1 – Le Nei Tching est composé de deux parties dont l’une porte le nom de Sou Wen et est parfois éditée séparément. Pour cette raison on désigne l’ouvrage sous le nom de Nei Tching Sou Wen.
2 – Le Sou Wen est un dialogue entre l’Empereur Houang Ti et son conseiller le médecin Khi Pa.
3 – L’Empereur Cheu Houang est une des figures les plus importantes de la Chine. On lui doit également la construction de la Grande Muraille. Il y a quelques années, les archéologues chinois ont découvert près de la ville de Sian, le site le plus extraordinaire qui soit : un gigantesque tunnel contenant des milliers de guerriers, de chevaux et de chars ; tous en grandeur nature ! Chaque personne est un portrait unique et les habits (armures, ceintures, guêtres…) sont figurés avec tous les détails. Cette armée d’argile est exposée dans un musée en plein air.
4 – Les jésuites ne furent pas les premiers chrétiens en Chine. Suite au concile d’Ephèse (431) qui condamne Nestorius, ses disciples s’étendent en Orient et en Asie. Une colonie importante s’installe en Chine.
Rappelons que le nestorianisme prêche la séparation des deux natures humaine et divine en Christ. Ainsi, Marie pouvait être appelée mère du Christ mais non mère de Dieu.
5 – Je ne résiste pas au plaisir de poursuivre la lettre : « Une longue robe de toile blanche, une autre par-dessus, aussi longue, d’une étoffe de soie ordinairement bleue, avec une ceinture ; sur le tout un petit habit noir ou violet qui descend aux genoux, fort ample, et à manches larges et courtes, un petit bonnet fait en forme de cône raccourci, chargé tout autour de soies pendantes ou de crin rouge, des bottes d’étoffe aux pieds, un éventail à la main : c’est ainsi qu’on doit être ajusté toutes les fois qu’on sort de la maison, ou que l’on rend une visite de conséquence. Dans le domestique, on quitte une partie de cet attirail ; mais il faut bien se garder de dire la messe sans avoir la tête couverte d’un bonnet particulier, et sans avoir pris ses bottes ». Au sujet des bonzes, une autre lettre nous apprend que « celui qui postule pour l’état de bonze, est obligé de laisser croître sa barbe et ses cheveux pendant un an, de porter une robe déchirée, et d’aller de porte en porte chanter les louanges des idoles auxquelles il se consacre ». Le noviciat terminé, il porte « une longue robe grise, que j’ose dire semblable quant à la forme aux robes ou manteaux de nos religieux d’Europe, le capuchon et la couleur à part » (83-211).
6 – Mendosa (Juan Gonzales de), missionnaire espagnol de l’ordre de Saint-Augustin, fut envoyé en Chine de 1580 à 1583. Il en ramena une très riche documentation et publia un ouvrage considérable consacré aux rites et coutumes de la Chine.
7 – En cela il reprend l’ordre (vieux de 5000 ans) de l’Empereur Houang Ti : « Je regrette que mon peuple, arrêté par les maladies, ne s’acquitte plus de l’impôt qu’il me doit. J’interdis qu’on lui donne encore des médicaments qui l’empoisonnent et j’ordonne qu’on le soigne exclusivement avec les aiguilles de métal qui dirigent l’énergie ».
8 – Aux mêmes causes mêmes effets ! La vulgarisation de l’astrologie a amené sa perte ; la pratique de l’acupuncture sans connaissances conduit inévitablement à son discrédit. Un même phénomène a jeté l’électrobiologie dans les oubliettes de la science (nous lui consacrerons un paragraphe dans la troisième partie de ce volume).
9 – Le système orthosympathique serait représenté par le Méridien Maître du Cœur.
10 – Le Yi-King que l’on traduit en français par Livre des Mutations ou Livre des Transformations se décompose ainsi : Yi a pour sens « caméléon », c’est-à-dire ce qui se change, se transforme, se métamorphose ; King signifie trame d’un tissu. C’est donc la trame des transformations ou Livre des Mutations. Signalons que le signe Yang est représenté par un trait plein (-) et le Inn par un trait ouvert (- -).
