Notes

1. « Haïr et éviter ceux qui cherchent un héritage. »

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1. Procureur en chancellerie.

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1. « Telle fut l'origine des honneurs et du caractère divin attribués au poète », Horace, Art poétique, v. 400, dans Œuvres, trad. François Richard, GF-Flammarion, 1967, p. 269.

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1. « La religion est soumise [à son tour], piétinée », Lucrèce, De la nature, I, v. 79, trad. José Kany-Turpin, GF-Flammarion, 1997, p. 57.

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2. « La raison, voilà le principe et la source de l'art d'écrire :/ Tu trouveras les idées dans la philosophie de Socrate », Horace, Art poétique, v. 309-310, dans Œuvres, op. cit., p. 267.

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3. « L'intellect […] fertilisé par le fleuve du Bien-Dire », Pétrone, Satyricon, chap. CXVIII, trad. Laurent Tailhade, GF-Flammarion, 1981, p. 214.

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4. « La fin est première dans l'intention. »

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5. « Bouche faite pour les chants sublimes », Horace, Satires, I, 4, v. 43, dans Œuvres, op. cit., p. 158.

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6. « Les mots n'auront pas de peine à suivre », Horace, Art poétique, v. 311, dans Œuvres, op. cit., p. 267.

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7. « La race irritable des poètes », Horace, Épîtres, II, 2, v. 102, dans Œuvres, op. cit., p. 253.

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8. « D'un doigt qui sait mal retenir », Horace, Odes, I, 9, v. 20, ibid., p. 55.

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9. « La bouche arrondie », c'est-à-dire, en latin, avec « une élocution parfaite », Horace, Art poétique, v. 323, dans Œuvres, op. cit., p. 267.

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1. Petite maison de campagne que Thomas Sheridan (1719-1788) avait prêtée à Swift, qui a écrit aussi des vers comiques sur Quilca. (NdT.)

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1. « Guerre et femelle ».

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1. Dublin. (NdT.)

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2. Ceux qui ont une chaumière à eux. (NdT.)

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3. Cette anecdote est empruntée à la Description de l'île Formose, par ce très extraordinaire imposteur George Psalmanazar, qui passa pendant quelque temps pour un natif de cette lointaine contrée. Il publia plus tard une rétractation de ses mensonges, avec beaucoup de témoignages de contrition, mais où perçait une rancune fort naturelle contre ceux qui l'avaient démasqué. Voici la traduction du passage auquel il est fait allusion dans le texte : « Nous mangeons aussi la chair humaine, ce qui, j'en suis convaincu maintenant, est une coutume barbare, quoique nous ne la pratiquions que sur nos ennemis déclarés, tués ou pris sur le champ de bataille, ou bien sur les malfaiteurs légalement exécutés. La chair de ceux-ci est notre plus grande friandise, et quatre fois plus chère que la viande la plus rare et la plus délicieuse. Nous l'achetons de l'exécuteur, car les corps de tous les condamnés à la peine capitale sont ses profits. Aussitôt que le criminel est mort, il coupe son corps en morceaux, en exprime le sang et fait de sa maison un étal pour la chair d'homme et de femme, où viennent acheter tous ceux qui en ont le moyen. Je me souviens qu'il y a une dizaine d'années, une grande, fraîche, jolie et grasse jeune fille d'environ dix-neuf ans, dame d'atours de la reine, fut reconnue coupable de haute trahison, pour avoir voulu empoisonner le roi ; en conséquence, elle fut condamnée à subir la plus cruelle mort qu'on pourrait inventer, et sa sentence fut d'être mise en croix et tenue vivante aussi longtemps que possible. La sentence fut mise à exécution ; lorsqu'elle s'évanouissait de douleur, le bourreau lui donnait des liqueurs fortes, etc., pour la ranimer. Le sixième jour elle mourut. Ses longues souffrances, sa jeunesse et sa bonne constitution rendirent sa chair si tendre, si délicieuse et d'un tel prix, que l'exécuteur la vendit pour plus de huit tailles, car il y avait une telle presse à ce marché inhumain, que des gens du grand monde s'estimaient heureux s'ils parvenaient à en acheter une ou deux livres. » Londres, 1705, p. 112. (NdT.)

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1. John Gadbury, tailleur de son métier, mais tailleur d'Oxford, publia longtemps un almanach, qui rivalisait de réputation avec celui de Partridge, lequel, étant un piètre cordonnier de Londres, ne pouvait pas être supposé aussi savant. Mais il compensait cette infériorité par son effronterie ; et ce cordonnier et ce tailleur trouvèrent des partisans qui s'enrôlèrent dans leurs factions séparées, tandis qu'ils se contestaient l'un l'autre leurs droits à prophétiser juste et à connaître l'influence cachée des corps célestes. (NdT.)

