Les références aux recueils canoniques de hadîth-s suivent la numérotation établie par l’équipe d’A. J. Wensinck pour son ouvrage monumental, Concordance et indices de la tradition musulmane, Leyde, Brill, 1936-1969, très heureusement publié maintenant en « paperback », édition qu’on n’ose appeler « de poche », revue et complétée, Leyde, 1992, 8 volumes. De façon plus accessible, elle avait été utilisée déjà dans le condensé anglais de Wensinck, A Handbook of Early Muhammadan Tradition alphabetically arranged, Leyde, Brill, 1927 (réimp. 1971). Ce dernier index a été, non moins utilement, adapté en arabe par un des collaborateurs, Mohammad Fou’ad ‘Abd al-bâqi, Miftâh kunûz as-sunna, Le Caire, imp. Misr, 1351/1933. Ce dernier auteur a publié au Caire à partir de 1353/1935 une série de fascicules complémentaires qui détaillent, hadîth par hadîth, le contenu des recueils en suivant la même numérotation. Ils sont fort précieux pour retrouver un texte dans ces ouvrages fort touffus.
Cosmas Indicopleustès, Topographie chrétienne, éd. et trad. W. Wolska-Conus (coll. « Sources chrétiennes », nos 141, 159, 197), Paris, Ed. du Cerf (1968-1973), livre I, chap. 75, vol. I, p. 390-391 (= Migne, P.G., 88, col. 113 B-C). La traduction donnée ici est un peu différente.
Ethérie, Journal de voyage, éd. et trad. Hélène Petré (coll. « Sources Chrétiennes », n° 21), Paris, Ed. du Cerf, 1948 (1971), p. 268-9.
Charles Diehl, Les grands problèmes de l’histoire byzantine, Paris, A. Colin, 1943 (« coll. Armand Colin », n° 237), p. 15-16.
Ethérie, op. cit., p. 269.
Cf. F.-M. Abel, Revue biblique, 1931, p. 1-31 ; Procope, De aedificiis, V, 9, éd. et trad. anglaise H. B. Dewing et Glanville Downey, London, Heinemann (coll. « Loeb Classical Library »), 1940.
Ethérie, op. cit., XX, 12, éd. et trad. citées, p. 178-179.
A. Christensen, L’Iran sous les Sassanides, 2e éd., Paris, Geuthner, 1944, p. 397.
Tha‘âlibi, Histoire des rois de Perse, éd. et trad. fr. H. Zotenberg, Paris, Imprimerie nationale, p. 698 s.
Cosmas Indicopleustès, op. cit., livre II, chap. 76-77, vol. I, p. 390-393 (= Migne, P.G., 88, col. 113 C-D). Trad. un peu différente.
Message de Khosrô II fuyant le révolté Bahram à l’empereur Maurice au printemps de 590 selon Théophylacte Simocatta, Histoire, IV, 11, éd. C. de Boor, Leipzig, Teubner, 1887, p. 169 ; cf. G. E. von Grunebaum, Medieval Islam, Chicago, University Press, 1953, p. 53 ; P. Goubert, Byzance avant l’Islam, t. I, Paris, Picard, 1951, p. 134 ss.
Ethérie, op. cit., I, 1, éd. et trad. citées, p. 96-7.
Ethérie, op. cit., III, 1-2, éd. et trad. citées, p. 102-105.
Procope, De aedificiis, V, VIII, 7-9 ; trad. inspirée de Percy Neville Ure, Justinian and his Age, Harmondsworth, Penguin Books, 1951 (coll. « Pelican Books » A 217), p. 39-40.
Ammien Marcellin, Historiae, XIV, 4, 4. Je reproduis la vieille traduction de Th. Savalète dans la collection Nisard (Paris, F. Didot, 1885), p. 7, dont la saveur ne trahit pas le sens, me semble-t-il.
Ammien Marcellin, XIV, 4, 4 (même éd. et trad., p. 6) et XXXI, 16, 6 (ibid., p. 372), mais ici je m’écarte de la traduction citée.
bid., XXIII, 6, 45-47 (édition et trad. citées, p. 205).