11 – Avant d’utiliser les tiges d’achillées, les Chinois ont cherché l’avenir sur les carapaces de tortues. La tortue est une image de l’Univers : elle est microcosme (corps) et macrocosme (carapace). Cette carapace symbolise étrangement l’Univers ; en effet, son dos est rond comme le ciel et son ventre est carré, comme la terre. Aussi, la tortue participe-t-elle à tous les mythes. L’étude de la carapace, et principalement de la face ventrale permet au devin de prévoir l’avenir. On trouvera une description complète de cet art divinatoire (chéloniomancie) chez Granet (37-149 et ss). La divination par les écailles de tortue et les tiges d’achillée étaient « un moyen de gouvernement ; c’est par leur usage que le souverain triomphait de toutes les hésitations du peuple, et qu’il imposait à ce dernier des décisions que nul n’aurait osé contester. » (E. Chavannes cité in 21-50).
12 – L’achillée est une plante commune. Elle est employée actuellement pour la composition florale et les bouquets secs du fait de la résistance de sa tige.
13 – Dans leur volume consacré à la médecine chinoise, Huard et Ming Wong écrivent (43-7) : « Le meilleur pont pour accéder à ce système de classification compliqué d’organes, d’orifices, d’éléments, de points cardinaux, de saisons et de qualités, établi suivant des normes qui, bien que totalement arbitraires, sont considérées comme essentielles, c’est la mentalité des kabbalistes, des occultistes… ». Bien que nous ne soyons pas entièrement d’accord avec le terme « arbitraire », ces auteurs sont les premiers à insister (bien discrètement) sur les rapports entre la médecine chinoise et la kabbale. Pourtant, l’enseignement du Zohar (Le livre de la Splendeur, ouvrage de base du kabbaliste) mériterait d’être comparé à la sagesse chinoise. Cette étude n’existant pas, nous nous contenterons de relever quelques traits de cette mystique juive après avoir signalé que des communautés juives ont presque toujours existé en Chine. Certains auteurs pensent même qu’un fils de Noé s’y serait établi. Peut-être y a-t-il eu des rapports entre la communauté juive de Chine et la Kabbale, nous ne le savons pas.
Quoi qu’il en soit, la numérologie emblématique chinoise et juive trouvent très vraisemblablement leurs origines dans ce que Jung a appelé les archétypes. L’origine de ceux-ci est, elle aussi un mystère. Il est dit dans le Zohar que Dieu enferma la création dans un palais pourvu de cinquante portes ; quarante-neuf d’entre elles sont ouvertes sur les quatre côtés. La dernière, la mystérieuse, n’est ouverte sur aucun côté et on ne sait si elle est ouverte sur le haut ou le bas. Ceci est à rapprocher de la fonction divinatoire des tiges d’achillées (voir chapitre sur le Yi-King). Il est également rappelé dans le Zohar que « Le premier homme était mâle et femelle à la fois, car l’Écriture dit : « Et Elohim dit : Faisons l’homme à notre image et à notre ressemblance. C’est précisément pour que l’homme ressemblât à Dieu qu’il fut créé mâle et femelle à la fois, et ne fut séparé qu’ultérieurement » (33-54). Plus loin il est dit « que toute figure qui ne représente pas le mâle et la femelle ne ressemble pas à la figure céleste » (page 55). Ceci est à comparer au premier couple Fou Hi/Niou Koua et au Tai Tchi. Il est également dit dans le Zohar que le monde est une émanation de Dieu qui s’est « éclaté » en dix lumières (ou séphiroth), qu’il a une forme et pas de forme, etc. Ceci est à comparer aux dix troncs célestes de l’acupuncture (cycle denaire).
Ensuite, il y a de nombreux passages où l’auteur décrit les correspondances entre le microcosme et le macrocosme. On y trouve même une loi qui est assez semblable à la loi des cinq éléments, etc. Pour en savoir plus sur le Zohar, le lecteur pourra se procurer les ouvrages Comprendre le Judaïsme et Comprendre la Kabbale de Quentin Ludwig (Eyrolles Pratique).
14 – Pour le Docteur Mussat, « une perturbation fonctionnelle peut-être traduite par un hexagramme, lui-même formé de deux trigrammes ». Partant de cela il a publié un ouvrage mettant en corrélation l’acupuncture, l’énergétique et le Yi-King.
15 – Le diagramme Tai Tchi est une illustration du Tao. Pour Granet (37-266), le mot Tchiest quasi équivalent à Tao : celui qui possède le Tchi possède aussi le Tao. Il traduit ainsi Tai Tchi par le « Faîte Suprême ». Les premières apparitions que l’on en connaisse se situent durant la dynastie Song, il était alors considéré comme un emblème de la Lune. Dans cet ouvrage, un chapitre est consacré au symbolisme de ce diagramme, nous n’en discuterons donc pas ici. La manière de le dessiner est illustrée aux pages 36 et 221. Remarquons que la ligne qui sépare le Inn et le Yang vaut la demi-circonférence et donc le contour qui enferme le Inn comme le Yang est égal au contour qui les enferme tous les deux. Notons également que l’opposition Inn-Yang n’est étrangère à aucun domaine de la vie chinoise ; ainsi, même la pièce de monnaie illustre cette notion : la pièce ronde (Yang) est transpercée en son centre d’un carré (Inn).