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2. En 1707, une tentative d'assiéger Toulon fut faite par le prince Eugène et le duc de Savoie, soutenus par la flotte anglaise que commandait sir Cloudesly Shovel ; mais cette tentative échoua. (NdT.)

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3. La flotte de sir Cloudesly Shovel fit naufrage le 22 octobre 1707. (NdT.)

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4. La bataille d'Almanza fut livrée le 25 avril 1707. (NdT.)

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5. Les protestants du Dauphiné, appelés « camisards », poussés à bout par la persécution, tombèrent naturellement dans le fanatisme, et mêlèrent des miracles et des prophéties à leur ferveur religieuse. Ceux qui s'étaient réfugiés en Angleterre attirèrent fortement l'attention sous l'appellation « Prophètes français », et soulevèrent beaucoup de discussions dans la presse et dans la chaire. En 1707-1708, John Lacy, esq., se convertit ; et, dans la préface d'un de ses absurdes livres, intitulé Un cri du désert, il en appelle avec confiance à « la matière et économie de quatre ou cinq cents avertissements prophétiques donnés en état d'extase à Londres ». Comme à ces fanatiques il se mêla des imposteurs, les conséquences commencèrent à prendre un aspect assez alarmant. Mais ils furent assez téméraires pour entreprendre de ressusciter un mort, et ayant échoué, comme de raison, ils furent en butte à la risée générale : ce à quoi une pièce, appelée les Prophètes modernes, et écrite par Durfy, ne contribua pas peu. (NdT.)

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6. « Il y aura alors un autre Tiphys et un autre Argo pour porter une élite de héros », Virgile, Les Bucoliques, IV, v. 34, trad. Maurice Rat, GF-Flammarion, 1967, p. 54.

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1. « Ainsi est tombé Phaeton » ; allusion à un vers de L'Énéide : Sic cunctus pelagi cecidit fragor, « Ainsi est tombé tout d'un coup le bruit des vagues » (Virgile, L'Énéide, trad. Maurice Rat, GF-Flammarion, 1965, p. 36).

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1. John Case eut longtemps la vogue comme médecin et comme astrologue. (NdT.)

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2. Mary Kirleus, veuve de John Kirleus, fils du docteur Thomas Kirleus, membre de la faculté de médecine de Londres. (NdT.)

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1. Le statut de Charles II. (NdT.)

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1. Les citations insérées ici sont à l'imitation du docteur Bentley, dans certaine partie de sa fameuse controverse avec M. Boyle. (NdT.)

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2. « À l'Illustrissime Bickerstaff, restaurateur de l'astrologie. »

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3. « Ainsi [a] récemment [écrit] Bickerstaff, cette grande étoile de l'Angleterre. »

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4. « Grand Anglais, qui compte sans peine au premier rang des astrologues de notre époque. »

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5. « Je dois dire, en dépit du grand homme… »

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6. « Ou peut-être une coquille, tandis que Bickerstaff, homme très savant… »

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1. « Pourriez-vous, mes amis, ne pas éclater de rire ? », Horace, Art poétique, v. 5, dans Œuvres, op. cit., p. 259.

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2. « Parce que je ne te [com]prends pas, toi, tu me prends. »

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3. « Chassez la nature, même violemment, elle reviendra toujours », Horace, Épîtres, I, 10, v. 24, dans Œuvres, op. cit., p. 225.

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4. « Si tu traites quelqu'un d'ingrat, tu as tout dit. »

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5. « Dit-il ».

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6. « Nous ne voyons pas, de la besace, ce qui est sur notre dos », Catulle, Poèmes, 22, trad. Maurice Rat, Garnier, 1931.

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7. « Les tyrans de Sicile n'ont pas inventé de supplice pire que l'envie », Horace, Épîtres, I, 2, dans Œuvres, op. cit., p. 216.

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8. « Jamais je ne suis moins seul que lorsque je suis seul » ; allusion au De officiis (III) de Cicéron, qui lui-même attribue cette parole à Scipion l'Africain.

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9. « La colère est une courte folie », Horace, Épîtres, I, 2, v. 62, dans Œuvres, op. cit., p. 216.

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10. « L'art consiste à dissimuler l'art. »

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11. « La mort est commune à tous. »

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12. « Tant que tu seras heureux, tu compteras beaucoup d'amis », Ovide, Les Tristes, I, 9, v. 5 (trad. D. Nisard, Paris, 1838).

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1. « “Conserve la vie, mais cependant reste pendue, impudente”, dit-elle », Ovide, Les Métamorphoses, VI, v. 136, trad. Joseph Chamonard, GF-Flammarion, 1966, p. 159.

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2. « Les cœurs des mortels sont aiguisés par les soucis » ; allusion à Virgile (Les Géorgiques, I, v. 123).

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3. « Quelle contrée sur la terre n'est pas déjà remplie du bruit de nos malheurs ? », Virgile, L'Énéide, I, v. 460, op. cit., p. 42.

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