Cf. Jacques Ryckmans, « Le christianisme en Arabie du sud préislamique », in L’Oriente cristiano nella storia della Civiltà, Rome, Accademia nazionale dei Lincei, 1964, p. 413-453 et maintenant J. Beaucamp et Chr. Robin, « Le christianisme dans la péninsule arabique d’après l’épigraphie et l’archéologie » in : Centre de recherches d’histoire et civilisation de Byzance, Travaux et mémoires, n° 8, Hommage à Paul Lemerle, Paris, De Boccard, 1981, p. 45-61.
Cosmas Indicopleustès, Topographie chrétienne, éd. et trad. citées, I, p. 392-395 (= Migne, P.G., 88, col. 113 D, 116 A).
Ibn Hishâm, Sîra, Das Leben Muhammeds, éd. F. Wüstenfeld, Göttingen, 1859-1860 (réimp. Frankfurt am Main, Minerva, 1961), p. 101.
Ibn Sa’d, Tabaqât : Biographien Muhammeds, seiner Gefährten…, éd. E. Sachau, Leiden, 1904-1928, 15 vol., vol. 1/2, p. 58 s.
Ibn Sa‘d, ibid., vol. I/1, p. 71.
Ibn Sa‘d, ibid., p. 69 s. ; cf. Ibn Hishâm, Sîra, éd. citée, p. 106, etc.
Tabari, Annales…, éd. M. J. de Goeje et al., Leyde, Brill, 1897-1901, vol. I/3, p. 1124.
Ibn Sa‘d, éd. citée, vol. I/1, p. 80.
Ibn Ishâq, in A. Guillaume, New Light on the Life of Muhammad, Manchester University Press, 1960, p. 7, 27, 59.
Ibn Sa‘d, ibid., vol. I/1, p. 84 ; texte légèrement différent dans Husayn ibn Muhammad ad-Diyârbakri, ta’rîkh al-Khamîs, Le Caire, 1283 H, I, p. 264 ; très abrégé ailleurs. Le nom est lu (à tort je crois) Nufayssa par M. Hamidullah, Le prophète de l’Islam, Paris, Vrin, 1959, p. 55 s. On la nomme d’après sa mère et non son père, ce qui pourrait signifier une origine peu estimable, à demi étrangère ; elle aurait été une kâhina (devineresse). Elle ne se convertit à l’Islam avec son frère et son père qu’après la conquête de La Mecque.
Midrash Rabbâ : Midrash Esther, I, 15, sentence attribuée au tannâ Rabbi Nathan (IIe siècle). On peut trouver une édition savamment commentée et traduite en allemand du texte hébreu dans S. Krauss, Geschichte : Griechen und Römer (Monumenta Talmudica, V, 1), Vienne et Leipzig, Orion, 1914, p. 57, § 108.
Ibn Hishâm, Sîra, éd. citée, p. 105.
« La compilation dite de Frédégaire », IV, 64-5, éd. in G. Monod, Etudes critiques sur les sources de l’histoire mérovingienne, vol. II, Paris, A. Franck, 1885, p. 147 ; Fredegarii Chronicorum Liber quator [edited and] translated… by J. M. Wallace-Hadrill, Edinburgh, Th. Nelson, 1960, p. 52-54.
Shâhpurakân, cité par Birûni, kitâb al-âthâr al-bâqiya, éd. E. Sachau, Chronologie orientalischer Völker, Leipzig, 1878 (réimp. 1923), p. 207 ; traduction A. Adam, Texte zum Manichäismus, Berlin, W. de Gruyter, 1954 (coll. « Kleine Texte… », 175), p. 5-6 ; P. Alfaric, Les écritures manichéennes, Paris, Nourry, 1918, 2 vol., II, p. 54 ; H. C. Puech, Le Manichéisme, Paris, Civilisations du Sud, 1949, p. 62 et notes p. 146 ss.
Cf. Les Actes de Thomas, traduction anglaise commode, M. R. James, The Apocryphal New Testament, Oxford, Clarendon Press, 1924, p. 365. Commentaires importants sur les traditions de la répartition des champs de mission entre les Apôtres dans Les Actes apocryphes des Apôtres, Genève, Labor et Fides, 1981, notamment p. 233-248 (Eric Junod) et p. 249-264 (Jean-Daniel Kaestli) ainsi que la « fiche signalétique » sur les Actes de Thomas, p. 304 s.