16 – Comme le nombre de mouvements de base du Tai Tchi Chuan.
17 – Actuellement de nombreux savants dans le monde étudient la réponse du règne végétal aux stimuli. Le premier, l’Américain Backster a, en 1966, utilisé un galvanomètre (appareil de mesure du courant électrique) pour observer les réactions des plantes. Son expérience, fort simple, mérite d’être décrite. Backster place une électrode sur chacune des faces d’une feuille de philodendron (Monstera) et relie le galvanomètre à un appareil capable d’inscrire les différences de potentiel enregistrées. Il soumet ensuite la plante à de nombreux stimuli agréables (arrosage) et désagréables (section d’une feuille d’une autre plante). Le galvanomètre enregistre à chaque fois des différences de potentiel. La plante « réagit » aux stimuli. D’autres part, en agriculture, on obtient de bien meilleurs résultats si on soumet la plante à des champs électromagnétiques. Certains savants estiment que l’action curative des plantes (on leur doit de nombreux médicaments) provient de leur pouvoir de modifier le champ électromagnétique des cellules. Pour en savoir plus, le lecteur lira avec plaisir et profit les nombreux ouvrages de J.M. Pelt.
18 – Le traité d’acupuncture vétérinaire du Docteur Rubin se contente d’ailleurs de reprendre les planches chinoises consacrées aux animaux de basse-cour et d’en décrire les points. Il n’existe pas, à notre connaissance, d’ouvrage d’acupuncture consacré aux animaux domestiques.
19 – Acupuncture uniciste.
20 – Durant nos études médicales classiques nous avons étudié plusieurs pouls différents ainsi que leur valeur diagnostique (pouls paradoxal en cas d’épanchement péricardique, pouls bigémine lors d’intoxication digitalique, pouls de Corrigan des anévrismes artério-veineux, etc.). La pulsologie est donc encore enseignée en Europe.
21 – Le Docteur Darras a publié une table pratique de chronoacupuncture et le Mensuel du médecin acupuncteur publie régulièrement un calendrier des jours et heures d’ouverture des « points-clés ». Les Méridiens curieux sont, comme les Méridiens principaux, traversés par l’énergie suivant un cycle horaire.
22 – Mesmer précurseur de la psychanalyse et du magnétisme a écrit de nombreuses pages sur l’influence des planètes sur le corps humain.
23 – 1980 a été une année propice aux orages magnétiques.
24 – Dans un ouvrage, le Docteur Requena (voir bibliographie 70) analyse les rapports entre les cinq éléments et les cinq diathèses de la médecine par les oligo-éléments. Voir aussi note 13.
25 – Avant d’entreprendre un long voyage les fonctionnaires se faisaient cautériser au point Tsou-Sann-Li (point 36 du Méridien de l’Estomac).
26 – On a obtenu, en Chine, un médicament antipaludéen à partir de l’armoise (Courrier de l’Unesco, juillet 79, page 75).
27 – En fait, l’acupressing ne comprend qu’une partie des moyens utilisés par le Do-ln et le Shiatsu. Ces deux méthodes (très proches) utilisent également le massage et, parfois même, celui-ci (qui draine l’énergie) est utilisé seul.
28 – Il convient encore de signaler la vibripuncture (on place un vibromasseur de poche sur le point d’acupuncture) et la sonopuncture (on stimule les points à l’aide d’un diapason). Il est aujourd’hui facile de se procurer un petit appareil électrique (à usage individuel) destiné à stimuler les points d’acupressing.
29 – La stimulation des points d’acupuncture par le médecin requiert non seulement la connaissance des Méridiens, de l’emplacement des points, des interdictions, des connexions, des points d’ouverture, des points de tonification, des heures propices, etc. mais également un entraînement mental qui ne s’acquiert pas en un jour.
Il est en effet nécessaire d’interroger longuement le malade et de fixer les données de l’anamnèse en concordance avec le cycle Wou-Hing. Le travail est donc énorme, la gymnastique intellectuelle sérieuse et il est ainsi compréhensible que la plupart des médecins préfèrent utiliser des « recettes » : associations de points connues (programmation) ou points de brindilles.
