NOTES

AVANT-PROPOS

(1) Honoré de Balzac, Les Paysans, Gallimard, « Folio classiques », 1975, p. 203.

I. LE MOMENT ET LE DÉCOR

(2) Charles Baudelaire, Critique d’art, dans Œuvres complètes, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », t. II, 1976, p. 557. Sauf indication contraire, le lieu de publication pour les références à suivre est Paris.

(3) Philippe Muray, Le XIXe Siècle à travers les âges, Denoël, 1984.

(4) Alfred de Musset, La Confession d’un enfant du siècle, Librairie Garnier, 1947, p. 14.

(5) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, Librairie Hachette, t. I, 1906, p. 118.

(6) Pierre Berteau, « Docteur Achille-Cléophas Flaubert, chirurgien rouennais », Bulletin Flaubert-Maupassant, no 15, Rouen, 2004.

(7) Flaubert, Correspondance, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », t. I, 1973, p. 560.

(8) Jean-Pierre Chaline, Les Bourgeois de Rouen. Une élite urbaine au XIXe siècle, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, 1982, p. 123. 800 000 francs équivalent grosso modo à 3 200 000 de nos euros, mais la conversion est difficile, compte tenu de la différence entre les pouvoirs d’achat des monnaies respectives. Pour le détail, voir Hubert Hangard, « L’Inventaire après décès d’Achille-Cléophas Flaubert », Bulletin Flaubert-Maupassant, no 25, 2010.

(9) Flaubert, Correspondance, op. cit., p. 370.

(10) Voir Jacques Le Goff et René Rémond (dir.), Histoire de la France religieuse, Le Seuil, t. III, 1991.

(11) Flaubert, Correspondance, op.cit., t. II, p. 376.

(12) Ibid., t. I, p. 275.

(13) Voir Antoine Prost, L’Enseignement en France, Armand Colin, 1968.

(14) François Bouquet, Souvenirs du collège de Rouen par un élève de pension (1829-1835), Rouen, 1895, p. 12.

(15) Flaubert, Les Mémoires d’un fou, dans Œuvres de jeunesse, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 2001, p. 477. À la même époque, Charles Baudelaire, né lui aussi en 1821, éprouve les mêmes sentiments : « Qu’on s’ennuie au collège, surtout au collège de Lyon. Les murs en sont si tristes, si crasseux, si humides, les classes si obscures […] », Correspondance, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », t. I, 1973, p. 22.

(16) François Bouquet, Souvenirs du collège de Rouen…, op. cit., p. 69. Antony, pièce d’Alexandre Dumas.

(17) Archives départementales de la Seine-Maritime, cote 1 T 1998 (microfilm 2 Mi 0777).

(18) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 5.

(19) Ibid., 14 mai 1831, Supplément, t. V, p. 925.

(20) Ibid., t. I, p. 12-13.

(21) Voir extraits de lettres d’Alfred Le Poittevin à Gustave Flaubert, dans Correspondance, op. cit., t. I, p. 831-832.

(22) Ibid., p. 589, 622.

(23) Ibid., t. II, p. 774.

(24) Ibid., t. III, p. 269.

(25) Ibid., t. IV, p. 153.

(26) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, Robert Laffont, « Bouquins », t. I, 1989, p. 551.

(27) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 641.

(28) Ibid., p. 37.

(29) Ibid., p. 49.

(30) Bulletin des Amis de Flaubert, no 10, p. 8.

(31) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 56.

II. « OH ! ÉCRIRE »

(32) Flaubert, Œuvres de jeunesse, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 2001, p. 112.

(33) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 254.

(34) Flaubert, Œuvres de jeunesse, p. 9-10.

(35) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 28.

(36) Ibid., p. 30-31.

(37) Flaubert, Œuvres de jeunesse, op. cit., p. 388.

(38) François Bouquet, Souvenirs du collège de Rouen…, op. cit., p. 32.

(39) Flaubert, Œuvres de jeunesse, op. cit., p. 305.

(40) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 28.

(41) Flaubert, Œuvres de jeunesse, op. cit., p. 523. Du sang, de la volupté et de la mort, de Maurice Barrès, date de 1894.

(42) Ibid., p. 293.

(43) Ibid., p. 399.

(44) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 37.

(45) Victor Hugo, La Préface de Cromwell, dans Victor Hugo critique, Laffont, « Bouquins », 1985, p. 18.

(46) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 286.

(47) Flaubert, Œuvres de jeunesse, op. cit., p. 245.

(48) Ibid., p. 536.

III. AIMER

(49) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 790.

(50) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. II, p. 338.

(51) Émile Gérard-Gailly, Flaubert et les fantômes de Trouville, La Renaissance du Livre, 1930 ; L’Unique Passion de Flaubert : « Mme Arnoux », Le Divan, 1932 ; Le Grand Amour de Flaubert, Aubier, 1944.

(52) René Dumesnil, Le Grand Amour de Flaubert, Genève, Éditions du Milieu du Monde, 1945, p. 70.

(53) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 761. Voir aussi Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. II, p. 337-338.

(54) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. II, p. 338.

(55) Flaubert, « Notes et variantes » de la Correspondance, op. cit., t. I, p. 894.

(56) Jacques-Louis Douchin, La Vie érotique de Flaubert, Jean-Jacques Pauvert aux Éditions Carrère, 1984.

(57) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 37.

(58) Claudine Gothot-Mersch cite aussi le jugement de René Dumesnil : il n’y a peut-être pas dans la littérature d’analyse « aussi complète, aussi exacte, aussi profonde de la montée du désir chez un homme encore vierge », voir Flaubert, Œuvres de jeunesse, op. cit., p. 1481-1482.

(59) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 70.

(60) Flaubert, Œuvres de jeunesse, op. cit., p. 660.

(61) Ibid., p. 670.

(62) Ibid., p. 684.

(63) Ibid., p. 707.

(64) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. I, p. 535.

(65) Flaubert, Œuvres de jeunesse, op. cit., p. 744.

(66) Eulalie Foucaud, lettre citée dans Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 906.

(67) Ibid., p. 279.

(68) Ibid., p. 400.

(69) Jacques-Louis Douchin, La Vie érotique de Flaubert, op. cit.

IV. CHANGEMENT DE CAP

(70) Honoré de Balzac, La Comédie humaine, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », t. IV, 1976, p. 959.

(71) Ibid., p. 1003.