Targoum sur les Lamentations de Jérémie. Je cite d’après l’édition du morceau avec trad. allemande dans les Monumenta Talmudica, par S. Krauss, V, 1, p. 52, § 95. Voir la définition des targoums donnée ci-dessus dans le Répertoire final, p. 371.
« Castillo interior », moradas primeras, I, 1 et II, 8 in : Santa Teresa de Jesus, Obras Completas (Fr. Efrem de la Madre de Dios, Fr. Otilio del Niño Jesus, Fr. Otger Steggink, éd.), Madrid, Editorial Catolica, 1951-1959, 3 vol., II, p. 340, 348 et Ste Thérèse de Jésus, Œuvres complètes, trad. fr. du R.P. Grégoire de St Joseph, Paris, Seuil, 1948, p. 814, 825.
C. Huber, Journal d’un voyage en Arabie (1883-1884), Paris, Imprimerie nationale, 1891, p. 748.
95) « La Montagne de contemplation », chap. XXIV, in Jean Gerson, Initiation à la vie mystique, Paris, Gallimard, 1943, p. 72.
cf. Tor Andrae, Les origines de l’Islam et le Christianisme, trad. fr., Paris, Adrien-Maisonneuve, 1955, p. 45, 191.
« Castillo interior », moradas quintas, I, 9, in Santa Teresa…, Obras… II, p. 396, trad. Œuvres, p. 898.
Ibid, moradas sextas, ch. IX, 10, in : Obras… II, p. 461, trad. Œuvres… p. 1006.
Bokhâri, Sahih, kitâb 1, hadîth 3 ; kitab 91, hadîth 1, cf. trad. fr. Houdas et Marçais, op. cit., t. I, p. 3 s. et t. IV, p. 451 ; Muslim, sahîh, kitâb 1, bab 71, hadîth-s 252-3 et passages parallèles.
Jalâl ad-dîn Soyûti, K. al-itqân fi‘ulûm al-qur’ân, Le Caire, 1318 H, vol. I, p. 46 haut.
Santa Teresa, « Castillo interior » moradas sextas, ch. VIII, 3, in Obras…, II, p. 454 s. ; trad. p. 995.
D’après une de ses « relations » à ses confesseurs. Je reproduis la traduction française de la sixième « relation » adressée au P. Rodriguez Alvarez (février ou mars 1576) ap. Santa Teresa…, Obras…, éd. citée, II, p. 523 ; trad. Œuvres…, p. 515.
L. Gardet, Expériences mystiques en terres non-chrétiennes, Paris, Alsatia, 1953, p. 15.
107) Trad. fr. avec commentaire et références donnés par Louis Massignon, in Hoceïn Mansûr Hallâj, Dîwân, Paris, Cahiers du Sud, 1955, p. 108-9, réédition (Husayn Mansûr Hallâj, Dîwân), Paris, Seuil, 1981, p. 116-7.
R. Blachère, Histoire de la Littérature arabe des origines à la fin du XVe siècle de J.-C., Paris, Adrien-Maisonneuve, 1964, vol. I, fasc. 2, p. 197.
Cf. Max Eastman, The literary Mind : Its Place in an Age of Science, New York, Scribner, 1931.
D. S. Margoliouth, Mohammed and the Rise of Islam, New York, Putman, 3e éd., 1905, p. 83 s.
Ibn Sa‘d, op. cit., t. I, 1, p. 133, etc.
F. Buhl, Das Leben Muhammeds, trad. allemande, H. H. Schaeder, Leipzig, Quelle und Meyer, 1930, réimpr. Heidelberg, même éd., 1961, p. 153, n. 72
Ibid., p. 260.
Ibid., p. 185-7.
Tabari, Annales…, éd. cit., vol. I, 3, p. 1192 s.
Tabari, tafsîr, Le Caire, 1321 H, vol. XVII, p. 120.
Tabari, Annales…, éd. citée, vol. I, 3, p. 1180 s.
Ibn Hishâm, Sîra, éd. citée, p. 206 s.
Ibid. p. 207.
Ibid.
Tabari, Annales…, I, 3, p. 1180 s.
Ibn Hishâm, Sîra, éd. citée, p. 225.
Ibid., p 225 ss.
Art. « ‘Omar ibn al-Khattâb », Encyclopédie de l’Islam, 1re éd. fr., t. III, Leiden (Brill) et Paris (Klincksieck), 1936, p. 1050.