Pour fixer les idées, prenons un exemple étranger à la médecine : chaque théorème mathématique, chaque formule donne lieu à une longue démonstration qu’il est absolument nécessaire de comprendre et de mémoriser. Cependant, devant un problème on utilise la formule découverte sans reprendre le raisonnement entier ; il arrive pourtant que le problème soit particulier et qu’il faille à nouveau démontrer la formule.
Le médecin acupuncteur connaît lui aussi des formules mais certains malades ont des problèmes particuliers et il lui est alors nécessaire de programmer à nouveau la séquence des points à utiliser.
Les ouvrages d’acupuncture donnent généralement deux types de recettes : 1. les points de brindilles, 2. un programme de points découverts par raisonnement.
Les points de brindilles sont des points transmis par la tradition.
Ainsi, pour soigner une douleur au genou, le médecin utilise les points de brindilles du genou, la douleur disparaîtra mais l’éventuel trouble énergétique à la base de cette douleur persistera. Les points de brindilles sont donc à réserver aux petites maladies. Alors que les points de brindilles agissent essentiellement sur les symptômes, les points choisis (programmés) par l’acupuncteur agissent, eux, sur l’origine de la maladie.
Le petit manuel d’acupressing que nous vous proposons se voulant essentiellement pratique et symptomatique, nous avons fait choix de décrire uniquement les points de brindilles.
30 – Le Docteur Nogier propose un point d’auriculothérapie pour stimuler la mémoire. Il l’appelle, malheureusement très improprement « point de psychanalyse ».
31 – Tous les points chinois ont un nom et ce nom est déjà en lui-même tout un programme. Certains points ayant un effet commun sont regroupés sous une dénomination unique ; il en est ainsi pour les points « fenêtre du ciel » (voir le chapitre consacré aux arts martiaux). D’autres points sont connus sous un nom qui illustre leur action : point « paiement cruel » destiné à soigner les effets d’un excès d’alcool et d’aliments, point « geisha », des Japonais, réservé aux impuissants, etc.
32 – Van Gulik est également l’auteur de romans policiers ayant pour cadre la Chine (Les enquêtes du juge Ti, dont il existe plusieurs titres chez 10/18). La lecture, fort agréable, de ces romans familiarisera le lecteur avec l’étiquette chinoise. Le lecteur consultera également avec profit le petit ouvrage d’Etiemble, Connaissons-nous la Chine (Gallimard), dont un chapitre est consacré à l’érotisme en Chine. Il y trouvera la bibliographie des principaux ouvrages à lire. Nous recommandons également la lecture du Sou Nu King (un des classiques) dont une traduction, commentée par un acupuncteur, a paru aux éditions Seghers (1978).
33 – Le Docteur U. Lanza avait déjà publié, en 1968, un travail consacré à la libération d’adrénaline et d’acétylcholine par puncture de la peau. Il estimait que la stimulation de celle-ci en libérant ces substances inhiberait les effets sympathiques de la douleur. (Revue internationale d’acupuncture, numéro 8, avril juin 1968).
34 – Balint, médecin psychanalyste, élève de Ferenczi, a insisté dans un ouvrage célèbre (Le médecin, le malade et la maladie) sur la nécessité d’un réel dialogue avec le malade. Les médecins qui pratiquent cette méthode se réunissent régulièrement en « groupe Balint » pour discuter de leurs succès et de leurs échecs. Voir à ce sujet, du même auteur, Mieux communiquer avec son médecin traitant (Eyrolles).
35 – Prioré, technicien bordelais, a breveté, en 1963, un générateur de champs électromagnétiques qui, selon lui, guérissait les cancers. Les dernières vérifications semblent contredire sa thèse mais, par contre, l’appareil semble efficace pour le traitement de la maladie du sommeil.
36 – Ceci explique peut-être le meilleur succès obtenu en analgésie chez les animaux.
37 – Choisir une transcription pour le chinois n’est pas chose aisée. La langue chinoise, à l’inverse de la plupart des autres langues, n’est ni phonétique, ni alphabétique ; à l’invariabilité des mots elle ajoute le principe graphique de l’idéogramme : écriture non du son des mots mais de leur sens. Ainsi, le mot écrit est dépourvu de tout revêtement sonore. Illustrons ceci par un exemple. Si je dessine un cheval, même très schématiquement et que je le montre à plusieurs personnes de langues différentes, toutes comprendront ce que je désire représenter. Cependant l’idéogramme cheval sera vocalisé cheval, horse, lochad… suivant la langue usuelle de celui qui le regarde. Ce dessin, cet idéogramme a donc un sens mais pas de son. Par contre, si j’écris cheval, même en ignorant le français, je puis lire ce mot : il a un son mais pas de sens. L’écriture chinoise qui procède par sens est donc une écriture idéographique. Dans la langue chinoise, monosyllabique et tonalisée (chaque mot possède une gamme de tonalités), tout idéogramme représente un mot auquel on a associé un son. Pour un mot rencontré la première fois, il n’est pas possible de donner un son mais bien souvent un sens, car l’idéogramme est décomposable logiquement.