(72) À rapprocher du départ de Léon pour Paris, dans Madame Bovary : « — Allons donc, dit le pharmacien en claquant de la langue, les parties fines chez le traiteur ! les bals masqués ! le champagne ! tout cela va rouler, je vous assure. »

(73) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 56.

(74) Ibid., p. 94.

(75) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. I, p. 161.

(76) Ibid., p. 168.

(77) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 321.

(78) Voir Pierre Berteau, « Docteur Achille-Cléophas Flaubert, chirurgien rouennais », art. cité.

(79) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 169-170.

(80) Ibid., p. 184.

(81) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. I, p. 181-182.

(82) « Flaubert vu par les médecins d’aujourd’hui », Europe, sept.-nov. 1969, p. 107-112.

(83) René Dumesnil, Flaubert, l’homme et l’œuvre, Desclée de Brouwer, 1947, p. 477-495.

(84) Jean-Paul Sartre, L’Idiot de la famille, Gallimard, t. II, 1971, p. 1822.

(85) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 127.

V. HORIZON FUNÈBRE

(86) Flaubert, Voyage en Italie, dans Œuvres de jeunesse, op. cit., p. 1105. On trouvera la reproduction de ce tableau dans l’Album Flaubert, Gallimard, « Albums de la Pléiade », 1972, p. 52-53.

(87) Voir, par exemple, René Descharmes, Flaubert, sa vie, son caractère et ses idées avant 1857, F. Ferroud, 1909, chap. 3.

(88) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 237.

(89) Ibid., p. 230.

(90) Ibid., p. 235.

(91) Ibid., p. 249.

(92) Ibid., t. IV, p. 24.

(93) Ibid., t. I, p. 288.

(94) Ibid., p. 740.

(95) Ibid., p. 264.

(96) Jean Bruneau, Les Débuts littéraires de Gustave Flaubert, Armand Colin, 1962, p. 580.

(97) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 238.

(98) « Tout cela est arrivé, parce que cela devait arriver. Moque-toi de mon fatalisme, écrit-il à Louise Colet, ajoute que je suis arriéré d’être Turc. Le fatalisme est la Providence du mal ; c’est elle qu’on voit, j’y crois » (11 août 1846).

(99) Flaubert, lettre à Louis Bouilhet du 27 juin 1855.

VI. LOUISE

(100) Memoranda de Louise Colet, dans Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 807.

(101) Théodore de Banville, cité par Joseph F. Jackson dans Louise Colet et ses amis littéraires (en français), New Haven, Yale University Press, 1937, p. 121.

(102) Jean-Paul Sartre, L’Idiot de la famille, op. cit., t. II, p. 1907. Comme toujours, dans cette somme, il faut en prendre et en laisser. La puissance interprétative de Sartre ne peut laisser indifférent, même si elle sème aussi le doute derrière ses plus belles fulgurances. Du moins, doit-on en retenir les hypothèses.

(103) Sainte-Beuve, Revue des deux mondes, 1er décembre 1839, p. 709-711.

(104) George Sand, Correspondance, Garnier, t. VI, 1969, 25 février 1843, p. 63.

(105) Joseph F. Jackson, Louise Colet et ses amis littéraires, op. cit., p. 123.

(106) Julian Barnes, Le Perroquet de Flaubert, Stock, 1986, p. 174.

(107) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. I, p. 257.

(108) Ibid., p. 260.

(109) Le 11 mars 1848, Louise Colet annonçait parallèlement sa grossesse à son cousin Honoré Clair, en lui faisant croire que son mari, malade, avait fait une cure à Eaux-Bonnes en 1847, dont il était revenu ragaillardi : « Son retour à la santé a amené pour moi un résultat dont je me serais bien passée. Je veux parler d’une grossesse déjà avancée qui me rend fort malade », Lettres inédites de Louise Colet à Honoré Clair dans Cahiers d’études sur les correspondances du XIXe siècle, no 9, Clermont-Ferrand, 1999. Est-ce la version qu’elle a donnée à Flaubert ?

(110) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. I, p. 264.

(111) Flaubert, Voyage en Bretagne. Par les champs et par les grèves, présentation de Maurice Nadeau, Éditions Complexe, 1989, p. 329.

(112) Ibid., p. 352 et sq.

VII. 1848

(113) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 314.

(114) Maxime Du Camp, Souvenirs de l’année 1848, Hachette, 2e éd., 1892, p. 69.

(115) Ibid., p. 106.

(116) Alexis de Tocqueville, Souvenirs, Gallimard, 1964, p. 152.

(117) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. I., p. 277.

(118) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 801.

(119) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. I, p. 288-289.

(120) René Dumesnil, Gustave Flaubert, Desclée de Brouwer, 1932, p. 133.

(121) Voir Alexis François, « Gustave Flaubert, Maxime Du Camp et la révolution de 1848 » et Gilbert Guisan, « Flaubert et la révolution de 48 », Revue d’histoire littéraire, janvier-mars 1953 et avril-juin 1958.

(122) Flaubert, Bouvard et Pécuchet, dans Œuvres, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », t. II, 1952, p. 869.

VIII. UN DÉSIR D’ORIENT

(123) Flaubert, Cahier intime de 1840-1841 dans Œuvres de jeunesse, op. cit., p. 748.

(124) Méhémet-Ali, cité par Jean-Marie Homet dans « La longue marche de l’obélisque », L’Histoire, no 262, février 2002.

(125) Voir Jean-Claude Berchet, Le Voyage en Orient. Anthologie des voyageurs français dans le Levant au XIXe siècle, Robert Laffont, 1985.

(126) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 505.

(127) Voir Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. I, p. 300.

(128) Léon Letellier, Louis Bouilhet, 1821-1869. Sa vie et ses œuvres, Librairie Hachette, 1919.

(129) Gustave Flaubert, Voyage en Égypte. Édition intégrale du manuscrit original établie et présentée par Pierre-Marc de Biasi, Grasset, 1991. On trouvera aussi ce Voyage en Égypte, complété par les notes portant sur la suite du voyage, dans Voyage en Orient, édition et préface de Claudine Gothot-Mersch, annotation et cartes de Stéphanie Dord-Crouslé, Gallimard, « Folio », 2006.

(130) Maxime Du Camp, Voyages en Orient (1849-1851), Messine, Peloritana, 1972.

(131) Marie-Thérèse et André Jammes, En Égypte au temps de Flaubert. Les premiers photographes 1839-1860, Kodak-Pathé, 1976.