T. Izutsu, The Structure of the Ethical Terms in the Koran : a Study in Semantics, Tokyo, Keio Institute of Philological Studies, 1959.
Ibn Hishâm, éd. citée, p. 227.
L’Anonyme de Jérusalem (probablement le patriarche Modeste, mort en 634) dans Migne Patrologia Graeca, LXXXVI, col. 1351 ss., cf. Ch.-J. Ledit, Mahomet, Israël et le Christ, Paris, La Colombe, 1956, p. 25, 92.
Ibn Hishâm, Sîra, éd. citée, p. 178.
Ibn Sa‘d, Tabaqât, éd. citée, vol. I, 1, p. 145.
Ibn Hishâm, Ibid., p. 283 ; Tabari, Annales…, vol. I, 3, p. 1205 s.
Ibn Sa‘d, ibid., vol. 1, 1, p. 146.
Ibn Hishâm, Sîra, p. 286 s.
Ibid., p. 334.
Ibn Hishâm, Sîra, éd. citée, p. 337.
Ibid.
Ibid., p. 341 ss. ; cf. W. Montgomery Watt, Muhammad at Medina, Oxford, Clarendon Press, 1956, p. 221-8.
Ibn Hishâm, Sîra, éd. citée p. 292 s. La traduction d’A. Guillaume me semble ici erronée.
Ibid., p. 995.
Ibid., Wâqidi, The Kitâb al-maghâzi, éd. Marsden Jones, London, O.U.P., 1966, I, p. 9. Je corrige une bévue introduite dans mon livre en français (p. 193) et en anglais (p. 161) (sept émigrés !)
Tabari, Annales…, éd. citée, vol. I, 3, p. 1265 haut.
Ibid., vol. I, 3, p. 1285.
Ibid., vol. I, 3, p. 1305.
Ibn Hishâm, Sîra, éd. citée, p. 445
Ibid.
Ibid.
Ibid., « Di qui nacque che tutt’i profeti armati vinsono, e li disarmati ruinorono » Machiavel, Principe, VI.
Ibn Sa‘d, Tabaqât, éd. citée, vol. I, 2, p. 134 ; Abû Dâ’ûd, XXXII, 10, etc. ; cf. D.S. Margoliouth, Mohammed and the Rise of Islam, New York, Putman, 3e éd., 1905. p. 250.
Ibn Hishâm, Sîra, p. 996 ; cf. Wâqidi, éd. citée, I, p. 172-4.
Ibn Hishâm, Sîra, p. 546.
Ibid., p. 548 s.
Ibid., p. 547 s.
Ibid., p. 558.
Ibid., p. 559.
Ibid., p. 562.
Dans le cycle de midrashîm (récits développés à propos de passages bibliques) appelés Tanhuma, midrash sur la Genèse, traduit dans C. G. Montefiore et H. Loewe, A Rabbinic Anthology, London, Macmillan, 1938, p. 574.
Cf. D. Sidersky, Les origines des légendes musulmanes dans le Coran et dans les vies des prophètes, Paris, Geuthner, 1933, p. 51-3.
Wâqidi, éd. citée, p. 533.
Ibid., Ibn Hishâm, Sîra, p. 891 s.
Ibn Hishâm, ibid., p. 641 ; Wâqidi, I, p. 359.
Balâdhuri, futûh al-buldân, éd. M. J. de Goeje, Leiden, 1866 ; éd. Le Caire, 1350/1932, p. 31.
Tabari, Annales…, éd. citée, I, 3, p. 1450 ; Ibn Sa‘d, éd. citée, vol. II, 1, p. 41.
Ibn Hishâm, Sîra, p. 657 ss.
Wâqidi, éd. citée, vol. I, p. 411.
Wâqidi, ibid., p. 413.
Ibn Hishâm, Sîra, p. 726 s.
Ibid., p. 727 s.
Ibid., p. 732.
Carlo Levi, Le Christ s’est arrêté à Eboli, trad. fr. de Jeanne Modigliani, Paris, Gallimard, 1948, p. 93.
Ibn Hishâm, Sîra, p. 733.
Ibid., p. 734.
