changer d’avis. La conception de Loki a dû varier, certes, comme toute représentation humaine, mais sans se métamorphoser.