(132) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 766. La somme dépasse cent mille de nos euros.

(133) Flaubert, Voyage en Égypte, édition de Pierre-Marc de Biasi, op. cit., p. 49.

(134) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. I, p. 320.

(135) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 628.

(136) Ibid., p. 530-531.

(137) Flaubert, Voyage en Égypte, op. cit., p. 124-125.

(138) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. I, p. 322.

(139) Flaubert, Voyage en Égypte, op. cit., p. 165.

IX. DES PYRAMIDES À LA SUBLIME PORTE

(140) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 678.

(141) Flaubert, Voyage en Égypte, op. cit., p. 208-210.

(142) Maxime Du Camp, Le Nil, rééd. présentée par Michel Dewachter et Daniel Oster, Sand et Conti, 1987, p. 142.

(143) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 604.

(144) Gérard de Nerval, Voyage en Orient, dans Œuvres complètes, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », t. II, 1975, p. 143.

(145) Alain Corbin et al., Histoire de la virilité, Le Seuil, t. II, 2011, p. 124-154.

(146) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 605.

(147) Jean-Paul Sartre, L’Idiot de la famille, op. cit., t. I, p. 1049.

(148) Jacques-Louis Douchin, La Vie érotique de Flaubert, op. cit., p. 268.

(149) Flaubert, Voyage en Égypte, édition de Pierre-Marc de Biasi, op. cit., p. 25.

(150) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 730.

(151) Jacques-Louis Douchin, La Vie érotique de Flaubert, op. cit., p. 119.

(152) Flaubert, Voyage en Orient, édition présentée et établie par Claudine Gothot-Mersch, Gallimard, « Folio classique », 2006.

(153) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 657.

(154) Flaubert, Voyage en Orient, op. cit., p. 248.

(155) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. I, p. 372-373.

(156) Flaubert, Voyages et carnets de voyage, dans Œuvres complètes de Gustave Flaubert, Club de l’Honnête Homme, 1973, p. 29-30. Et Voyage en Orient, op. cit., p. 349.

(157) Flaubert, Voyage en Orient, op. cit., p. 372.

(158) Ibid., p. 375.

(159) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 720.

(160) Voir ibid., p. 645.

(161) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. I, p. 355.

(162) Maxime Du Camp, Égypte, Nubie, Palestine et Syrie : dessins photographiques recueillis pendant les années 1849, 1850 et 1851, accompagnés d’un texte explicatif et précédés d’une introduction par Maxime Du Camp chargé d’une mission archéologique en Orient par le Ministère de l’Instruction publique, Gide et J. Baudry Éditeurs, 1852 : 125 photographies, épreuves sur papier « ioduré » (env. 21 x 16,5 cm), d’après négatifs papier de Maxime Du Camp sauf pl. 1, 9, 52, contretypes de daguerréotypes d’Aimé Rochas ; tirages à l’imprimerie photographique de Blanquart-Evrard à Lille ; 3 plans gravés par Erhard Schieble d’après Prisse d’Avennes (pl. XXVI*, XLV*, LXVII*).

X. LOUISE (SUITE ET FIN)

(163) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 28-29.

(164) Ibid., p. 100.

(165) Ibid., p. 113.

(166) Ibid., p. 436.

(167) Ibid., p. 358.

(168) Ibid., p. 515.

(169) Ibid., p. 529.

(170) Ibid., p. 200-201.

(171) Ibid., p. 878.

(172) Ibid., p. 32.

(173) Ibid., p. 331.

(174) Ibid., p. 57.

(175) Extraits de lettres de Maxime Du Camp à Gustave Flaubert, dans Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 859.

(176) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 463.

(177) Ibid., p. 469.

(178) Ibid., p. 135.

(179) Ibid., p. 330.

(180) Ibid., p. 540.

(181) Ibid., p. 382.

(182) Ibid., p. 892.

(183) Professeur F. Regli, « Pathologie psychiatrique et maladie organique », dans Pathographies (no 116).

(184) P. Rentchnick, ibid.

(185) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 416.

(186) Ibid., p. 543.

(187) Ibid., p. 882.

(188) Ibid., p. 447.

(189) Louis Bouilhet, lettre du 14 janvier 1854, Lettres à Gustave Flaubert, texte présenté par Maria Luisa Cappello, CNRS Éditions, 1996, p. 43.

(190) Avec l’assentiment de Flaubert, à en juger par ce mot de lui à Bouilhet dans une lettre du 8 décembre 1853 : « Ludovica. — Tu aurais tort de ne pas fréquenter cette dernière qui peut te faire tirer de plus beaux coups que la Muse, inter nos. »

(191) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 881.

(192) Ibid., p. 282.

(193) Ibid., p. 888.

(194) Ibid., p. 131.

(195) Ibid., p. 897.

(196) Ibid., p. 475.

(197) Joseph F. Jackson, Louise Colet et ses amis littéraires, op. cit., p. 221. Dans une lettre du 23 mai 1855, Flaubert parle à Bouilhet de « nos deux anges ».

(198) Ibid., p. 557.

(199) Voir Émile Gérard-Gailly, Les Véhémences de Louise Colet, Mercure de France, 1934.

XI. EMMA

(200) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 1271.

(201) Jacques-Louis Douchin, La Vie érotique de Flaubert, op. cit., p. 186.

(202) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 562.

(203) Ibid., p. 579.

(204) Ibid., p. 589.

(205) Ibid., p. 652.

(206) Ibid., p. 600.

(207) Ibid., p. 643-644.

(208) Ibid., p. 652.

(209) Ibid., p. 654.

(210) Ibid., t. I, p. 704. Flaubert s’est inspiré aussi des Mémoires de Madame Ludovica — un manuscrit inédit sur la femme séparée de Pradier et découvert par Gabrielle Leleu dans les dossiers de Flaubert (bibliothèque municipale de Rouen), publié intégralement par Douglas Siler dans le no 145 des Archives des lettres modernes (Minard, 1973). L’auteur inconnu narrait les amours interdites de Louise Pradier et ses folles dépenses. Nombre de correspondances ont été notées entre ce manuscrit et Madame Bovary.

(211) Jean Bruneau, Les Débuts littéraires de Gustave Flaubert, op. cit., p. 558.

(212) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 392.

(213) Marie de Flavigny, comtesse d’Agoult, Mémoires 1833-1854, Calmann-Lévy, 1927, p. 96.