Il était donc nécessaire de trouver, pour les lecteurs étrangers, une transcription phonétique des mots chinois. Suivant sa langue maternelle, le traducteur usera d’une graphie différente (il suffit de comparer les nombreuses orthographes pour le dirigeant russe Poutine ; alors qu’en russe, naturellement, une seule orthographe est possible). Les transcriptions phonétiques des idéogrammes sont dès lors nombreuses et chaque école avait la sienne ce qui rendait la lecture souvent très ardue car il était impossible, sans se référer à l’idéogramme d’origine, de savoir si le mot écrit sous plusieurs formes était le même.
Pour le seul mot Tchi (énergie) on rencontre les formes suivantes : ts’i, ch’i, tji, chi, ci, tc’i…
Actuellement (depuis 1958), les Chinois utilisent dans leurs traductions la transcription pinyin zimu et celle-ci tend à devenir universelle. Cependant, pour le lecteur de langue française cette transcription n’est pas évidente ; ainsi le mot tchi s’écrit Qi et Confucius s’orthographie Kongzi !
Dans un ouvrage de vulgarisation, nous avons préféré utiliser une transcription plus habituelle (Debesse) quitte même à orthographier un même mot de plusieurs façons différentes (dans le couple des mots Tae Yang et Tai Tchi le premier élément « Tae ou Tai » signifie suprême) si l’usage le demande.
Si vous souhaitez un diagnostic ou un traitement par l’acupuncture ou une des autres disciplines de la médecine chinoise (auriculo-acupuncture, moxibustion, pulsologie, phytothérapie, etc.), il est préférable de vous faire examiner et soigner par un médecine formé aux deux sources du savoir médical. Pour trouver un médecin rompu aux techniques occidentales et orientales vous pouvez consulter les sites des Associations de médecins acupuncteurs et, tout spécialement, les sites suivants :
FRANCE
Association Française d’Acupuncture
Tour CIT Paris
3, avenue de l’Arrivée
75749 Paris Cedex 15
Secrétariat : secretariat@acupuncture-france.com
La Confédération Française de Médecine Traditionnelle Chinoise (C.F.M.T.C.).
44, allée Darius Milhaud
75019 Paris
Secrétariat : info-cfmtc@cfmtc.org
&
7, rue Louis Prével
06000 Nice
Secrétariat : contact@fnmtc.com
Fédération Pan Européenne des Spécialistes de Médecine Traditionnelle Chinoise
50, rue Jeanne d’Arc
75013 Paris
Secrétariat : pefctcm@wanadoo.fr
Syndicat Indépendant des Acupuncteurs Traditionnels et des Thérapeutes en Énergétique Chinoise
ZI St Tronquet – Quartier les Daulands
84130 Le Pontet
Secrétariat : infos@imtc.asso.fr
L’Union Française des Professionnels de Médecine Traditionnelle Chinoise
(U.F.P.M.T.C.).
B.P. 294
75464 Paris CEDEX 10
Secrétariat : infos@ufpmtc.com
Où consulter à Paris ?
Hôpital Hôtel Dieu. (Assistance Publique-Hôpitaux de Paris) Consultation d’acupuncture : 1, rue Cité – 75004 Paris
Hôpital Saint Jacques.
Consultation d’acupuncture : 37, rue saint Jacques – 75014 Paris
Hôpital Tenon. (Assistance Publique – Hôpitaux de Paris)
Consultation d’acupuncture : 4, rue de Chine – 75020 Paris
CANADA FRANCOPHONE
Association des acupuncteurs du Québec
Secrétariat : info@acupuncture-quebec.com
BELGIQUE
Association Belge des Médecins Acupuncteurs
Rue du Serpolet 2
1080 Bruxelles
Secrétariat : bvga@skynet.be
SUISSE FRANCOPHONE
Association Suisse des Praticiens de Médecine Traditionnelle Chinoise (E.S.C.) rue des Glacis-de-Rive 17
1207 Genève