Hadith reproduit par exemple dans Tirmidhi, sahîh, kitâb 44 (tafsîr al-qur’ân) sur la sourate 33 (al-ahzâb), hadîth-s 9 a à 11 (éd. du Caire, 1292 H, vol. II, p. 209 s.)
Tabari, Annales…, éd. citée, vol. I, 3, p. 1475, lignes 8-9.
Ibn Hishâm, Sîra, p. 701.
Ibid., p. 690 s.
Ibid., p. 679.
L. Caetani, Annali dell’ Islam, Milan, Hoepli, vol. I, 1905, p. 661 ; cf. Margoliouth, op. cit., p. 217.
F. Buhl, Das Leben Muhammeds, trad. all. H. H. Schaeder, Leipzig, Quelle und Meyer, 1930 (réimpr. Heidelberg, même éd., 1961), p. 141 s.
Cf. G. Levi della Vida, « ‘Omar ibn al-Khattâb », ibid., p. 1050-1052 ; Th. Nöldeke, Orientalische Skizzen, Berlin, Paetel, s.d., p. 31.
Wâqidi, éd. Jones, II, p. 855. Cf. R. Bell, Introduction to the Qur’an, Edinburg, University Press, 1953, p. 18, etc.
« L’an neuf (sic) de l’hégire » par exemple in Légende des siècles, IX : L’Islam, Paris, Bibl. de la Pléiade, Gallimard, 1962, p. 127 ss. Par ailleurs, le nombre d’erreurs et d’inadvertances est plutôt excessif dans ce beau poème inspiré surtout d’Abou l-fidâ’ d’après la compilation de Pauthier, cf. Paul Berret, La Légende des siècles de Victor Hugo, Paris, Mellotée, 1967, p. 102 s. Inutile de s’y attarder. On peut quand même signaler que la mort du Prophète se place en l’an XI, non en l’an IX de l’hégire. Hugo, aussi, eût été bien inspiré de ne pas « corriger » sa première rédaction « Il relut le Koran qu’il gardait manuscrit » en « Il relut le Koran de sa main même écrit ».
H. Lammens, « Le “triumvirat” Abou Bakr, Omar et Abou ‘Obaida », in Mélanges de la Faculté orientale de Beyrouth, t. 4, 1910, p. 113-144.
Lucy Mair, Primitive Government, Harmonds-worth, Penguin Books, 1962, p. 53.
Joseph Schacht, The origins of Muhammadan Jurisprudence, Oxford, Clarendon Press, 1950 ; An Introduction to Islamic Law, Oxford, Clarendon Press, 1964.
Ignaz Goldziher, Muhammedanische Studien, Halle, Niemeyer, 1889-1890, 2 vol., réimp. en 1 vol. Hildesheim, G. Olms, 1961.
G. A. Wilcken, Het Matriarchat bij de oude Araberen, Amsterdam, 1884 (trad. all. Das Matriarchat… bei den alten Arabern, Leipzig, 1884) ; W. Robertson Smith, Kinship and Marriage in Early Arabia, Cambridge, University Press, 1885, nouv. éd., Londres, 1907 (réimp. : Oosterhout, Pays-Bas, Anthropological Publications, 1966).
« La société bédouine ancienne », in L’antica società beduina, Rome, Centro di studi semitici, 1959, p. 69-93.
Muhammad at Medina, Oxford, Clarendon Press, 1956, p. 281 ; cf. p. 273 ss.
Muhammad Hamidullah, Le Prophète de l’Islam, Paris, Vrin, 1959, p. 462 ss.
IV Esdras, XIV, 9, 14. Le livre figure dans des manuscrits de la Vulgate latine et dans des versions syriaque, éthiopienne, géorgienne, arménienne et arabe. C’est II Esdras dans divers manuscrits et dans beaucoup de traductions anglaises entre autres, I Esdras en éthiopien ou encore l’Apocalypse d’Esdras. Voir maintenant la traduction française de P. Geoltrain dans La Bible : Ecrits intertestamentaires, Paris, Gallimard, 1987 (Bibliothèque de la Pléiade, 337), p. 1393-1470. Le membre de phrase « revêts l’immortalité » ne figure que dans la version éthiopienne, cf. Les Apocryphes éthiopiens, trad. René Basset, vol. IX, Apocalypse d’Esdras, Paris, Bibliothèque de la Haute Science, 1899, p. 109.