(214) René Descharmes, Flaubert, sa vie, son caractère et ses idées avant 1857, F. Ferroud, 1909, p. 103.

(215) Charles Baudelaire, « Madame Bovary par Gustave Flaubert », dans Œuvres complètes, op. cit., t. II, 1976, p. 76-86.

(216) Flaubert, Madame Bovary, dans Œuvres, op. cit., t. I, 1951, p. 584.

(217) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 641.

(218) Pierre-Marc de Biasi, Flaubert. Les secrets de « l’homme-plume », Hachette Livre, 1995, p. 66.

(219) Georges Pradalié, Balzac historien, PUF, 1955, p. 73.

(220) Jean Cassou, Quarante-huit, Gallimard, 1939, p. 6-7. Cette comparaison avec Cervantès et Molière avait déjà été faite, en 1876, par Montégut, dans la Revue des deux mondes. Voir Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 145.

(221) François Mauriac, Trois Grands Hommes devant Dieu, Hartmann, 1947, p. 88.

(222) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 210.

XII. DEVENIR CÉLÈBRE

(223) Jean-Yves Mollier, Michel et Calmann Lévy ou La Naissance de l’édition moderne 1836-1891, Calmann-Lévy, 1984, p. 341 et sq.

(224) Jacques Suffel dans ses Lettres inédites de Gustave Flaubert à son éditeur Michel Lévy estime qu’en 1862, après quatre réimpressions, le total des tirages était de 29 150 exemplaires. Jean-Yves Mollier « majore ces chiffres d’environ 20 % et évalue les gains de l’éditeur à un minimum de 35 000 francs, tandis que l’auteur ne reçut que 1 300 francs » (Joelle Robert, « Lettres de Flaubert à Michel Lévy », Bulletin Flaubert-Maupassant, no 1).

(225) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 722.

(226) Ibid., p. 660.

(227) Yvan Leclerc, Crimes écrits, Plon, 1991, p. 141.

(228) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. II, p. 150.

(229) Cité par Jean Bruneau dans Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 1369. Les citations des critiques sont tirées, sauf indication contraire, soit de cette édition de la Correspondance de Flaubert, soit de René Descharmes et René Dumesnil, Autour de Flaubert. Études historiques et documentaires, Slatkine Reprints, Genève, t. 1, 2002.

(230) C’était pure invention.

(231) Sainte-Beuve, cité par Robert Kopp dans « Outrageantes Fleurs du mal… », L’Histoire, no 323, septembre 2007.

(232) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 772.

(233) Ibid., p. 1382.

(234) Article reproduit dans Marie-Sophie Leroyer de Chantepie, Souvenirs et impressions littéraires, Perrin, 1890.

(235) Jean Bruneau a reproduit les lettres de Marie-Sophie Leroyer de Chantepie dans la Correspondance de Flaubert, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », op. cit.

XIII. LA VIE PARISIENNE

(236) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 14.

(237) Ibid., t. II, p. 855.

(238) Lettre de Jules Michelet, citée dans Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 1119.

(239) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. I, p. 525.

(240) Ibid., p. 537.

(241) Ibid., p. 500.

(242) Ibid., p. 1066.

(243) Traduction française : Hermia Oliver, Flaubert et une gouvernante anglaise : à la recherche de Juliet Herbert, Publications des universités de Rouen et du Havre, 2011.

(244) Benjamin F. Bart, Flaubert, Presses universitaires de Syracuse (États-Unis), 1967.

(245) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 749.

(246) Ibid., p. 713.

(247) Flaubert, Carnet de voyage à Carthage, texte établi par Claire-Marie Delavoye, Publications de l’université de Rouen, 1999, p. 64.

XIV. SALAMMBÔ

(248) Jean-Yves Mollier, Michel et Calmann Lévy…, op. cit., p. 345.

(249) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 727.

(250) Albert Thibaudet, Gustave Flaubert, Gallimard, 1935, rééd. « Tel », 1982, p. 136.

(251) Voir note et citations de Jean Bruneau dans Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 1207-1211.

(252) Charles Baudelaire, cité par Jean-Benoît Guinot dans Dictionnaire Flaubert, CNRS Éditions, 2010, p. 60.

(253) Christian Théodore Falbe, cartographe, avait publié en 1831 un Plan du terrain et des ruines de Carthage, tandis qu’Adolphe Dureau de la Malle avait fait paraître en 1835 ses Recherches sur la topographie de Carthage.

(254) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 274.

(255) Ernest Reyer, compositeur français ami de Bouilhet, avait projeté de tirer un opéra de Salammbô sur un livret de Théophile Gautier ; ce fut finalement Du Locle le librettiste : l’opéra fut créé à la Monnaie de Bruxelles en 1890, repris la même année par le Théâtre des Arts de Rouen.

XV. LE MARIAGE DE CAROLINE

(256) Gustave Flaubert par sa nièce Caroline Franklin Grout. Heures d’autrefois. Mémoires inédits, Publications de l’université de Rouen, 1999, p. 155. Heures d’autrefois a été retrouvé par Mme Lucie Chevalley-Sabatier, nièce de Caroline. Ces mémoires ainsi que Souvenirs intimes, qui préfaçaient l’édition de la Correspondance de Gustave Flaubert chez Conard, ont été réunis dans Gustave Flaubert par sa nièce Caroline Franklin Grout, op. cit.

(257) Gustave Flaubert par sa nièce Caroline Franklin Grout, op. cit., p. 52.

(258) On se souvient de ce personnage imaginaire, le Vieux Sheik, créé par Flaubert et Du Camp lors de leur voyage en Orient.

(259) Gustave Flaubert par sa nièce Caroline Franklin Grout, op. cit., p. 60.

(260) Lucie Chevalley-Sabatier en fait l’hypothèse ; voir Gustave Flaubert et sa nièce Caroline, préface de Jean Bruneau, La Pensée universelle, 1971.

(261) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 366-367.

(262) Voir note de Jean Bruneau dans Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 1305-1306.

(263) Ibid., p. 1301-1302. Jean Bruneau évoque le « roman imaginé par Gérard-Gailly » à propos de Commanville, et cite l’article de Lucien Andrieu « Commanville », AFl., no 41, décembre 1972.

(264) Gustave Flaubert par sa nièce Caroline Franklin Grout, op. cit., p. 62.

