[1] P. Filonov, L’Atelier intime des peintres et des dessinateurs « Les Tableaux finis », Saint-Pétersbourg, 1914.
[2] P. Filonov, Le Canon et la loi, département des manuscrits de l’Institut de la littérature russe (maison Pouchkine), 1912, f. 656.
[3] N. Berdiaev, « Picasso », Sofia, 1914, no 3, p. 62.
[4] M. Matiouchine, « L’Œuvre de Pavel Filonov », Annuaire du département des manuscrits de l’Institut de la littérature russe (maison Pouchkine), 1977, Leningrad, 1979, pp. 233-234.
[5] M. Le Dentu, Lettre à O. Liachkova, 1917, département des manuscrits du Musée Russe, f. 135, op. 3, f 2.
[6] N. Pounine, Tatline (contre cubisme), Saint-Pétersbourg, 1922, p. 7.
[7] A. Gleizes et J. Metzinger, Du Cubisme, 4e édition, Paris, 1912, p. 17.
[8] K. Malevitch, « Lettre à M. Matiouchine datée de juin 1916 », Annuaire du département des manuscrits de l’Institut de la littérature russe (maison Pouchkine), 1974, Leningrad, 1976, p. 192.
[9] K. Malevitch, Dieu n’est pas déchu. L’Art, l’église, la fabrique, Vitebsk, 1922, p. 7.
[10] Sous-titre de la brochure de Malevitch Du Cubisme au suprématisme, éditée en 1915.
[11] V. Chklovski, « L’Espace dans l’art et les suprématistes », Jizn iskousstva, 1919, nos 196-197.
[12] Izobrazitelnoïe iskousstvo, no 1, 1919, p.28.
[13] A. Maïakovski, Recueil, Leningrad, 1940, p. 90.
[14] V. Chklovski, « Un Cas à la production », Stroïka, 1931, no11.
[15] N. Pounine, « A Moscou (Lettre) », Iskousstvo kommouny, 9 février 1919.
[16] Les « reliefs de type supérieur », à la différence des reliefs ordinaires, sont des constructions en volume, « non-objectives », exécutées dans des matériaux divers.
[17] V. Tatline, « Je réponds à la « Lettre aux futuristes », Anarkhia, 29 mars 1918.
[18] N. Pounine, L’Art et la révolution, Souvenirs inédits, Années 1930, Archives de la famille Pounine, Saint-Pétersbourg.
[19] V. Kandinsky, « Lettre à N. Koulbine du 28 mars 1912 », Monuments de la culture. Nouvelles découvertes, Leningrad, 1981, p. 408.
[20] Ibid., p. 401.
[21] V. Kandinsky, Texte de l’artiste, Moscou, 1918, p. 28.
[22] Fedorov Nikolaï Fiodorovitch (1828-1903) — bibliothécaire du musée Roumiantsev à Moscou, philosophe dont la conception originale était très estimée par Tolstoï, Dostoïevski et V. Soloviov. Ses œuvres furent éditées post-mortem par ses continuateurs sous le titre de La Philosophie de l’œuvre commune (vol 1, Vierny, 1906 ; vol. 2, Moscou, 1913).
[23] La Philosophie de l’œuvre commune, vol. 1, p. 293.
[24] Op. cit., vol. 2, p. 350.
[25] Op. cit., vol. 1, p. 293.
[26] Iskousstvo kommouny, 22 décembre 1918.
[27] A. Efros, Profils, Moscou, 1930, p. 201.
[28] « Exposition russe à Berlin. Extrait de l’entretien avec D. Sterenberg », Zrelichtcha, no 19, 1923, p. 15.
[29] P. Mansourov. Lettre à E. Kovtoune du 3 août 1970, Archives de E. Kovtoune, Saint-Pétersbourg.
[30] K. Malevitch, Suprématisme. 34 dessins, Vitebsk, 1920, p. 4.
[31] M. Matiouchine, Le Chemin créateur de l’artiste, 1934, département des manuscrits de l’Institut de la littérature russe (maison Pouchkine), fo. 656.
[32] E. Gouro, Le Pauvre Chevalier, 1913, département des manuscrits de la Bibliothèque nationale de Russie, Saint-Pétersbourg, f. 1116, inv. 3, fo 48.
[33] Ibid., fo 72 (verso).
[34] Titre d’une œuvre d’Elena Gouro.
[35] M. Matiouchine, Journaux, Cahier no 2. Note de décembre 1922.
[36] Ibid.
[37] M. Matiouchine, Le Chemin créateur de l’artiste, département des manuscrits de l’Institut de la littérature russe (maison Pouchkine), fo. 656.