Hubert Grimme, Mohammed, Münster i.W., Aschendorff, 1892-5, vol. II, p. 160, n. 9.
Cf. Tor Andrae, Der Ursprung des Islams und das Christentum, Uppsala-Stockholm, Almqvist et Wiksell, 1926, p. 146 ss. ; trad. fr. Les Origines de l’Islam et le Christianisme, Paris, Adrien-Maisonneuve, 1955, p. 151 ss.
Irénée de Lyon, Contre les Hérésies [Adversus haereses], V, 33 : 3 s ; éd. critique d’après les versions arménienne et latine par A. Rousseau, L. Doutreleau et Ch. Mercier, tome II, Paris, Cerf, 1969, p. 414-417 (avec trad. fr. et rétroversion grecque) ; cf. E. Preuschen, Antilegomena, die Reste ausserkanonischen Evangelien, Giessen, J. Ricker, 1901, p. 60 s. et 150 s. ; Los Evangelios apocrifos, Aurelio de Santos Otero éd., 2e éd., Madrid, La Editorial catolica, 1963, p. 118 s., etc.
Eusèbe, Histoire ecclésiastique, livre III, XXXIX, 12 (par ex. éd. et trad. E. Grapin, Paris, Picard, 1905, p. 356-359). Une abondante littérature commente les maigres fragments de textes attribués à Papias. Cf. mise au point de M. Jourjon dans Dictionnaire de la Bible, Supplément, t. VI, fasc. 34 (Paris, Letouzey et Ané, 1960), col. 1104-1109.
Muhammad Hamidullah, op. cit., p. 491.
Ibn Sa‘d, éd. citée, vol. II, I, p. 67, 1. 14.
Ibn Hishâm, éd. citée, p. 815.
Tabari, Annales…, éd. citée, vol. I, 3, p. 1640 ; Wâqidi, éd. citée, vol. II, p. 856.
Ibid., vol. III, p. 949.
Ibid., vol. II, p. 816.
H. Pirenne, Mahomet et Charlemagne, Paris, Alcan et Bruxelles, Nouvelle Société d’Editions, 2e éd., 1937, p. 129.
Ibn Hishâm, éd. citée, p. 938 = dîwãn, XXV, 12 ; cf. O. A. Farrukh, Das Bild des Frühislam in der arabische Dichtung…, Leipzig, A. Pries, 1937, p. 130.
Cf. Wâqidi, éd. citée, vol. III, p. 1066 s. ; la traduction du même par J. Wellhausen, Muhammed in Medina, Berlin, G. Reimer, 1882, p. 396, d’après l’édition d’A. von Kremer, Calcutta, 1856 (Bibliotheca Indica, nos 110, etc.), p. 426.
Cf. Balâdhuri, futûh al-buldân, éd. M.J. de Goeje, Leiden, 1866, p. 2 s. ; éd. Le Caire, 1350/1932, p. 17 s. ; cf. L. Caetani, Annali dell’Islam, vol. II/1, Milan, Hoepli, 1907, p. LXXI.
Ibn Sa‘d, éd. citée, vol. VIII, p. 36 s.
Bokhâri, Sahîh, kitâb 46, bâb 25 (éd. Le Caire, 1332 H., vol. II, p. 47 s. ; trad. Houdas et Marçais, Les traditions islamiques, Paris, A. Maisonneuve, 1906 (réimp. 1977), t. II, p. 146-150.
Ibn Sa‘d, éd. citée, vol. II/1 p. 132 ss., 11. 4 ss.
Jâhiz, kitâb al-bayân wa-t-tabyîn, éd. Hârûn, Le Caire, 1367/1948, II, pp. 31 ss. ; éd. Sandûbî, Le Caire, 1351/1932, II, p. 24 ss. ; éd. Atawî, Beyrouth, 1968, p. 228 ss. ; cf. R. Blachère, « L’allocution de Mahomet lors du Pèlerinage d’Adieu » (Mélanges Louis Massignon, Damas, Institut français, 1956-1957, 3 vol.), t. I, p. 223-249.
Abû Yûsuf Ya’qûb, kitâb al-kharâj, Le Caire, 1346 H., p. 39, 11. 8 ss.