(265) De deux cents pour mille au début du XIXe siècle, le taux des enfants nés vivants et morts avant un an descend à cent quarante-quatre pour mille en 1845, avant de remonter sous le second Empire.

(266) On estime à 3 % le nombre des femmes qui meurent dans les deux mois qui suivent l’accouchement entre 1800 et 1850.

(267) Gustave Flaubert par sa nièce Caroline Franklin Grout, op. cit., p. 63.

(268) Ibid., p. 64.

(269) Lucie Chevalley-Sabatier, Gustave Flaubert par sa nièce Caroline Franklin Grout, op. cit.

(270) Gustave Flaubert et sa nièce Caroline, op. cit., p. 77.

XVI. L'ERMITE AUX GANTS BLANCS

(271) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 1342.

(272) Ibid., p. 488.

(273) Ibid., p. 349.

(274) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 1031.

(275) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 414.

(276) Voir André Billy, Les Frères Goncourt, Flammarion, 1954, et, en plus romancé, Robert Baldick, Les Dîners Magny, Denoël, 1971.

(277) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 961.

(278) Joseph Primoli, cité par Jean Bruneau dans Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 1401.

(279) Ibid., p. 523.

(280) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 746. Voir notamment sa lettre du 9 mai 1868.

(281) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 605.

(282) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. II, p. 269.

(283) Flaubert-Goncourt, Correspondance, texte établi, préfacé et annoté par Pierre-Jean Dubief, Flammarion, 1998, p. 115.

XVII. MONSEIGNEUR

(284) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. II, p. 155.

(285) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 329.

(286) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. I, p. 969.

(287) Louis Bouilhet, Lettres à Gustave Flaubert, texte établi et annoté par Maria Luisa Cappello, CNRS Éditions, 1996, p. 564.

(288) Ibid., p. 544.

(289) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 47.

(290) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 77.

(291) Ibid., t. III, p. 383.

(292) Louis Bouilhet, Lettres à Gustave Flaubert, op. cit., p. 647.

(293) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 642.

(294) « Mon pauvre Bouilhet », dans Flaubert, Vie et travaux du RP Cruchard et autres inédits, avant-propos de Bernard Molant, textes établis, présenté et annotés par Mathieu Desportes et Yvan Leclerc, Presses des universités de Rouen et du Havre, 2005.

(295) Guy de Maupassant, cité par Léon Letellier dans Louis Bouilhet 1821-1869. Sa vie et ses œuvres, Librairie Hachette, 1919.

(296) Lire la lettre à Edma Roger des Genettes, du 28 janvier 1872, où Flaubert narre comment il a monté « seul, absolument seul, Aïssé ».

XVIII. FRÉDÉRIC, CE N'EST PAS MOI

(297) « J’en ai aimé une depuis 14 ans jusqu’à 20 sans le lui dire… », écrit-il à Louise Colet (Correspondance, op. cit., t. I, p. 279). Jean Bruneau et à sa suite Jacques-Louis Douchin ont contesté de manière probante le mythe du « grand amour » construit par Gérard-Gailly, repris par René Dumesnil et d’autres. Selon Edmond de Goncourt, cette passion « qui l’avait empoigné en quatrième », [il la] garda au fond de lui, en dépit du bordel et des amours banales, jusqu’à trente-deux ans » (Journal, op. cit., t. 2, p. 560). S’il y a bien eu passion, celle-ci est éteinte en 1862-1863, au moment où Flaubert conçoit L’Éducation sentimentale.

(298) Lettre à Louise Colet du 7 novembre 1847.

(299) Voir Jean Bruneau, Revue d’histoire littéraire de la France, juin 1983, où sont reconstituées les relations entre Flaubert et les Schlésinger de 1851 à 1872. Le même auteur conteste les hypothèses de Gérard-Gailly, selon lesquelles la scène des adieux serait une transposition d’un épisode réellement vécu.

(300) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 415.

(301) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 574.

(302) Ibid., p. 831.

(303) Carnets conservés à la Bibliothèque historique de la Ville de Paris, édités par Marie-Jeanne Durry, Flaubert et ses projets inédits, Nizet, 1950.

(304) André Vial, « De Volupté à L’Éducation sentimentale », Revue d’histoire littéraire, janvier-mars et avril-juin 1957.

(305) Charles Baudelaire, Critique d’art, dans Œuvres complètes, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », t. II, p. 560.

(306) Louis Veron, Mémoires d’un bourgeois de Paris, Gabriel de Gonet, 1854, p. 49-50.

(307) André Vial, « Flaubert, émule et disciple émancipé de Balzac », Revue d’histoire littéraire, juillet-septembre 1948.

(308) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 340.

(309) André Vial, « Flaubert, émule et disciple… », art. cité.

(310) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 721.

(311) Flaubert, lettre à Jules Duplan, Correspondance, op. cit., t. III, p. 734.

XIX. FRÉDÉRIC, C'EST NOUS

(312) Alexis de Tocqueville, Souvenirs, op. cit., p. 30.

(313) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 783.

(314) Les Crimes des rois de France de Louis Lavicomterie a été publié sous la Révolution et réédité en 1834. Je n’ai pas trouvé de référence pour les Mystères du Vatican, mais il existe un ouvrage intitulé Les Mystères de la papauté, publié à Londres (sans date).

(315) Herbert J. Hunt, Le Socialisme et le Romantisme en France, Oxford, Clarendon Press, 1935, p. 325.

(316) Victor Hugo, cité par Eugène Silvain dans Frédérick Lemaître, Alcan, 1930, p. 157.

(317) Flaubert, cité par René Dumesnil dans son édition de L’Éducation sentimentale, Les Belles Lettres, t. II, 1958, p. 359.

(318) Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique, dans Œuvres, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », t. II, 1992, p. 572.

XX. DOUCHE ÉCOSSAISE

(319) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. II, p. 339.

(320) Voir notamment « À propos du style de Flaubert », article de Marcel Proust reproduit dans Flaubert, L’Éducation sentimentale, Gallimard, « Folio classique », 2011, p. 572 et sq.

(321) Voir Jean-Yves Mollier, Michel et Calmann Lévy, op. cit., p. 401-403.

(322) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 127.

(323) Jean Bruneau évoque la liste d’une centaine de ces lettres de réponse, publiée par Le Manuscrit autographe, 1932, no 37. Voir Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 1116 et sq.

(324) Edmond de Goncourt, dans Flaubert-Goncourt, Correspondance, op. cit., p. 214.