[38] M. Matiouchine, Journaux, Cahier no 2. Note du 14 avril 1923.
[39] Ibid.
[40] K. Malevitch, « Les Peintres de l’Akhrr », Jizn iskousstva, 1924, no 6.
[41] La Leningradskaïa Pravda, du 10 juin 1926.
[42] K. Malevitch, De La Théorie de l’élément ajouté en peinture, exposé à l’assemblée générale des collaborateurs de l’INKhOUK, le 16 juin 1926, Archives de Saint-Pétersbourg, f. 2555, inv. I, cote 1018, fo 160.
[43] P. Filonov, Journal, Note du 4 novembre 1932, département des manuscrits du Musée Russe, f 156, inv. 30, fo 5I.
[44] L. Ioudine, Journal, Archives de la famille Ioudine. Saint-Pétersbourg.
[45] Société Léonard de Vinci. Catalogue de l’exposition des jeunes peintres. Moscou, 1906, p. 7.
[46] K. Malevitch, Dieu n’est pas déchu..., pp. 2 et 4.
[47] K. Petrov-Vodkine, Khlynovsk. L’Espace d’Euclide. La Samarkandie, Leningrad, 1970, p. 581.
[48] Filonov faisait partie des membres-fondateurs de l’Union de la jeunesse (1910-1914) et participait constamment à ses expositions.
[49] L’article a été conservé tel que l’a exposé M. Matiouchine.
[50] P. Filonov, Le Canon et la loi, département des manuscrits du Musée Russe.
[51] P. Filonov. Lettre à Vera Cholpo, Juin 1928, Annuaire du département des manuscrits de la maison Pouchkine, 1977, Leningrad, 1979, p. 231.
[52] P. Filonov, « Idéologie de l’art analytique », Filonov : Catalogue. Musée Russe, Leningrad, 1930, p. 42.
[53] P. Filonov, « Déclaration sur l’« Eclosion universelle », Jizn iskousstva, 1923. Voir également, en français, le catalogue Filonov édité par le Centre Georges-Pompidou, Paris, 1990.
[54] P. Filonov, Lettre à Vera Cholpo, p. 229.
[55] V. Khlebnikov, Œuvres, Moscou, 1986, p. 618.
[56] V. Khlebnikov, Vers. Poèmes. Drames. Prose, Moscou, 1986. pp. 324-325.
[57] V. Chklovski, « Exposition libre au Palais des arts », Jizn iskousstva, 1919, nos 149-150.
[58] T. Glebova, Souvenirs sur Pavel Nikolaïevitch Filonov, 1967. Archives de la famille de T. Glebova, Petrodvorets.
[59] I. Brodski, « Lettre à la rédaction », Krasnaïa gazeta (édition du soir). 25 novembre 1930.
[60] T. Glebova, Souvenirs sur Pavel Nikolaïevitch Filonov, 1967, Archives de la famille de T. Glebova, Petrodvorets.
[61] T. Glebova. Ibid.
[62] « Notre prologue », Makovets, 1922, no 1, p. 4.
[63] Citée d’après Sovietskoïe iskousstvoznanie’79, no 2, Moscou, 1980, p. 380.
[64] N. Fedorov, La Philosophie de l’œuvre commune, vol. I., Vierny, 1906, p. 93.
[65] N. Fedorov, op. cit., vol. 2, Moscou, 1913, p. 153.
[66] L. Ioudine, Journal, Note du 28 juin 1929, Archives de la famille Ioudine, Saint-Pétersbourg.
[67] K. Malevitch, De Cézanne au Suprématisme. Essai de critique, Moscou, 1920, p. 8.
[68] V. Lebedev, « A propos des dessins enfantins », Literatourny sovriemennik, 1933, no 12, p. 204.
[69] II s’agit de l’appartement (10, rue Pessotchnaïa) où vivaient le frère et la sœur Ender, élèves de Matiouchine.
[70] Vera Ermolaïeva marchait avec des béquilles. Une chute de cheval dans l’enfance l’avait rendue infirme à vie.
[71] Soirée à la mémoire de V. Ermolaïeva, 18 mai 1972, rapport sténographique, Archives de l’Union des peintres de Saint-Pétersbourg.
[72] S. Romanovitch, P.I. Bromirski. Années 1950, Archives de la famille Romanovitch, Moscou.
[73] N. Pounine, « L’Art primitif et le dessin moderne », L’Art des peuples de Sibérie, Leningrad, 1930, p. 20.
[74] M. Matiouchine, Journal, Cahier no 2. Note du 14 avril 1923.