‘Izz ad-dîn ‘Abd al-‘azîz ad-Dîrînî (mort en 697/ 1297), tahârat al-qulûb (ou al-qalb), Le Caire, 1296 H. (1879 A.D.), p. 26-28, 30-32.
Cf. surtout E. Cerulli, Il ‘Libro della Scala’ e la questione delle fonti arabo-spagnole della Divina Commedia, Città del Vaticano, 1949 (coll. « Studi e Testi », 150). J’ai essayé de résumer sur ces bases l’état de la question dans mon article « Dante et l’Islam d’après des travaux récents » (Revue de l’histoire des religions, 140, 1951, p. 203-236). On a publié récemment en livre de poche, fort utilement, une nouvelle et meilleure édition de la traduction latine faite au XIIIe siècle d’un récit de la montée au ciel du Prophète, traduction à la source de textes en castillan et en vieux français, voir Le Livre de l’Echelle de Mahomet (Liber Scale Mahometi) avec une traduction en français moderne : Paris, Le Livre de Poche, 1991 (coll. « Lettres gothiques »).
L. Gardet, La pensée religieuse d’Avicenne (Ibn Sinâ), Paris, Vrin, 1951, p. 113.
E. W. Lane, An Account of the Manners and Customs of the Modern Egyptians, Londres, C. Knight, 1836-7, vol. I, chap. XIII, p. 384 ; Londres, Dent (Everyman’s Library), p. 288.
Cf. J. Reinaud, Monumens arabes, persans et turcs du Cabinet de M. le duc de Blacas…, Paris, Imprimerie royale, 1828, vol. II, p. 97.
Ibid., vol. II, p. 80-82.
Harawî, kitâb al-ishârât ilâ ma‘rifat az-ziyârât, éd. J. Sourdel-Thomine, Damas, Institut français, 1953, p. 16. Trad. fr. Guide des lieux de pèlerinage, Damas, ibid., 1957, p. 42.
Ibid., texte arabe, p. 14, 17, 95 ; trad. fr., p. 36, 43 s, 216 ; T. W. Arnold, art. « Kadam sharîf » in Encyclopédie de l’Islam, 1re éd. fr., t. II, Leiden, Brill et Paris, Picard, 1927, p. 642-4, abrégé et un peu modifié dans la 2e éd., t. IV, Leiden, Brill et Paris, Maisonneuve et Larose, 1978, p. 383-4 (avec une addition de J. Burton-Page).
Ibn Jubayr, Travels…, 2e éd., M. J. de Goeje, Leiden, 1907, p. 162 ss. ; trad. fr. Ibn Jobair, Voyages…, traduits et annotés par Maurice Gaudefroy-Demombynes, Paris, Geuthner, 1949-1965, 4 vol., t. II (1951), p. 188.
Cf. I. Goldziher, Muhammedanische Studien, Halle, 1890 (réimp. Hildesheim, G. Olms, 1961), p. 168 ; Tor Andrae, Die Person Muhammeds in Lehre und Glauben seiner Gemeinde, Stockholm, 1918, p. 271.
Cf. R. F. Burton, Personal Narrative of a Pilgrimage to Al Madinah and Meccah, London, G. Bell, 1913 (Bohn’s Popular Library), vol. I, p. 315 ss.
Jean Roman, Le Pèlerinage aux lieux saints de l’Islam, Alger, Baconnier, 1954, p. 34 s.
Cf. par ex. M. Hadj-Sadok, « Le mawlid d’après le mufti-poète d’Alger Ibn ‘Ammâr » in Mélanges Louis Massignon, Damas, Institut français, 1957, vol. II, p. 269-91 ; H. Fuchs, F. de Jong, J. Knappert, art. « Mawlid ou Mawlûd » in Encyclopédie de l’Islam, 2e éd. fr., tome VI, Leiden, Brill et Paris, Maisonneuve et Larose, 1991, p. 886-889.
Süleyman Çelebi, Vesîletü ’n-necât Mewlid, éd. Ahmed Atesh, Ankara, Türk Tarih kurumu Basïmevi, 1954, p. 67 ; cf. la trad. anglaise en vers de F. Lyman Mac Callum (Süleyman Chelebi, The Mevlidi Sherif, London, John Murray, 1943, p. 23 s. dans la coll. « Wisdom of the East ») qui suit parfois un texte légèrement différent.