(325) Nous avons consulté, grâce au site Gallica de la BNF et aux archives de l’université de Rouen, les publications suivantes : Le Figaro, le Journal des débats (deux articles), Le Gaulois (trois articles), L’Opinion nationale, Le Pays, La Gironde, La Tribune, Le Constitutionnel, Le National, le Journal de Rouen, Le Temps, Le Droit des femmes, Le Siècle, Paris-Journal, la Revue des deux mondes, La Parodie, La Liberté, le Journal officiel, L’Avenir national, Le Rappel, le Bulletin des bibliophiles, Le Voltaire.

(326) Voir Jean-Yves Mollier, Michel et Calmann Lévy, op. cit., p. 401.

(327) Émile Zola, Le Voltaire, 9 décembre 1879.

XXI. GEORGE SAND ET LE VIEUX TROUBADOUR

(328) George Sand, Correspondance, Garnier, t. XXI, 1986, p. 734.

(329) George Sand, Agendas IV 1867-1871, textes transcrits et annotés par Anne Chevereau, Jean Touzot, 1993.

(330) Rappelons que George Sand avait pour nom de naissance Aurore Dupin et qu’elle était devenue par son mariage baronne Dudevant. Elle avait pris le pseudonyme de Sand (inspiré par le nom de son amant Jules Sandeau) dès la publication de son premier roman, Rose et Blanche.

(331) Voir George Sand, « Le Théâtre des marionnettes de Nohant », dans Œuvres autobiographiques, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », t. II, 1971, p. 1249-1276.

(332) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 177.

(333) Ibid., p. 856.

(334) Voir George Sand, Politique et polémiques, présenté par Michelle Perrot, Imprimerie nationale, 1997, p. 65-105.

(335) George Sand, « À propos de l’élection de Louis Bonaparte à la présidence de la République française », La Réforme, 22 décembre 1848 ; article repris dans Politique et polémiques, op. cit.

(336) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 514.

(337) Ibid., p. 304.

(338) George Sand, Agendas, op. cit., III, p. 334.

(339) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 555. Voir par ailleurs lettre de George Sand à Lina, dans sa Correspondance, op. cit., t. XX, p. 170.

(340) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 711-713.

(341) Ibid., p. 656.

(342) Voir la mise au point d’Yvan Leclerc « Les Droits d’auteur de Flaubert »,Bulletin Flaubert-Maupassant, no 27.

(343) Flaubert-Goncourt, Correspondance, op. cit., p. 217.

(344) Mona Ozouf, Les Mots des femmes, Fayard, 1995, p. 198.

(345) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 645.

(346) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 159.

(347) Ibid., p. 211.

XXII. LA GUERRE !

(348) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 216.

(349) Voir Jules Vallès, L’Insurgé, dans Œuvres, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », t. II, 1990, p. 968-969.

(350) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 277-278.

(351) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 225.

(352) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 233.

(353) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 292.

(354) Ibid., t. II, p. 365.

(355) Un témoin, Arnold Henryot, écrit dans son Paris pendant le siège, paru en 1871 : « M. Gambetta galvanisa les surfaces, mais il fut trop mal secondé pour remuer les couches profondes du pays ; tandis que M. le général Trochu, qui n’avait qu’à diriger le torrent patriotique, resta jusqu’à la fin convaincu que Paris n’avait pas d’armée » (p. 172-173).

XXIII. LA COMMUNE

(356) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 399.

(357) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 293.

(358) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 393-394.

(359) Hermia Oliver, Flaubert et une gouvernante anglaise…, op. cit., p. 163.

(360) Élie Reclus, La Commune de Paris au jour le jour, Schleicher, 1908, p. 74.

(361) Sur l’initiative de Gustave Courbet, les communards ont détruit la colonne Vendôme célébrant les guerres de Napoléon.

(362) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 310.

(363) Ibid., p. 318-319.

(364) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 451.

(365) Francisque Sarcey, cité par Gabriel Hanotaux dans Histoire de la France contemporaine (1871-1900), Combet et Cie (s.d.), p. 203.

(366) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 342.

(367) Maxime Du Camp consacra quatre volumes à l’histoire de la Commune sous le titre Les Convulsions de Paris. Ce simple passage suffira à en donner le ton : « L’orgie a été la principale préoccupation de la plupart de ces hommes, acteurs secondaires d’un drame auquel ils participaient sans trop le comprendre, ceux-là, et c’était le plus grand nombre, ne se souciaient ni de l’avènement du prolétariat, ni de la rénovation sociale. Ils recherchaient le plaisir grossier, le trouvaient sans peine, ajoutaient leur dépravation particulière à la dépravation générale, et se tenaient pour satisfaits » (t. IV, p. 115).

(368) Lucien Descaves, Philémon vieux de la vieille, P. Ollendorf, 1914.

(369) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. II, p. 376.

(370) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 426.

XXIV. « L’ÊTRE QUE J’AI LE PLUS AIMÉ »

(371) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 392.

(372) Ibid., p. 349.

(373) Ibid., p. 350.

(374) Ibid., p. 422.

(375) Sur l’importance de ce texte, voir Liana Nissim, « La Préface de Gustave Flaubert aux Dernières Chansons de Louis Bouilhet », Bulletin Flaubert-Maupassant, no 4, 1996.

(376) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 650.

(377) Ibid., p. 473.

(378) Ibid., t. II, p. 100.

(379) Caroline Franklin Grout, Heures d’autrefois…, op. cit., p. 50.

(380) Archives départementales de Seine-Maritime, cote 2E8/340, et http://flaubert.univ-rouen.fr.

(381) C. Vermeille, dans sa contribution « Flaubert et Commanville » au colloque « Flaubert et l’argent », démontre que le testament de Mme Flaubert, datant de 1871, a été inspiré par Ernest Commanville. Ce testament était révocable car une partie de la propriété de Croisset n’appartenait pas à Mme Flaubert, mais ni Achille ni Gustave n’ont voulu contester la volonté manifestée par leur mère. Cependant, comme l’avait précisé son testament, Croisset fut estimé pour le partage au prix d’achat de 90 000 francs, alors que l’évaluation de la propriété, selon M. Vermeille, devait avoisiner 150 000 francs : « En imposant la valeur d’achat de 90 000 francs, la grand-mère gratifie sa petite-fille de 60 000 francs. » On pouvait y voir la main de Commanville. Voir Bulletin Flaubert-Maupassant, no 27.

(382) « Lettre autographe de Julie Flaubert… » par Arlette Dubois, Bulletin Flaubert-Maupassant, no 27.

XXV. LES INTERMITTENCES DU SPLEEN

(383) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 578.

(384) Ibid., p. 608.

(385) Ibid., p. 628.

(386) Hermia Oliver, Flaubert et une gouvernante anglaise…, op. cit., p. 165 et sq.

(387) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 611.

(388) Sa biographe écrit : « Il est pour le moins probable que c’étaient ses lettres, l’espoir de rencontres futures et le souvenir de rencontres passées qui adoucissaient ce qui était parfois le peu enviable fardeau de la gouvernante » ; voir Hermia Oliver, Flaubert et une gouvernante anglaise…, op. cit., p. 175.

(389) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 1192.

(390) Ibid., p. 607.

(391) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 518.

(392) George Sand, Correspondance, op. cit., t. XXIII, lettre du 3 mai 1873.

(393) George Sand, Agendas, op. cit., V, p. 127-128.

(394) Flaubert, Vie et travaux du RP Cuchard et autres inédits, avant-propos de Bernard Molant, textes établis, présentés et annotés par Matthieu Desportes et Yvan Leclerc, Presses des universités de Rouen et du Havre, 2005. On y trouve « Alfred » et « Mon pauvre Bouilhet » — pages de journal écrites l’une et l’autre à la mort de ses amis.

(395) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 537.

(396) Louis Bouilhet, Lettres à Gustave Flaubert, op. cit., p. 507.

(397) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 691 et 713.

(398) Ibid., p. 785.

(399) Édouard Maynial, Flaubert, Éditions de la Nouvelle Revue critique, 1943, p. 147.

(400) Jules Barbey d’Aurevilly, article du 20 avril 1874, dans Le XIXe siècle. Des œuvres et des hommes, Mercure de France, 1966, p. 237.

XXVI. RUINE ET DEUIL

(401) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 924.

(402) Caroline Franklin Grout, Heures d’autrefois…, op. cit., p. 80. Voir la note de Matthieu Desportes dans le même ouvrage, p. 210.

(403) C. Vermeille, « Flaubert et Commanville », art. cité.

(404) Flaubert, Correspondance, op. cit., p. 932.

(405) Ibid., p. 961.

(406) Voir ci-dessus l’affaire du testament de Mme Flaubert, chap. XXIV, et, plus loin, chap. XXVIII.

(407) Jacques Lecarme, « Flaubert entre l’usure et la ruine », Médium, no 16-17, juillet-décembre 2008, p. 107-126.

(408) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 1000.

(409) Ibid., t. V, p. 52.

XXVII. « IL Y A DE L’AZUR »

(410) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 282.

(411) Voir Julian Barnes, Le Perroquet de Flaubert, Stock, 2000.

(412) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 614.

(413) Ibid., t. V, p. 279.

(414) Henri Guillemin a développé, dans Flaubert devant Dieu (Plon, 1939), l’idée selon laquelle Gustave Flaubert était un chrétien qui s’ignorait. On peut ne pas être convaincu.

(415) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 728.

(416) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 141.

(417) Émile Zola, Le Messager de l’Europe, juillet 1880.

(418) Hermia Oliver, Flaubert et une gouvernante anglaise…, op. cit., p. 174.

(419) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 275.

(420) Jules Ferry, dans une lettre à sa femme, parle d’« un million d’hommes, échelonnés en masse profonde sur le passage du cortège funèbre debout, tête nue, recueillis, l’immortelle à la boutonnière […] » ; cité par Georges Valance, Thiers bourgeois et révolutionnaire, Flammarion, 2007, p. 397.

(421) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 343.

(422) Émile Zola, cité par Henri Mitterand, Zola, Fayard, t. II, 2001, p. 394.

(423) Voir Jean-Pierre van Deth, Ernest Renan, Fayard, 2012, p. 392-404.

(424) Charles-Edmond, cité par Jean-Pierre van Deth, ibid., p. 397.

XXVIII. « TOUT M’EXCÈDE ET ME PÈSE »

(425) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 530.

(426) Ibid., p. 459.

(427) Ibid., p. 553.

(428) Guy de Maupassant, cité dans Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 1345.

(429) Flaubert, Correspondance, op. cit., p. 685.

(430) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 808.

(431) Flaubert, Lettres inédites à Raoul Duval, commentaires de Georges Normandy, Albin Michel, 1950, p. 231.

(432) Le Figaro, 14 octobre 1893.

(433) Caroline Franklin Grout, citée par René Dumesnil dans Gustave Flaubert, op. cit., p. 293.

(434) René Descharmes, cité dans ibid.

(435) Flaubert, Correspondance. Supplément (juillet 1877-mai 1880), recueillie, classée et annotée par MM. René Dumesnil, Jean Pommier et Claude Digeon, Éditions Louis Conard, 1954, p. 266-267.

(436) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 781.

(437) Ibid., p. 795.

(438) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 386.

(439) Nous avons cité un extrait de cet article ; voir chap. XX, p. 316.

(440) Voir Yvan Leclerc, Crimes écrits. La littérature en procès au XIXe siècle, op. cit., p. 387.

(441) Guy de Maupassant, « Gustave Flaubert », L’Écho de Paris, 24 novembre 1890.

(442) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 858-860.

(443) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 403.

(444) Ibid., p. 403. Voir « Discours pour Voltaire », dans Victor Hugo, Politique, Robert Laffont, « Bouquins », 1985, p. 984-991.

(445) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 616.

(446) Témoignage recueilli et cité par Georges Normandy dans Lettres de Flaubert à Raoul-Duval, op. cit., p. 252.

(447) Ibid., p. 260. Concours médical, 22 janvier 1939.

(448) Voir Daniel Fauvel, Matthieu Desportes, « Inventaire après décès des biens de Gustave Flaubert », Bulletin Flaubert-Maupassant, no 8, 2000.

(449) Gaston Vassy, Gil Blas, 13 mai 1880.

XXIX. POST MORTEM

(450) Guy de Maupassant, Correspondance, t. I, no 178.

(451) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. III, p. 497. Pour l’ensemble du dossier consacré à l’histoire de ce monument, voir Flaubert-Goncourt, Correspondance, op. cit., p. 293-315.

(452) Maxime Du Camp, Souvenirs littéraires, op. cit., t. I, p. 185.

(453) Léon Chapron, cité par Nadine Satiat dans Maupassant, Flammarion, 2003, p. 250-251.

(454) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. I, p. 185.

(455) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. III, p. 319-320.

(456) Texte repris en appendice des Œuvres de Flaubert, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1952, t. II, p. 992-997.

(457) Introduction à l'édition « Folio classique », op. cit., p. 36.

(458) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 535.

(459) Ibid., p. 767.

(460) Dans le Dictionnaire des idées reçues, on lit à l’entrée « Savants » : « Les blaguer. »

(461) Flaubert, cité dans l’introduction à l’édition « Folio classique » de Bouvard et Pécuchet par Claudine Gothot-Mersch, p. 22.

(462) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 731.

(463) Voir Gustave Flaubert, Le second volume de Bouvard et Pécuchet, documents présentés et choisis par Geneviève Bollème, Les Lettres nouvelles, Denoël, 1966.

(464) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 599.

(465) Guy de Maupassant, dans Flaubert-Maupassant, Correspondance, texte établi, préfacé et annoté par Yvan Leclerc, Flammarion, 1993, p. 261.

(466) Pas tout à fait cependant, car Caroline, sans doute dans une bonne intention, s’était crue tenue d’en corriger et d’en modifier des passages. Nous devons le texte définitif au travail d’Alberto Cento, dans son édition critique de Bouvard et Pécuchet.

(467) Émile Faguet, Flaubert, Hachette, 1899, p. 134-136.

(468) Joris-Karl Huysmans, « Préface écrite vingt ans après le roman », À rebours, Fasquelle, 1903.

(469) René Descharmes publia en 1909 sa thèse de doctorat, Flaubert, sa vie, son caractère et ses idées avant 1857, le premier grand travail universitaire sur Gustave Flaubert. René Dumesnil a consacré une grande partie de sa vie à des études flaubertiennes de première importance, telle sa collaboration à l’édition du Centenaire de la Correspondance. Il est aussi l’auteur d’un Gustave Flaubert, paru chez Desclée de Brouwer en 1932. À Albert Thibaudet on doit notamment un Gustave Flaubert éclairant, op. cit.

(470) Jorge Luis Borges, « Défense de Bouvard et Pécuchet », Discussion, Gallimard, 1966.

(471) Voir notamment Les Enfants du limon, Gallimard, 1938.

(472) Voir notamment Le Degré zéro de l’écriture, Le Seuil, 1953.

(473) Voir Yvan Leclerc, « La Spirale et le Monument. Essai sur Bouvard et Pécuchet de Gustave Flaubert », SESDES, Présences critiques, 1988. Mélanie Leroy, mémoire de l’université McGill, Montréal, 2009, p. 12-25.

(474) Voir Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 599.

(475) Voir René Descharmes, Autour de « Bouvard et Pécuchet », Librairie de France, 1921.

(476) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 678-679.

(477) Ibid., t. II, p. 208-209.

(478) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. IV, p. 411 : à George Sand, 14 novembre 1871.

(479) Voir Jean Bruneau, préface à la Correspondance de Flaubert, op. cit., t. I, p. IX-XXXI, et Yvan Leclerc, « Les Éditions de la correspondance de Flaubert », http://flaubert.univ-rouen.fr/correspondance.

(480) Jean Bruneau n’a pu achever son œuvre. L’édition du cinquième volume, commencée par lui, a été reprise par Yvan Leclerc, avec la collaboration de Jean-François Delesalle, Jean-Benoît Guinot et Joëlle Robert.

(481) Paul Souday, « Le Centenaire de Gustave Flaubert », Revue de Paris, novembre-décembre 1921. Voir aussi René Dumesnil, « Flaubert et l’opinion », Mercure de France, décembre 1921.

XXX. ESQUISSE DE PORTRAIT

(482) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 839.

(483) Voir « Les Conscrits des cantons d’Évreux-Nord et d’Évreux-Sud », par le docteur Carlier, Bulletin de la Société d’anthropologie de Paris, année 1893, no 4.

(484) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 290.

(485) Guy de Maupassant, « Flaubert et sa maison », Gil Blas, 24 novembre 1890.

(486) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 613.

(487) Ibid., p. 764.

(488) Ibid., p. 197.

(489) Ibid., t. II, p. 752.

(490) Ibid., p. 478.

(491) Ibid., t. V, p. 789.

(492) Ibid., t. III, p. 642.

(493) Jean-Paul Sartre, « Qu’est-ce que la littérature ? », Situations II, Gallimard, 1948, p. 167.

(494) À cette nuance près qu’au temps de l’ordre moral Flaubert résume la bêtise du bourgeois « par le grand parti de l’Ordre » ; voir Correspondance, op. cit., t. V, p. 282.

(495) Ibid., t. II, p. 402.

(496) Alain Corbin et al., Histoire de la virilité, op. cit., t. II, p. 128.

(497) Edmond et Jules de Goncourt, Journal, op. cit., t. II, p. 700-701.

(498) Voir Émile Gérard-Gailly, Les Véhémences de Louise Colet, op. cit.

(499) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. I, p. 278-279.

(500) Ibid., p. 206.

(501) Ibid., t. II, p. 548.

(502) Ibid., t. III, p. 135.

(503) Ibid., p. 645.

(504) Ibid., t. V, p. 772.

(505) Ibid., p. 547.

(506) Ibid., p. 694.

(507) Ernest Renan, La Réforme intellectuelle et morale, UGE, « 10-18 », 1967, p. 108, 109.

(508) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. V, p. 402.

(509) Outre la Correspondance, voir Michel Lambart, « Flaubert et la politique coloniale », Bulletin des Amis de Flaubert et de Maupassant, 2006, no 18.

(510) Flaubert, Correspondance, op. cit., t. II, p. 416.

(511) Ibid., t. III, p. 66.

(512) Henry Laujol, « Correspondance de Flaubert », Revue bleue, janvier-juillet 1880.

(513) Voir Anne Herschberg Pierrot, « Flaubert, contemporain », Œuvres et critiques, XXXIV, 1, Tübingen, 2009.

(514) Dans son compte rendu « Écrivains contemporains lecteurs de Flaubert », coordonné par Anne Herschberg Pierrot, Delphine Jayot cite ainsi Italo Calvino, Jean Echenoz, Jean-Philippe Toussaint, Pascal Quignard et Pierre Michon ; voir Œuvres et critiques, op. cit.